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Mukwa est un enfant indien qui vit au Canada. Il aime bien sa vie mais malheureusement son père l'emmène dans une école catholique même s'il n'en a pas envie. Mais arrivé dans sa nouvelle école tout ne se passe pas comme prévu et il se fait torturer. Là-bas les enfants indiens sont sans liberté.

J'ai beaucoup aimé ce livre même s'il est dur. Il est encore plus émouvant quand on sait que c'est une histoire vraie. le personnage est émouvant et on s'imagine vite tout le décor et les personnages. On rentre dès le début dans l'histoire et le livre se lit vite. Je ne le conseille pas à tous les lecteurs car il est quand même très dur.

Julia 5e
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Je n'ai pas trop apprécié ce livre car les soeurs infligent des sentences d'une cruauté inimaginable aux enfants auquel elles ont détruit l'Indien qui se trouve en eux. Certains qui se sont évadés sont morts quelques jours plus tard.



J'ai trouvé ce livre très intéressent et très bien malgré les douleurs, les souffrances et les méchancetés que subit ce petit indien.
Tiphaine
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Kill the Indian In The Child est un livre poignant. Vous ne pouvez pas le poser sur une étagère une fois terminé et simplement dire "il est bien" ou pas...
Ce livre, bien qu'il soit court, n'est pas destiné aux enfants.... Il raconte l'histoire de centaines d'Indiens qui devaient se rendre dans des "centres" , où leur identité leur était enlevée, où ils se faisait battre, violer et bien d'autre choses...
C'est cependant un livre très beau, et E.Fontenaille écrit très bien.
Marie 3eme
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Les souffrance d'un jeune indien Objiwé

D'après une histoire vraie.L'histoire se déroule a Sainte Cécilia,dans un pensionnat canadien ou un jeune indien"Mukwa" onze ans est séparé de sa famille et est envoyé au pensionnat comme tous les jeunes indiens.Dès son arrivée,le jeune Objiwé est confronté aux malheurs du pensionnat :humiliation,maltraitance,privation de nourriture et plus encore.Tout cela pour oublier leurs origines,leur religions et leur culture d'où le nom du titre "Kill the Indian in the child"éliminer l'indien dans l'enfant.Malgré ses douleurs,Mukwa va de l'avant et décide de s'enfuir pour être libre er rejoindre son père.
L'auteur de ce livre,Elise Fontenaille,née le 16 aoûte 1960 à Nancy,est une auteur française de romans de littérature générale et pour la jeunesse,ainsi que de science-fiction."Kill the Indian in the child",est un récit qui mêle ouvertement la science-fiction et la vraie vie d'un indien où le personnage raconte sa vie.
Ce livre ma beaucoup touchée,tout ce que le jeune indien a dû endurer,j'ai vraiment du mâle à croire que cela soit vrai.ce que l'on pouvait négliger pour ma part,c'est la partie science-fiction.J'aurais préféré que l'écrivaine s'arrête à une vraie histoire et non,qu,elle invente une suite où le jeune indien devient un corbeau (qui est le symbole de la liberté) enfin libre et qui prêt à déployer ses ailes,même si le livre est l'un des meilleures que j,ai lus.
Je recommanderais à tout lecteur de lire ce beau témoignages et surtout pour ceux qui apprécient les histoires vraies et touchantes.
Sedef

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Des enfances détruites, gâchées

Mukwa est un jeune Ojibwé, forcé d'abandonner sa famille pour être rééduqué dans une école catholique très redoutée du peuple autochtone : Sainte-Cécilia. Là-bas, il sera humilié, maltraité et torturé afin d'éliminer l'indien qui vit en lui. Cependant, le comportement inadmissible des nonnes et prêtres qui s'occupent, d'une manière épouvantable, des enfants entraîneront la désobéissance et la fugue de Mukwa. Réussira-t-il à s'enfuir ? Que va-t-il lui arriver ?

