Le Réseau Corneille

Encore un très bon moment de lecture avec Ken Follett !
Nous sommes en 1944, à quelques jours du débarquement, et l'urgence est de priver les allemands de leurs moyens de communication. C'est un défi à relever pour les experts du sabotage, dont fait partie Betty. Cette belle jeune femme va ainsi mettre en place le réseau Corneille, un groupe composée de six femmes très différentes.
Un thriller haletant que j'ai dévoré!

Enfin lu!! Non par manque de style ou autre raison ,mais actuellement je suis très prise par la confection de masques pour différentes Assos' ,alors le soir au bout de quelques pages ,je quitte le réseau Corneille,malgré une histoire " accrochante".
Nous sommes en mai-juin 1944,quelques jours avant le débarquement des alliés sur les côtes Normandes,un groupe de six femmes,avec à sa tête Betty ,officier de l'armée Anglaise va avoir pour mission de saboter le système de communication allemande dans un château à St.Cécile près de Reims; pour cela elle prendront la place de six femmes de ménage ,qu'elles auront eu soinde neutraliser avant leur depart au château.
Ces six femmes anglaises recrutées en catastrophe par Betty vont pendant quelques jours subir un entraînement intensif avant d'être parachutées le 3 juin 44.
Reussiront-elles leur mission? A vous de le découvrir.
J'ai eu plus de mal à m'immerger dans l'histoire dû peut-être à la période que nous traversons actuellement. Et puis parfois,j'ai trouvé " les ficelles un peu trop grosses" car il y aura beaucoup d'embûches mais comme par miracle elles s'en sortiront toujours en accord avec la critique d'AnaisBesson: " captivant, bien qu' un peu tiré par les cheveux par moments."
J'ai préféré de loin : les piliers de la terre et un jour sans fin que j'ai aussi visionnés.
A recommander pour la plume de Ken Follett ,mais pour moi un bémol pour le fond.

Je ne lis pas assez de Ken Follett. C'est le constat qui m'anime après la lecture du Réseau Corneille, qui date un peu, mais qui n'en reste pas moins un excellent roman historique.
Cette histoire d'espionnage et d'opération à haut risque dans la France occupée peu de temps avant le débarquement est menée d'une main de maître par l'auteur. Comme d'habitude chez Ken Follett, les personnages sont parfaitement brossés, et leur psychologie très travaillée. Les héroïnes sont toutes attachantes à leur manière, particulièrement Betty, l'espionne "en chef". Et du côté des antagonistes, Dieter, officier allemand et tortionnaire, n'est pas en reste. le jeu de fuite/traque entre les deux protagonistes fait peu à peu monter les enjeux de l'intrigue, et les pages se tournent toutes seules.
La reconstitution historique est très bien menée, même si elle ne fourmille pas de détails, c'est amplement suffisant pour se faire une bonne idée du cadre général. le pan espionnage du livre est aussi abordé de façon agréable, avec des rencontres clandestines, du contre-espionnage, des coups de feu qui partent dans tout les sens, et des bombes qui explosent. Mais le contexte n'est finalement que l'enrobage du récit, certes fort réussi, car ce sont les différents acteurs qui en font tout le sel et l'intérêt. Ai-je enfin besoin de rappeler le talent d'écriture maintes fois loué de Ken Follett, qui a encore une fois réussi à m'immerger totalement dans ce très bon roman.

La deuxième guerre mondiale !

On est à la veille du débarquement. Et les alliés veulent mettre toutes les chances de leur côté. On a identifié, entre autres, un centre de communication en France crucial pour les allemands. Différentes tentatives pour l'anéantir n'ont pas fonctionné.
Mais Betty, une agente anglaise qui parle français couramment et qui travaille souvent en France avec les résistants a un plan.
Il s'agit d'infiltrer un groupe de femmes dans la place.
Pour ce faire, elle doit regrouper une équipe de femmes. Or le temps manque ainsi que le type de recrues nécessaires.

Et c'est parti !

Une histoire menée tambour battant. Une équipe atypique qui n'est pas piquée des vers. Un ennemi brillant et sans scrupules. Des retournements de situation inattendus. Des scènes difficiles mais qui se sont souvent passés en pays occupés.

J'ai beaucoup aimé et c'est difficile d'arrêter notre lecture car le déroulement de l'histoire est captivant.

Le débarquement de Normandie , code " Opération Neptune " est prévu de la nuit du 5 au 6 juin 1944 .

J _ 8 : Un commando de la SOE attaque le centre téléphonique de la Gestapo à Sainte-Cécile , près de Reims .
Betty , une jeune major anglaise , experte en sabotage , en est la cheffe .
La tentative échoue sous les yeux médusés du major allemand Dieter qui comprend l'importance de celle-ci .
Chargé de démanteler le réseau Bollinger , responsable de multiples attaques dans la région , il va , dès lors , la traquer pour remonter à la source et affaiblir la résistance française .

