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4,33

sur 3274 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Plus c'est épais, meilleur c'est. Voilà la conclusion à laquelle je suis arrivée au sujet des livres de Ken Follett. Et le Siècle 2 / L'hiver du monde n'échappe pas à cette règle : je l'ai trouvé absolument passionnant, dans la droite ligne du tome 1.

Certes, le style n'a rien d'extraordinaire et certaines situations sont vraiment cousues de fil blanc. Mais ce roman happe son lecteur, lui faisant vivre une multitude d'aventures en Union Soviétique, aux États-Unis, en Angleterre, en Allemagne... tout en révisant l'Histoire du monde des Années 30 au Plan Marshall. Résultat : j'ai dévoré ce livre si vite qu'il me faudrait peut-être une 2ème lecture pour en retenir tous les faits historiques marquants.

On retrouve dans ce 2ème tome les mêmes familles que dans le 1er : les van Ulrich à Berlin, les Fitzherbert et les Williams à Londres, les Dewar à Washington et Buffalo, les 2 branches Pechkov en Union Soviétique et aux États-Unis... Tout ce petit monde évolue, de près ou de loin, dans la sphère de la politique et de la diplomatie et nous fait assister à la montée des fascismes en Europe (pas juste en Allemagne), à la guerre d'Espagne, aux recherches scientifiques ayant mené à la bombe atomique, à Pearl Harbor et aux batailles du Pacifique, aux excès de la police secrète soviétique, aux jeux dangereux de l'espionnage et du contre-espionnage, à la barbarie nazie, aux atrocités de la prise de Berlin par l'Armée Rouge, à la création de l'ONU et aux prémices de la guerre froide. C'est vraiment très riche et intéressant !

Ce que j'ai beaucoup aimé aussi, c'est le plaidoyer pour la démocratie et le profond message d'espoir. À part Erik van Ulrich qui passe du nazisme au communisme dans sa recherche d'un 'prêt à penser', les personnages s'interrogent, doutent, réfléchissent, agissent, sont nuancés et ne ferment pas les yeux sur les travers, petits ou grands, des différents régimes. Ainsi, Volodia voit bien le fossé entre le communisme rêvé et le totalitarisme stalinien. de même, tous s'engagent à leur facon pour transformer le monde. Au final, malgré toutes les horreurs qu'il montre, et aussi parce qu'il les dénonce et qu'il met à l'honneur des personnages dignes et acteurs de l'histoire, ce livre est fondamentalement optimiste.
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Dans ce deuxième tome de plus de 900 pages: "L'hiver du monde", nous assistons à la montée d' Hitler au pouvoir puis à la barbarie et à la destruction qui vont suivre dans le monde entier....Le lecteur retrouve avec fascination et intérêt la suite du destin de cinq familles de nationalité différente, des personnages exceptionnels et leurs enfants( les Ulrich ,Allemands ,les fitzherbert, Gallois, les Williams, Anglais, les Dewar, Américains,les Pechkov, Russes). Chacun à sa maniére tente de faire face au milieu du chaos . L'auteur, un Conteur Fabuleux décrit avec intelligence, lucidité et brio l'effroi dans lequel le monde plonge durant la deuxième guerre mondiale.....
On apprend beaucoup: à propos du mouvement fasciste en Angleterre , la résistance des civils allemands face à la barbarie Nazie( cela m'a fait penser à l'ouvrage : Seul dans Berlin "de Hans Fallada), sur l'ONU, le développement nucléaire, le plan Marshall, les débuts et les origines de la guerre froide.....
On découvre ou re-découvre les enjeux de la guerre et l'on côtoie des personnages historiques de premier plan , de Enrico Fermi à Molotov, de Churchill à Roosevelt et Truman, , Staline...
Les références historiques judicieuses nous captivent, l'histoire est passionnante.
On vit les restrictions de la guerre avec les protagonistes. Nous sommes Anglais puis Russe, Allemand, Américain. Nous vivons les points de vue diplomatiques et scientifiques de chaque camp. Les transitions entre les differentes histoires sont parfaitement réussies même si parfois certaines situations romanesques l'emportent sur la politique à part entière , au hasard des pages de ce pavé.
Les sujets sont remarquablement documentés peut être un peu longs et complexes à certains moments : la pile atomique, le projet Manhattan ....
Amours contrariées et secrets affluent,coups du sort et tragédies individuelles côtoient la grande histoire. Ce deuxième tome: un pur bonheur allie une intrigue passionnante à une connaissance historique impressionnante. La densité des personnages, la description du contexte et des mentalités de l'époque ajoutent de la crédibilité à cet ouvrage, quel souffle! le rôle des femmes, essentiel,est mis en valeur, : infirmières, scientifiques,chercheuses, ouvrières, simples mères de famille courageuses ,démunies humbles et fières prêtes à tous les sacrifices pour vaincre le fascisme , chacune dans leur rôle !
Cet ouvrage , un coup de maitre , est-ce que le troisième tome : 1200 pages sera
d'aussi bonne qualité ?
On dit que les sagas s'essoufflent, je vais le découvrir.....
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Bien que lu avec autant de plaisir que le premier tome – la technique du roman marche bien, guerre, amour, suspense – je l'ai trouvé moins réussi. Les personnages sont plus caricaturaux, parfois anachroniques, l'aspect historique moins approfondi, voir lacunaire. Seuls certains aspects de la 2ème guerre mondiale sont évoqués. Mais l'ensemble reste intéressant, malgré quelques clichés. On y trouve la condamnation de toutes les dictatures, la mise en relief de leurs points communs, leur mépris de la vie humaine que ce soit la mise à mort des personnes handicapées par le régime nazi, le viol des femmes allemandes par les soldats soviétiques, l'élimination systématique des opposants. le contexte de l'époque est bien analysé, course à la bombe atomique, l'alliance des États-Unis avec certains pays européens, la division de l'Europe à la fin de la guerre et déjà la guerre froide qui s'annonce…