Premièrement, dans le roman Kill the Indian in the child, tous les éléments, toutes les actions, toutes les pensées des différents personnages ont été parfaitement choisis et réunis afin d'émouvoir les lecteurs. Effectivement, la malheureuse histoire de Mukwa est pire qu'injuste. Il n'a jamais rien fait, jamais transgressé la loi, jamais éveillé le regard de ces religieux "puissants", et pourtant le sort s'acharne sur lui. J'ai adoré et admiré la persévérance, ainsi que la volonté courageuse dont il faisait preuve, à rejoindre sa famille et quitter cet établissement affreux. En revanche, j'ai détesté l'évolution de la personnalité de son ami Ahmik et bien évidemment les souffrances administrées à ces jeunes innocents. De plus, l'histoire repose sur des faits véridiques au Canada. Enfin, Elise Fontenaille a réussit dans un simple et court roman à établir une prise de conscience, à dénoncer les crimes de l'époque et à lutter contre le racisme grâce à son statut de romancière.

Lise

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Kill the indian in the child : le reflet de la réalité

Kill the indian in the child est tiré de l’histoire vraie de Chanie qui est un jeune enfant Ojibwé. Dans le récit, le personnage inspiré de Chanie s’appelle Mukwa, il a onze ans et est envoyé, comme tout les enfants indien, au pensionnat Sainte-Cécilia, où l’éducation est remise à des prêtres et des religeuses. Malheureusement, dès son arrivée, Mukwa est confronté aux dures lois du pensionnat : privation de nourriture, maltraitance… pour tuer l’indien qui est en lui (d’où le titre du livre « Kill the indian in the child » soit  « tuer l’indien dans l’enfant » : écrit sur l’un des murs du pensionnat).Malgré tout ça, le jeune garçon réussi a se faire un ami et à s’enfuir du pensionnat pour retrouver sa famille qui lui manque tant.

Tout d’abord, le fait que se roman parle d’un fait réel m’émeut encore plus que tout autre roman. Le message que l’auteur à réussi a faire passé a travers son livre est poignant : elle a réussi a dénoncer les drames qui se passaient dans ces pensionnats, a lutter contre le racisme… Ce roman est très court, mais n’enlève en rien l’émotion qu’il transmet. J’ai remarqué les efforts de Mukwa tout au long de l’histoire, et je pense que ça doit être un exemple que tout le monde devrait pouvoir suivre.

Mathilde
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Une histoire vraie et bouleversante.

Ce livre parle essentiellement d’un enfant indien nommé Mukwa qui va être obligé comme beaucoup d’autres d’Indiens de son âge à aller dans un pensionnat canadien dirigé par des religieux. Après la liberté qu’il a connu avec son père trappeur au début de sa vie, ce pensionnat va lui paraitre être l’enfer. Il va y connaitre l’humiliation, la torture physique et mentale, le viol, la privation de nourriture et bien d’autres atrocités encore. Seulement, après plus de trois mois passés en enfer, Mukwa et son meilleur ami que les religieux ont nommé « numéro 16 » décident de s’enfuir pour retrouver leur village natal et leur familles. Malheureusement, le voyage retour ne se passe pas exactement comme prévu …

Je trouve que ce livre frappant de réalité est une bonne leçon de vie et d’humanisme pour tout le monde. Il nous rappelle encore une fois que l’Homme « avec un grand H » est à la fois exécuté et exécuteur. J’ai beaucoup apprécié ce livre car même s’il est très noir et très triste, on retrouve une touche d’espoir vers la fin du roman. On nous y montre que tout n’est pas perdu et qu’il est encore temps d’agir même si beaucoup de personnes ont souffert et parfois même en sont mort. J’ai aussi trouvé que l’auteur a su parfaitement retransmettre les émotions de toutes ces personnes qui ont été traumatisées par leur passé. Sinon, j’apprécie beaucoup le style d’écriture d’Elise Fontenaille par son ajout de passé simple à certains endroits qui me donne l’impression de lire une autobiographie et qui accentue le réalisme de l’histoire. J’ai aussi aimé le fait que comme pour ses livres, E. Fontenaille a su garder l‘essentiel de l’histoire sans la déformer ou l’exagérer tout en gardant le réalisme ce qui nous permet d’obtenir un roman très court d’environ 90 pages seulement.

