Citations sur Thérapie (101)
-Tu sais quoi, Viktor ? L’espoir, c’est comme un éclat de verre planté dans ton pied. Tant qu’il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas. Tandis que si on te l’enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement. C’est ce qu’on appelle le deuil.
"La vérité est comme un puzzle, à ceci près que le nombre d'éléments qui la constituent n'est pas connu à l'avance. Or elle ne peut apparaître qu'une fois que tous les morceaux de la mosaïque ont été assemblés." (p.164)
Du doute à la certitude, il n'y a qu'un pas, celui qui sépare la vie de la mort.
Durant la première année, il s'était encore contenté d'une gorgée par idée noire; Par la suite, même un verre entier n' y suffisait plus.L' alcool ne permettait pas seulement d'oublier. Il offrait aussi des solutions. Mieux, il était la solution .
L'espoir c'est comme un éclat de verre planté dans ton pied.Tant qu'il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas. Tandis que si on te l'enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte tu pourras réapprendre à marcher normalement.
Après avoir raccroché, Viktor n’avait plus qu’une seule idée en tête :
« Fais attention à toi. Cette femme est dangereuse. »
En l’espace de vingt-quatre heures, il avait entendu ces paroles de la part de deux personnes différentes. Et peu à peu, il commençait lui-même à y croire.
La vérité est comme un puzzle, à ceci près que le nombre d'éléments qui la constituent n'est pas connu à l'avance. Or elle ne peut apparaître qu'une fois que tous les morceaux de la mosaïque ont été assemblés.
L'espoir, c'est comme un éclat de verre planté dans ton pied. Tant qu'il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas. Tandis que si on te l'enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement.
-vous aviez l'air si mal en point que j'ai voulu vous aider. Evidemment, je vous aurais prévenu avant que vous ne buviez la première gorgée. Enfin, vous ne croyez tout de même pas que j'allais vous empoisonner ?
Viktor n'avit plus aucune idée de ce qu'il devait croire ou non.
Comme au début d'une anesthésie, des souvenirs surgissaient dans son esprit, l'espace d'une seconde, avant de disparaître aussitôt dans l'obscurité.