On suit la génération suivante de nos personnages, nés dans le livre précédant, et qui vont peu à peu découvrir leurs liens familiaux…ou leur véritable identité. Beaucoup de rebondissements, trop, dans les histoires d'amour, découvertes de paternité ou de fraternité, manquant parfois de crédibilité. Mais malgré tout on se laisse emporter, et emmener tout doucement vers le troisième tome que je ne manquerais pas de dévorer dès que possible. Histoire de ne pas perdre le fil.
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Le second tome d'une grande fresque historique alimentée par l'histoire de quatre familles, des Américains, des Allemands, des Britanniques et des Russes.

Dans ce monde, tout est relié : un oncle de la famille russe a émigré aux États-Unis, une Anglaise a épousé un Allemand, il y a des fils illégitimes et des rencontres de hasard. C'est la deuxième génération et les croisements se continuent. Des personnages sont là pour les grands événements du siècle : à la Chambre britannique ou auprès de la Maison-Blanche, à Pearl Harbor ou aux essais de bombe atomique et à leurs mariages, ils invitent le roi d'Angleterre ou Staline.

De la montée du nazisme à la « paix froide », « L'hiver du monde » raconte l'histoire de cette période avec ses atrocités : guerre d'Espagne, bombardement de Londres, campagne de Russie, torture et meurtres à bout portant, viols et vols.

C'est aussi les coulisses de la politique avec les tractations et le jeu de poker des rencontres internationales ; les aléas du « renseignement », de l'espionnage et du contre-espionnage qui tentent de deviner les coups de l'adversaire ; les vacillements de la démocratie avec des manifestations brutales de l'extrême-droite fasciste trop bien encadrées par les forces policières, même en Angleterre.

Les grandes familles illustrent des univers sociaux : le snobisme d'une élite où l'Américaine Daisy semble une froide Scarlett, la noblesse anglaise désargentée qui peut épouser une riche héritière, le milieu modeste de travailleurs miniers et de politiciens de gauche, la misère affamée des populations des villes détruites.

Pour en faire un roman, Follett y a ajouté des scènes d'amour et de sexe, tissant ainsi les fils qui unissent les différentes familles.

On trouve de tout dans ce pavé de près de mille pages. Une lecture facile, pas un sommet de littérature, mais une bonne façon de revoir l'histoire de cette partie du vingtième siècle.
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Passionnée d'histoire, je dois admettre que je mourrais aussi de curiosité de savoir ce qu'allaient devenir les personnages de la Chute des Géants. Je ne me suis donc pas laissée impressionner par l'ampleur de ce deuxième tome et je l'ai lu dans la foulée, suivant en retenant mon souffle le devenir des protagonistes allemands, britanniques, américains et russes (ou plutôt de leurs enfants) pendant « l'hiver du monde » qu'ont représenté les années 1930 et 1940.

J'ai retrouvé avec intérêt tout ce qui faisait la force du premier volet de la trilogie du siècle, notamment une capacité fantastique à nous faire revisiter la grande histoire, celle qu'on connaît dans les grandes lignes pour l'avoir étudiée en classe, à travers les petites histoires de personnages auxquels on s'identifie facilement : adolescents allemands contraints de choisir entre embrigadement et résistance au péril de leur vie, militants du parti travailliste britannique, fonctionnaires de la Russie communiste, jeune actrice afro-américaine, résistants espagnols… La chronologie méticuleuse que Ken Follett restitue au prisme des expériences et points de vue individuels est glaçante et donne le vertige lorsqu'on prend la mesure des drames singuliers masqués par les chiffres terrifiants : 6 millions de Juifs assassinés pendant l'Holocauste, 300 000 victimes handicapées exterminées, 60 millions de morts durant la Seconde guerre mondiale, 2 millions de femmes violées en Allemagne par des soldats de l'armée rouge à la fin du conflit. Impossible de réaliser ce que cela signifie et difficile d'entretenir au fil des générations une mémoire pourtant essentielle ; la vie des protagonistes imaginés par Ken Follett, leurs perceptions, leurs doutes, leurs espoirs et leurs traumatismes parviennent précisément à incarner et à rendre presque palpables ces pages terribles de notre histoire.