Romain

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Une rééducation ou la mort assurée ?

Mukwa un jeune indien de 11 ans va connaître une très mauvaise expérience dans le centre de « rééducation » de Sainte Cécilia. Il va faire face à de nombreuses mauvaises expériences qui le traumatiseront. Le jeune Ojibwé va tout faire pour trouver un moyen de s’enfuir de « cette prison » comme l’appelle Mukwa et pour rejoindre son père qui vit dans la forêt grâce à son activité de trappeur.
Elise FONTENAILLE est né le 16 août 1960 à Nancy. Elle est une écrivaine française de romans de littérature générale et pour la jeunesse. Elle a aussi écrit des romans de science-fiction. Elle a d’abord travaillé en tant que journaliste à Paris et en tant qu’attachée de presse à Vancouver au Canada au consul de France avant de se lancer dans la littérature.
L’histoire du jeune Ojibwé est pleine d’émotion. On découvre une face cachée de la « cohabitation » des Indiens et des Canadiens. Nous éprouvons de la peine pour les enfants du pensionnat qui reçoivent d’imposantes punissions. J’ai globalement aimé ce livre car il y a une histoire réelle et prenante qui m’a amené rapidement à la fin du livre. Le meilleur passage, selon moi, est celui de l’évasion car c’était un moment tendu en sachant que son compagnon avait déjà tenté de s’enfuir mais il avait échoué à plusieurs reprises et s’était fait violemment punir. Cependant, je n’ai pas bien compris certains passages du livre comme la fin quand l’enfant mourut et qu’il se transforma en corbeau.

Hakim
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Une histoire vraie qui vous laissera sans voix.

Ce roman raconte l’histoire d’un jeune indien, nommé Mukwa âgé de onze ans qui va être envoyé dans un pensionnat canadien dont l’éducation est confiée à des religieux qui est la Saint-Cécilia. Mais le jeune indien va découvrir et subir l’humiliation, les mauvais traitements, la privation de nourriture. Mais il va décider de fuir ce pensionnat pour retrouver son père qui est un trappeur.
Tout d’abord, j’ai beaucoup apprécié ce livre. J’ai trouvé intéressant qu’il s’agisse d’une histoire inspirée de faits réels, car parfois on peut penser que c’est exagéré par l’auteur mais de savoir que ce n’est pas de la fiction cela nous permet de mieux nous projeter dans la réalité. D’autre part, j’ai trouvé ce livre horrible car les violences infligées aux indiens étaient insupportables. La maltraitance, l’humiliation, la privation de nourriture, la violence physique envers les indiens, ils ne le méritent pas, ils ont rien demandé et doivent subir toutes ces violences. C’est à ce moment que je me rends compte à quel point certaines personnes peuvent être cruelles envers une population différente car ils ne sont pas comme eux. Et j’ai vraiment eu de la peine pour ces pauvres indiens. Sur le plan émotionnel ce livre m’a beaucoup touché car ça parle de la colonisation et de l’assimilation des indiens au Canada. Je ne trouve pas normal qu’on oblige les peuples colonisés à oublier leur culture et leur identité et à adopter celle de leur colonisateur. Mais aussi pour l’extrait de Mukwa où il arrive à s’échapper de l’internat et qu’à la fin [ il meurt de froid dans la neige. Celui-ci devient donc un corbeau, il se rend compte qu’il est mort et qu’il s’imagine même son père à côté de lui en corbeau]. J’aime beaucoup ce livre car il nous fait prendre conscience de ce qui s’est réellement passé à cette époque et ce qui nous fait apprendre d’avantage. C’est un livre que je conseille vraiment, car d’une part il s’agit d’histoire vraie, et d’autre part il nous fait prendre conscience de beaucoup de choses, notamment sur les crimes raciaux et qu’on a beaucoup de chance de vivre dans un pays libre.

