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EAN : 9791026292463
295 pages
Librinova (22/11/2021)
4.09/5   11 notes
Résumé :
« Le saumon vit dans des boîtes en fer blanc d'où il ne sort que le dimanche soir quand des amis arrivent à l'improviste. » Groucho Marx Adèle a 23 ans. Elle vit à Bordeaux et suit des études de droit, espérant devenir avocate, comme son père et son grand-père avant elle. Elle se laisse porter par le courant d’une existence qu’elle n’a pas vraiment choisie. Jusqu’au jour où la vie s’en mêle. Vous savez, celle qui nous joue des tours parfois. Adèle part ainsi à Oslo ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
C'est en lisant la critique de @des_livres_a_la_plume que je me suis laissée tenter par ce roman d'une auteure encore méconnue.
Tout d'abord, le roman s'ouvre une page de garde avec cette dédicace "A tous nos rêves. Ceux qu'on souhaite voir se réaliser et ceux qui se réalisent alors qu'on ne les soupçonnait pas." Cela m'a plu et j'ai embarqué pour Oslo avec Adèle, l'héroïne.
Celle-ci, étudiante en droit, part écrire sa thèse à Oslo comme on lui demande. Car c'est cela son problème. Alors qu'elle n'a que 23 ans, elle a toujours fait ce que son père souhaitait, à savoir être brillante dans sa scolarité puis du droit, sans jamais faire de vague, en travaillant beaucoup, s'en penser à vivre, ni son adolescence, ni sa jeunesse. Partir pour Oslo la fait sortir de sa zone de confort.
Elle va enfin découvrir qu'elle peut nouer de belles amitiés, voire même trouver l'amour... elle va surtout se familiariser avec le mode de vie norvégien, alliant plaisirs simples et lâcher prise et va enfin pouvoir penser à elle et à la vie qu'elle souhaite réellement avoir.
La couverture est attirante avec des couleurs à l'image des paysages norvégiens décrits dans le roman.
Cependant gros point noir, les fautes d'orthographe/grammaire et de typo. Même le prénom de l'héroïne devient AdèleS ! Et que dire d'un périphérique pour vous emmener au sommet d'une montagne? Alors que quelques mots plus tard, on redescend par le téléphérique !!! Quel dommage !
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. {LECTURE 35-2021}J'ai eu la chance de découvrir en avant-première, le nouveau roman feel good de @marion_finzi . J'avais beaucoup aimé le premier ‘La vie est amère quand on la boit sans sucre”.

Dans cette histoire, nous allons suivre Adèle qui poussée par les circonstances de la vie quitte Bordeaux pour Oslo en Norvège. Elle y part pour rédiger sa thèse dans le cadre de ses études d'avocate, comme il semble être de tradition dans sa famille de premier né en premier né. C'est une jeune femme de 23 ans qui se laisse porté par la vie sans l'avoir vraiment choisi. Il faut avouer qu'elle est comme bon nombre d'entre-nous...

Là-bas, elle va croiser la route de Harald, Olga, Magnus, Gustav et tant d'autres. Mais elle va devoir y faire des choix et apprendre à nager à contre-courant... Osera-t-elle sortir de ses schémas ?

La phase qui a le plus percutée en moi, c'est “Oser c'est perdre pied momentanément. Ne pas oser c'est se perdre soi-même” de S. Kierkegaard

J'ai vraiment été happée par Adèle, je me suis revue à 25 ans. Adèle est à la fois attachante, douce et vulnérable. Elle se découvre et découvre des non-dits au travers de son histoire. On peut toute se retrouver en Adèle.

Petit à petit, elle grandit et se détache de ses vieux schémas. Tel une rose, elle gagne en ouverture, en confiance en elle. Bref, j'ai pleuré un peu, j'ai rigolé pas mal et j'ai vibré aussi...

Et puis quelle évasion de partir en Norvège avec elle. Marion nous fait découvrir la palette des paysages et villages bien typique des pays nordiques. Pour ma part, c'était plutôt gai de les retrouver autrement que dans les polars ou thrillers du genre.

Le style de Marion est juste, comme son premier livre, elle arrive à surprendre, à donner aux histoires ce petit côté madeleine de Proust. Et la couverture est juste magnifique. Un livre à lire devant la cheminé cet hiver sans hésiter.
Vous aurez compris, j'ai passé un merveilleux moment de lecture...

Il sera disponible dès demain au téléchargement sur les plate-formes...

Allez-vous vous laissez tenter ?

#feelgood #roman #Norvège #happy #changement
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UN SAUMON DANS UNE BOÎTE EN FER BLANC / MARION FINZI

J'avais donc hâte de lire ce deuxième roman, je tourne les premières pages et une dédicace s'offre à moi "À ces envies d'ailleurs qu'on enferme parfois, par facilité..."