Malgré l'échec , Betty retourne en Angleterre et persuade ses patrons d'un ultime essai de destruction , offensive capitale pour la réussite du débarquement .

J_ 3 : Elle est parachutée avec son groupe hétéroclite de femmes , avec pour chacune une spécialité : elles doivent s'introduire dans le bâtiment , déguisées en femmes de ménage .

J_1 : Malgré mille difficultés et la perte de coéquipières , notre Amazone , se glisse dans la gueule du loup avec sa brigade affaiblie .

Ken Follett nous entraîne dans L Histoire par le biais des Corneilles , leur bravoure et leur don de soi pour arrêter cette maudite guerre .
A travers ses personnages , il explore la dualité de l'âme en fin psychologue : le bien et le mal , en sachant que certains sont plus pervers que d'autres .
On peut très bien être à la fois un odieux tortionnaire et un amoureux passionné , tel Dieter ( p. 459 : amoureux ) ( p. 544 : monstre ) .
Il excelle dans ses descriptions cruelles mais également érotiques quel que soit le camp des protagonistes .
p. 324 ( le sexe ) , p. 556 ( la vengeance dans l'horreur ) .

Il magnifie ces baroudeurs de l'ombre et spécialement la gent féminine .

" On ne peut pas faire semblant d'être courageux "
( Napoléon Bonaparte ) .

10000 croix militaires ( la prestigieuse MILITARY CROSS ) furent décernées pendant la deuxième guerre mondiale à bon nombre d'entre eux mais aucune héroïne n'en vit la couleur !

Un gros coup de coeur pour ce roman passionnant qui me fait découvrir Ken Follet.

Impossible de lâcher ce livre tellement l'histoire était prenante ! Je l'ai dévoré en deux jours.

J'ai adoré suivre Betty dans cette aventure incroyable. Betty est un petit bout de femme au courage immense et à la détermination sans faille qui a énormément oeuvré pour la résistance française. Elle est un exemple de courage et montre (une fois encore) que les femmes étaient tout aussi capable que les hommes dans des situations risquées.

Je me suis beaucoup attachée à elle et à ses corneilles, et j'ai ressenti une panoplie d'émotions à leurs côtés, notamment la peur (vous connaissez bken, les chapitres qu'il faut absolument terminer pour être rassurés ou au contraire se dire que là tout va mal), l'agaçement face à certaines situations, la joie aussi (parfois), la tristesse, l'excitation. Ce jeu du chat de la souris avec Dieter Franck vous met les nerfs en pelote !

La narration était extrêmement fluide, un véritable page turner, la langue utilisée agréable, nous sommes aisément immergés dans cette ambiance et dans l'époque. La narrarion n'a absolument aucun temps mort ! Il se passe toujours quelque chose !

Malheureusement je ne rends ici pas très bien hommage à cette magnifique lecture.

Betty, 28 ans, major dans l'armée britannique s'est vu confier l'organisation des opérations de sabotage sur le sol français. A quelques jours du débarquement en Normandie, elle a pour mission d'atterrir en France et d'anéantir un important central de transmission de l'armée allemande, situé près de Reims. Pour s'infiltrer dans la forteresse bien gardée, elle décide de former un bataillon féminin "le réseau Corneille", pour prendre la place des femmes de ménage qui interviennent sur le lieu et y déposer les explosifs.
du côté de l'ennemi, le major Dieter Franck veut démanteler le réseau de résistance français, afin de saper toute l'aide qu'il pourrait apporter aux troupes alliées qui doivent débarquer. Pour cela, il possède une technique infaillible pour faire parler ceux qui lui tombent entre les mains. Son but, capturer celle qui a pour nom de code "Panthère".

Jusqu'à ce jour, je n'avais pas trouvé mon bonheur parmi les ouvrages de Ken Follett. A chaque fois, l'histoire n'avait pas été à la hauteur, ni de mes attentes, ni de la quatrième de couverture toujours alléchante. "Le Réseau Corneille" me réconcilie enfin avec l'auteur. Très attirée par les récits sur la période de l'Occupation, j'ai trouvé l'aventure de ces femmes au profil si divers, passionnante, tout en étant pleinement consciente de l'aspect fictionnel puisque le SOE, le service secret auquel appartient Betty ne confiait pas l'organisation même des opérations de sabotage à des femmes. J'en ai aimé l'alternance de vue, au fil des chapitres, entre les Britanniques et les Allemands, ainsi que l'intensité dramatique due à la nécessité d'achever la mission avant le débarquement imminent. Je déplore malgré tout quelques faits invraisemblables (je pense notamment à la brosse à dents ou au maquillage de la carte d'identité), et surtout de nombreuses scènes de torture trop détaillées et un peu racoleuses.
Après avoir accordé un 17/20 à ce jeu cruel du chat et de la souris proposé par l'auteur, j'ai hâte de découvrir son best-seller "Les piliers de la Terre " qui m'attend dans ma PAL.