Nazli
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Élise Fontenaille, née le 16 août 1960 à Nancy, est une auteure française de romans de littérature générale et pour la jeunesse, ainsi que de science-fiction, J'ai eu la chance de la rencontrer, c'est une personne vraiment géniale, elle vit de sa passion.
Mukwa est un jeune indien de 11 ans, comme ceux de son âge, il a été envoyé à  Sainte-Cécilia, un pensionnat canadien dont l'éducation est confiée à des religieux. Malheureusement, cet établissement ne ressemble en rien à une école traditionnelle. Pour tout apprentissage, le jeune Ojibwé devra faire face à l'humiliation, la privation de nourriture, les mauvais traitements... Car le mot d'ordre est « Kill the Indian in the child » : « éliminer l'Indien dans l'enfant », c'est-à-dire lui faire oublier sa culture, sa religion, ses origines. Mais Mukwa se rebelle, décide de fuir et de rejoindre son père trappeur, dans la forêt, malheureusement tout ne se passa pas comme prévu.
Kill the indian in the Indian, est un livre qui ne me plaisait pas au départ, ce n'est pas le genre de livre qui est dans ma bibliothèque. Mais je l'ai lu d'une traite et honnêtement je l'ai trouvé super bien. J'ai découvert des choses que je ne savais pas, mais le fait que cette histoire soit basée sur des faits réels m'a d'autant plus touchée.

Solenne
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Kill the Indian in the Child nous raconte la vie de Mukwa, jeune Objiwé, envoyé dans un pensionnat canadien du nom de Sainte-Cécilia. A partir de ce moment là, sa vie deviendra un enfer car la seule chose qui compte, c'est de "tuer l'indien dans l'enfant". Mukwa ne voudra pas se laisser faire et cherchera à s'enfuir de cette "prison".
Je n'ai pas vraiment aimé ce livre. Je n'ai pas trouvé les personnages attachants, et la façon plutôt "simple" dont l'histoire est racontée m'a un peu ennuyé. J'ai aussi trouvé que tout se passait très vite. Le sujet abordé est tout de même très important et bouleversant, surtout quand on sait que ça n'a pas été inventé. Au final, ce livre m'en a tout de même appris sur la situations des peuples indiens au Canada, mais je ne sais pas si je recommanderai ce livre à d'autres.

Lisa
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Kill the Indian in the child , Elise Fontenaille.

«Je n'aurais jamais dû te laisser partir gémissait-il»

Ce roman est tiré de faits réels et il est conté par Mukwa un jeune ojibewé(tribu indienne ) ayant vécu dans les années 1960 à Marten Falls dans le nord de l'Ontario. Mukwa est un enfant fictif qui est inspiré de Chanie Wenjack qui a réellement existé.Mukwa, comme les autres petits indiens, doit partir dans un pensionnat catholique qui ressemble plus à une prison qu'à une école.Les nonnes vont tout faire pour leur enlever leur identité. Alors, venez découvrir l'histoire de «numéro quinze»...