Au moment où les autoritarismes et les « démocraties illibérales » montent un peu partout dans le monde, j'ai trouvé particulièrement éclairants les épisodes montrant le musèlement progressif de l'opposition allemande au national-socialisme en jouant sur ses divisions, l'embrigadement de la jeunesse et la terreur instaurée par la Gestapo. Et comment ne pas être bouleversée par l'épouvante des combats, l'incertitude et le deuil des familles, le courage de ceux qui font vivre une étincelle d'humanité dans un monde dévasté et déboussolé…

La Chute des Géants m'avait impressionnée par une capacité incroyable à nous extraire des lectures nationales de l'histoire. J'ai trouvé L'hiver du monde un peu décevant de ce point de vue dans la mesure où l'on sent à chaque page à quel point l'auteur sympathise avec les sociaux-démocrates qui sont tous beaux, lucides, intègres et visionnaires, par opposition aux nazis, bien sûr (bien qu'aucun des protagonistes ne soit tenté de soutenir le national-socialisme), mais aussi aux communistes qui sont tous des personnages auxquels on a du mal à s'identifier. La confrontation des points de vue de différents groupes sociaux de pays variés me semble donc moins opérante. de même, le centre de gravité de l'histoire se situe clairement dans le monde anglo-saxon, une perspective instructive pour les lecteurs français qui chercheront en vain des références à ce que l'on apprend à l'école par chez nous – nulle évocation, en particulier, du rôle des Français dans la résistance, mais une attention particulière est consacrée à la guerre entre les Etats-Unis et le Japon.

L'intrigue est toujours très prenante, même si les situations et les rencontres des différents personnages sont souvent cousues de fil blanc. Si je n'ai pas été époustouflée par l'écriture, il me semble que les qualités évoquées précédemment justifient pleinement de recommander ce deuxième tome – et, pour ma part, de découvrir avec curiosité ce que deviendront les personnages dans le troisième tome consacré à la guerre froide !
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Une lecture dense, riche, qui n'est pas sans susciter pas mal d'émotions.

2e tome de sa saga le Siècle, Ken Follett aborde ici la question de l'Allemagne nazie, de la Seconde Guerre mondiale et de l'immédiate après-guerre avec la deuxième génération de ses protagonistes. Si on revoit les protagonistes du tome 1, ils restent tout de même très secondaires par rapport à cette génération, nous arrachant tout de même quelques belles séquences d'émotions. D'autant que les secrets de famille éclatent, forcément...

Comme dans le premier, je suis admirative du contenu historique, très poussé et surtout très accessible que nous propose Ken Follett. Avec une plume immersive, il parvient à retracer la vie politique, la géopolitique et la politique militaire qui a marqué cette période, et ce dans plusieurs endroits du monde : l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'URSS et les Etats-Unis. La première partie est centrée sur la montée du fascisme en Europe, la deuxième sur la Seconde Guerre mondiale, la troisième sur cette paix instable dans ce monde plus que cabossé. Il parvient à nous faire saisir toute l'horreur de cette période. le projet Aktion T4, les viols de l'Armée russe, les bombardements stratégiques visant les civils, l'élaboration de la bombe atomique, la torture des différentes polices politiques, ... Les protagonistes très sont loin d'être épargnés et le message est clair : pas un camp n'a été tout blanc dans ce conflit! de toute manière, comment cela serait-il même possible?