J'ai pris un plaid, j'ai perquisitionné une chambre et je me suis mise à lire. Et comment dire qu'en une journée, j'ai dévoré son livre ! J'ai passé une partie de ma vie sur Bordeaux et pourtant comme Adèle, je suis partie.

Hé oui, la vie s'en mêle et parfois, ce n'est pas forcément en corrélation avec votre vision des choses. C'est une histoire où on a envie de rire, de pleurer, froncer les sourcils et de réfléchir à la façon dont nous aurions réagi face à cette situation.

Prenez un billet pour Oslo et découvrez l'histoire de chacun des personnages. Finalement, ce n'est pas la fin du périple qui importe, mais le périple et les leçons de vie que l'on en retient. 

C'est la lecture à avoir dans sa PAL cet hiver !
Merci Marion pour ce voyage !
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❄⛷J'ai beaucoup aimé cette lecture. Et de plus en plus au fur et à mesure que je tournais les pages.

Malgré quelques fautes d'orthographe, etc. dans le roman - qui m'ont fait sortir du récit - j'ai beaucoup aimé l'évolution du personnage d'Adèle en Norvège.
Lecture qui m'a d'ailleurs donné encore plus envie de découvrir ce pays 😊

Olga la merveilleuse. Martin l'ami précieux. Ibrahim le bienveillant. Une bande de colocataires aux petit oignons, sur qui on peut compter. J'ai adoré cette atmosphère, ces ami.e.s/colocataires et leur complicité tout en étant indépendant les uns des autres.
Puis Gustav l'aîné qui distille son parcours de vie sous forme de guide d'apprentissage romanesque 🥰

L'écriture reste fluide et on tourne les pages très vite. Même si au début, j'avais bien envie de secouer Adèle avec son comportement et ses pensées qui me faisaient soupirer...
On la voit évoluer et c'est avec douceur et fierté que j'ai refermé ce roman.

Le petit plus, la romance slow burn que j'ai adoré 💕

En bref, une histoire qui prend son temps. Aux hallures de philosophie de vie positive, et de roman doudou.

À découvrir !
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Je crois que je vais me reconvertir… Oubliez la chroniqueuse qui lit plus vite que son nombre et découvrez Madame Cécile, voyante professionnelle. Il y a un an, je lisais le premier roman de Marion et je vous avais annoncé qu'il était très prometteur et laissait présager des petits frères succulents. J'avais raison. Parfaitement raison. Terriblement raison.

Marion nous offre un second roman d'une très grande qualité, doux et addictif, un de ceux qui nous pousse à attendre le soir avec impatience pour replonger, tête la première, dedans.

Oubliez un instant ce titre mystérieux, cette très belle couverture, et même les amis qui arrivent à l'improviste ! Partez à la rencontre d'Adèle, une avocate en devenir qui marche sur les pas de son père et de son grand-père, une jeune femme qui se laisse entraîner par les flots de la vie en abandonnant les questions, l'amour et les folies sur la berge.

Pourtant, les rivières et les torrents nous mènent parfois vers des eaux imprévisibles. Et sans l'avoir vu venir [n'est pas madame Irma qui veut], notre chère Adèle se retrouve en Norvège loin de sa famille et de ses habitudes ! Un bouleversement, un coup de pied au derrière, un saut vers l'inconnu… mais peut-être aussi un retour vers elle-même !

J'ai découvert cette histoire avec un immense plaisir en tant que bêta-lectrice et je viens de la relire avec tout autant de plaisir. Point de sucre dans la recette cette fois-ci, mais toujours un océan de tendresse et de bienveillance. Des personnages dépeints avec beaucoup d'humanité qu'on n'a pas du tout envie de quitter. Une plume fluide et pétillante. Un roman parfaitement réussi qui mérite vraiment d'arriver à bon port chez de très nombreux lecteurs.

Pour tout dire, Adèle m'a fait regretter d'avoir quelques années de trop pour tout plaquer et partir la rejoindre à Oslo. Et vous ? Prêt à nager à contre-courant avec elle ?



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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Tu es un fleuve qui attend de trouver son embouchure pour se déverser dans un océan. Tu es un volcan endormi, sa lave prête à jaillir et surprendre tout ce qui l'entoure.
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Il faut oser sortir de sa boîte en fer blanc. Aussi rassurante soit-elle. La vie, c'est maintenant.
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Oser, c’est perdre pied momentanément. Ne pas oser, c’est se perdre soi-même. J’aime beaucoup cette phrase de Søren Kierkegaard, un auteur danois. Réfléchis-y, Adèle.
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Quand on a le luxe de pouvoir choisir, se plaindre n’est pas une option.
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