Ce livre m'a particulièrement touchée.L'auteur veut montrer une autre facette de l'église catholique dans les années 60 que celle que l'on a l'habitude d'entendre ou de voir.Elle cherche à montrer le côté inhumain de l'Eglise envers ces enfants indiens , ce qu'elle leur fait subir, comment ils vivaient , les conditions et tout un tas d'autres choses horribles et inapropriées pour des enfants. C'était une honte de faire des choses comme ça!L'auteur a également parlé de la culture indienne , en mêlant a cette histoire des mots en ojibewé. J'ai trouvé ça très bien de trouver des mots et de découvrir des mots d'une autre langue. Aussi,l'histoire est à la première personne du singulier , permet de mieux comprendre.On peut voir ce que le personnage ressent, comment il se sent. Un livre particulièrement émouvant et plein de découverte avec un côté assez sombre,sinistre mais avec qui vous accrocherez aussi bien adolescents, adultes.Valentine 2nd mistral

5/5

Mukwa est un enfant indien de onze ans qui vit avec ses parents et ses petites soeurs. Les parents du jeune garçon envoient Mukwa dans un pensionnat canadien, exclusivement composé d'indiens dont l'éducation est confiée à des religieux. Il part en bus avec d'autres enfants, son père l'accompagne pour voir le pensionnat. Il se situe en haut d'une montagne. Il va découvrir l'humiliation, la privation de nourriture, les mauvais traitements ... On pourra vite s'apercevoir que le titre prend tout son sens dans ce livre. Mais Mukwa se rebelle, décide de fuir et de rejoindre son père trappeur, dans la forêt ...
Elise Fontenaille nous montre une galerie de personnages, les enfants du pensionnat, les dirigeants de l'établissement, un vieil homme, la famille de l'un des pensionnaires.
Mukwa, personnage clé et fil rouge de ce roman, va essayer de fuir ce pensionnat. Malin, rusé, déterminé, courageux, Mukwa a toutes les qualités pour fuir ce pensionnat dans Sainte-Cécilia.
Elise Fontenaille, journaliste-écrivaine, nous apprend la triste vérité sur ces pensionnats réservées aux indiens et devenus de véritables lieux d'humiliation et de torture. le dernier a fermé ses portes en 1996, plus de 150 000 enfants y ont été déportés, torturés, 30 000 ont trouvé la mort. Ce roman construit admirablement frappe fort avec une atmosphère pesante.
Florian 2nde Noroit
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Ce livre a été écrit par Elise Fontenaille, il met en scène un jeune garçon nommé Mukwa qui doit partir dans un pensionnat catholique pour perdre son identité d'indien.J'ai bien aimé ce livre car il n'est trop long à lire et il est basé sur des faits historiques.Je conseille donc ce livre.

Mathéo

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Un livre bouleversant...

Kill in the indian de Elise Fontenaille évoque une histoire vraie. Cette oeuvre nous apprend certaines traditions et mots indiens mais aussi ce livre nous démontre comme thème celui de la peur et de la tristesse.
Il raconte l'histoire d'un jeune Indien ojibwé, Mukwa, qui est obligé d'entrer dans un pensionnat, Sainte-Cecilia, dirigé par des soeurs ainsi que par des prêtres pour "tuer l'indien qui est en lui". Bien que son père opposera une certaine réticence à laisser son fils là bas, il obéira tout de même à ce qu'est la loi et délaissera son fils malgré lui dans ce pensionnat. C'est à ce moment que Mukwa connaîtra la peur des coups ainsi que la douleur qu'ils provoquent, des punitions infligées et qui sont monstrueuses, de la maltraitance, mal nutrition et manque d'hygiène immense. Mais, aussi, ce sera là bas, dans ce pensionnat catholique horrible qu'il rencontrera un autre ojibwé qui deviendra par la suite son meilleur ami. Puis, vint le jour de ce qui est sensé être leur délivrance. Leur évasion à lui et son nouvel ami. Ils veulent s'échapper de cet affreux pensionnat qu'est Sainte-Cecilia et désirent plus que une chose : retrouver leurs proches.
Ce livre s’est trouvé être très intéressant et captivant car il évoque une histoire vraie. Facile à lire, je le conseille à ceux qui souhaitent s'enrichir sur ce sujet. Néanmoins triste, je ne vous cache pas que j'ai pleuré en découvrant la fin de ce livre.