Deuxième pioche dans ma PAL de 12/2019, de et en lecture commune avec Witchblade, et si la première ne fût pas une réussite, celle-ci par contre est beaucoup plus intéressante et passionnante.
J'aime les romans sur les deux guerres mondiales et plus encore ceux traitants de la résistance.
J'ai lu, il y a longtemps, "La bicyclette bleue" jusqu'au tome 7 mais je me suis fatiguée des aventures de Léa Delmas et les 3 derniers tomes sont enfouis dans ma PAL.
Dans celui-ci, on retrouve Betty, nom de code Panthère, une anglaise de 29 ans et experte en sabotage, qui a à coeur de faire sauter un système de communication très important pour les Allemands.
La première opération échoue et elle va donc remonter une opération à l'aide de cinq autres femmes, qui n'auraient en temps normal jamais pu intégrer une telle opération. Elles forment le réseau Corneille.
Mais c'est sans compter sur Frank Dieter, un Allemand très au point pour interroger les prisonniers, qui a repéré Betty lors de sa première intervention.
Ils joueront au chat et à la souris durant tout le roman qui se déroule sur 10 jours.
Ce roman m'a rappelé le film "Les femmes de l'ombre".
Je suis admirative de ces gens qui ont mis leur vie au service de la patrie. Ces femmes qui ont fait preuve de tellement de courage.
J'ai eu des frissons lorsque Ken Follett parle du débarquement tant attendu avec tous ces bateaux par milliers se rapprochant des côtes Françaises.
Je ne peux que vous le recommander si vous aimez les romans historiques.

Au début, j'ai vraiment eu peur. J'ai eu peur que Ken Follett tombe dans le roman de résistance banal.

Entre « bon roman » et « roman surprenant », il y a une groooosse différence. Pour un roman sur la Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale, il vous faut :
– de la torture
– des nazis
– des résistants
– des filatures
– quelques histoires d'amour (ou de sexe) que la guerre met entre parenthèses malgré elles
– des explosions et fusillades.

Ca, c'est la première moitié du roman. La moitié où Betty rassemble son équipe, celle où Dieter torture ses prisonniers. Ensuite, l'histoire décolle enfin, en même temps que l'avion qui va déposer Betty et son équipe en France. Ken Follett arrive à nous surprendre, alors que je pensais que plus rien n'était surprenant avec la Résistance française dont on parle déjà tant.

Le problème du roman, c'est son découpage. L'action se déroule sur une semaine et donc chaque jour fait une centaine de pages (grosso-modo). Comment réussir à raconter des choses intéressantes qui se passent en une journée sur cent pages ? Eh bien tout le problème est là, des fois, on n'y arrive pas. Ken Follett a choisi de raconter deux points de vue : la guerre de l'anglaise Betty et celle de l'allemand Dieter. de fait, quand il ne se passe pas grand-chose dans la journée de Betty, Ken Follett développe celle de l'allemand… faite de torture et de filature. Autant dire que la première partie est dure à lire quand on est sain d'esprit.

La deuxième partie surprend. Peut-être justement parce qu'on n'a pas été surpris dans la première et qu'on s'attend à ce que la suite se déroule de la même manière. Mais Ken Follett trouve des façons de complexifier son histoire et de mettre des bâtons dans les roues de chacun de ses personnages.

Toutefois, il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'un roman sur la Seconde Guerre Mondiale, sur la résistance et donc sur la torture, des sujets lourds et parfois difficiles à aborder.

Ken Follett a indéniablement un talent de conteur rare et l'on pourrait lire n'importe quoi sortant de sa plume…

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Dès le début de l'histoire il nous emmène au coeur de la résistance française. Un groupe de femmes formé par Elisabeth (dit Betty) Clairet doit faire sauter un central téléphonique basé dans un vieux château à Sainte Cecile près de Reims, mais un nazi haut-placé est au courant de leur projet. Betty et son groupe vont rencontrer plusieurs obstacles... vont ils réussir leur objectif ?

Quel plaisir de retrouver la plume de Ken Follet! Ca faisait un moment que je n'avais pas lu de livres de lui. J'ai bien aimé cette histoire sur la résistance, on est pris en haleine du début jusqu'à la fin. Tous les ingrédients sont présents pour passer un bon moment de lecture.

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