Côté protagoniste, je me retrouve grosso modo avec le même ressenti. J'aimais beaucoup les personnages de Walter et de Maud, ainsi que celui d'Ethel. C'est donc sans surprise que mes préférés sont Carla, la fille du premier couple, et Lloyd, le fils illégitime de la seconde. Ils incarnent la résistance au nazisme, chacun à leur manière. Pour ce qui est de Volodia Pechkov, j'éprouve là encore le même sentiment que vis-à-vis de Grigori : je ne l'apprécie pas plus que ça tout en trouvant son personnage très intéressant. Il incarne le Soviétique épris de valeurs communistes mais qui sait remettre en doute son régime, voir ses imperfections. En ce qui concerne le côté '"américain", là encore, les personnages m'ont laissé un peu indifférente. Que ce soit Greg Pechkov dont l'histoire me semble très éloignée du gros du récit, ou Woody Dewar qui a une personnalité très lisse à mon goût. Son frère Chuck apportait plus, à mon sens. En revanche, le personnage de Daisy Pechkov a eu une évolution incroyable, bien amenée, bien construite. D'irritante, elle finit par avoir un rôle clé et une personnalité à laquelle on s'attache.
Dès le début, on sait que les personnages conçus par Ken Follet ne seront pas tous "dans le bons camps". C'est un parti-pris que je trouvais intéressant mais que je trouve l'auteur n'a pas mené jusqu'au bout quand on voit le destin de Boyd et surtout le rôle tout de même très effacé d'Erik. Après, je peux comprendre que l'auteur cherche à ce qu'un maximum de personnages finissent dans le "bon camps", cela les rendant plus appréciable.

Des trois, l'ultime tome est celui que j'attends de découvrir avec impatience, traitant de la guerre froide. C'est également celui que je redoute le plus, ayant peur de peu apprécier les personnages américains qui normalement auront un rôle d'envergure! du moment, dans un contexte de guerre froide, c'est ce à quoi on peut légitimement s'attendre! A voir donc...

En attendant, je vais laisser quelques semaines avant même d'envisager de lire le dernier tome, le temps de digérer cette lecture qui, toute aussi intéressante soit-elle reste très dense.
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J'ai dévoré ce 2è tome que j'ai trouvé beaucoup plus romanesque que le premier. On est plongés au coeur de ces familles et au travers d'une page très sombre de l'humanité. Cela reste une lecture prenante et fascinante par le pouvoir d'imagination et la faculté de retranscrire des faits historiques de Ken Follett.
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Ce livre est le deuxième de la trilogie de l'auteur sur l'histoire de plusieurs familles au XXème siècle après la Chute des géants. L'action se passe cette fois entre 1933 et 1949. Nous traversons les heures sombres de la montée du nazisme, de la seconde guerre mondiale et des prémisses de la guerre froide avec la course à la bombe atomique (d'où le titre).
C'est un livre passionnant (et bien écrit) pour ceux qui apprécient l'histoire, même s'il est légèrement orienté.
J'ai particulièrement apprécié l'accent mis sur la résistance allemande au nazisme.
J'ai pu me procurer rapidement le 3ème tome et je vais enfin savoir ce qu'il est advenu de Woody et Bella Dewar, les Américains, Lloyd et Daisy Williams, les Anglais, Werner et Carla Franck, les Allemands, Volodia et Zaïa Pechkov, les Russes ainsi que leurs rejetons (pas de Français, ah !)
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Dans ce deuxième tome de sa saga sur l'histoire du 20ème siècle, Ken Follett nous entraine dans la seconde guerre mondiale.
A nouveau bien documenté, on y suit la montée du nazisme, la prise de pouvoir de Hitler, mais aussi la montée du fascisme dans toute l'Europe et l'on voit que l'Angleterre y a échappé de peu...
On y suit les même familles, mais les nouvelles générations, que nous avions découvertes lors du premier tome, ce qui permet une excellente continuité.
La guerre, la course atomique, la victoire des alliés avec son lot de viols et autres exactions, tout y est compté avec le brio que nous connaissons à l'auteur !
A nouveau un bon roman historique et une mise en scène de la seconde guerre mondiale un peu inhabituelle !
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L'énorme avantage avec @Ken Follett, c'est que la longueur d'une critique est inversement proportionnelle à la taille de l'ouvrage ! En l'espèce, ici, quelques lignes suffiront pour donner un avis sur @L'hiver du monde, second tome de la fresque consacrée à l'histoire du vingtième siècle, un pavé de 1000 pages, classique chez l'auteur.
Classique aussi, la trame d'ensemble : on ne change pas une équipe qui gagne. On retrouve le goût de Follett pour les drames familiaux, les chassés-croisés, les petites histoires dans la grande. Des péripéties en veux-tu, en voilà, des destins qui se croisent sans cesse et qui mettent aux prises cette fois les enfants des familles déjà vues dans @La chute des géants.
Simple, efficace, comm toujours, @ Ken Follett nous entraîne dans un tourbillon. Quelques passages m'ont parfois paru un peu "tirés par les cheveux", moins crédibles que d'autres. J'ai par contre apprécié tout particulièrement les prémices de la guerre au Royaume-Uni, avec la tentation fasciste à l'oeuvre. Mention spéciale également au personnage de Carla von Ulrich, prise au piège de l'Allemagne nazie.
Prochaine étape : la troisième génération au coeur de la guerre froide.
Et puis j'ai finalement triché : il m'a fallu un peu plus de quelques lignes, Follett aurait-il - un peu - déteint ?
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