Aurélie
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Kill the indian in the child est un romant écrit par Elise Fontenaille. Les principaux thèmes abordés sont la violence et l'environnement austère...
Ce livre raconte l'histoire de Makwa, un jeune indien Ojibwé. Celui-ci a onze ans,il est donc envoyé à Sainte-Cécilia, un pensionnat religieux. Il va vite comprendre que cet établissement n'a rien d'accueillant, il y a un cimetière d'enfant, les prêtres et nonnes brutalisent et martyrisent les enfants. Puis, dès son arrivée,les enfants sont rasés, et porte un numéro en guise de prénom, ils vont devoir subir le manque de nourriture, la maltraitance, ainsi les mauvais traitements. Le but est donc "d'éliminer l'indien dans l'enfant", lui faire oublier sa famille,ses croyances et ses origines. Un jour Makwa décide de d'enfuir, avec un amis à lui, de ce sinistre établissement...
Mais que va-t'il lui arriver ? Va-t'il survivre ?
C'est un récit bouleversant, sachant que l'intrigue est inspirée de faits réels.
Le pensionnat est bien décrit, puis l'histoire est bien menée,pour qu'on apprécie la lecture. Un livre à conseiller pour toutes les personnes qui aiment les histoires réelles romancées.
Solenne


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Un livre qui va vous montrer combien les indiens souffraient !
Kill the indian in the child est un petit roman inspiré de faits réels déroulés dans les années 90 écrit en 2017 par Élise FONTENAILLE qui parle de la déportation des enfants indiens dans des pensionnats religieux au Canada où ils subissaient toutes sortes de maltraitance.
Comme tous les jeunes ojibwe, Mukwa 11ans est emmené dans un pensionnat religieux qui est censé leur donner une éducation de jeunes croyants américains puisque à cette époque il y avait un seul mot d’ordre : « Kill the indian in the child ». Malheureusement il va subir toutes sortes de tortures mentales, physique ou encore sexuelles.Chaque jour il pense à s’évader et finit par rencontrer un jeune ojibwe,qui, comme lui a la même idée. Mukwa va-t-il arriver à s‘évader du pensionnat sans que personne ne le remarque.
Pour moi,ce livre est très intéressant puisqu’il dénonce les violences faites aux jeunes garçons ojibwe qui sont bien introduites et montre aussi la peur dans les yeux des indiens dans les années 90 ,par contre la fin pour moi est un peu décevante.
Je conseille ce livre aux personnes que la violence n’effraie pas mais aussi à ceux qui s’intéressent à l’Histoire des indiens d’Amérique.

Nayan
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Encore un livre qui devrait être mis entre toutes les mains, pour dénoncer, apprendre aux gens l'horreur qui existe encore dans nos sociétés. le dernier de ces pensionnats a fermé en 1996, c'était hier ! La violence de l'homme envers l'homme ne finira donc jamais...
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Un roman dur avec des scènes chocs qui dépeint pourtant une triste vérité historique puisque tiré de faits réels. La cruauté des actes prend aux tripes et le combat de Mukwa pour survivre tient le lecteur en haleine. L'horreur est contrebalancée par une belle plume poétique, surtout lors des rêveries de Mukwa, qui retranscrit la beauté et le mystère de la culture amérindienne.
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Livre très dur, à la hauteur de la violence vécue et subie par ces enfants arrachés à leur famille, à leur culture. Cette oeuvre a le mérite essentiel de lever cette partie sombre et cachée de l'Histoire, qui ne doit surtout pas tomber dans l'oubli. Magistral.
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Mukwa, un jeune Indien du Canada est envoyé en pensionnat, comme les autres de son âge. Il va découvrir là l'humiliation et la volonté de faire disparaitre tout ce qui fait sa culture dans ce lieu catholique...
Récit très court mais percutant, à partir d'une histoire vraie sur la façon dont on s'est efforcé de "civiliser" les jeunes Indiens au Canada jusqu'à peu ...
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