Largo Winch, tome 1 : L'héritier

Je crois que c'est avec Largo Winch que je me suis sorti de la trilogie Astérix/Tintin/ Luky Luke. Inutile de préciser mon étonnement devant la richesse et la modernité des dessins et de l'intrigue.
Je me souviens entre autre des courses poursuites dans Istanbul. Un peu de fric, un peu de sexe, beaucoup d'aventure et ce fut le premier tome d'une longue série… qui s'est un peu tarie avec le temps. Mais j'en garde un excellent souvenir.

Relecture d'une série qui a aujourd'hui … trente ans. A l'époque, Van Hamme, après une vie professionnelle chez Philips, s'est reconverti comme scénariste de BD et a créé des romans d'aventure économico-policier avec Largo Winch.
La version graphique de son personnage, portée par le dessin de Philippe Francq, démarre au quart de tour avec la mort au sommet d'un building du puissant, mais vieillissant, Nero Winch, milliardaire sans scrupules et sans héritier officiel. En fait en coulisse, il a adopté un jeune enfant en Bosnie et l'a préparé à devenir son successeur. Mais cela, le lecteur l'ignore pour le moment, il se contente d'assister aux joutes orales des membres du conseil d'administration, dont un est impliqué dans la mort de Winch, et découvre le jeune Largo Winzclav, aventurier qui tombe dans un traquenard à Istambul.

La suite tient un peu de Midnight express, mâtiné de scènes d'actions, domaine que Francq maîtrise à fond les manettes. Francq impose aussi son style dans le choix des décors, toujours impressionnants. La seule chose qui surprend un peu quand on reprend la série aujourd'hui ce sont les visages de Largo, de Simon Ovronnaz, le voleur, et à un degré moindre de Freddy, le pilote. Tout cela va s'affiner par la suite. Les couleurs sont superbes.
Bien que fortement teintée d'années 90, la BD reste de haut niveau et d'une grande efficacité.

J'apprends que cette BD est adaptée d'un roman (au moins les premiers tomes). La BD semble avoir mieux fonctionné ;)

J'ai vraiment passé un bon petit moment ! C'est une BD à l'ancienne, avec un dessin à l'ancienne, de même que la composition. J'aime bien !

En revanche, ça ne fait pas dans la dentelle, c'est un peu violent non ? M'enfin, ça passe quand même finalement.

On est clairement sur un tome 1 de diptyque 1 (les tomes fonctionnent 2 par 2). Les personnages se dessinent mais on attend d'en savoir plus. Pour l'instant, j'apprécie Largo mais sans plus. L'histoire également n'est que esquissée. À voir, à développer. Mais je vais poursuivre, c'est sûr !

L'héritier est le premier d'album de la série Largo Winch.
Je ne connaissais pas trop cette bande-dessinée et j'ai découvert avec plaisir. le dessin est pur et très travaillé, les décors sont bien documentés, et le scénario tient le lecteur en haleine tout au long de l'histoire.
Ce premier volume est un peu court, et se termine en jetant un pont vers le prochain épisode. Et justement, on a envie de se procurer le deuxième album afin d'effacer la petite frustration née de la fin du premier.

L'HÉRITIER inaugure la série Largo Winch, qui fait la fortune de jean Van Hamme.
Le graphisme de Philippe Francq est efficace, au service d'un scénario qui tient le lecteur en haleine.
Avec un départ foudroyant et riche en suspense, ce premier tome et le suivant augurent de la "succes story" de la saga du milliardaire en baskets.

Il y a des BD comme ça, dont on se souviens.
Je me souviens qui me l'avais prêtée, quand j'avais 15 ou 16 ans...j'avais adoré et j'avais réussi à convaincre mes parents de m'acheter la série, petit à petit...d'une occasion à l'autre.
Je l'ai relue quelque fois mais ma dernière relecture date tout de même de plus de 15 ans.
Alors, au terme de cette énième lecture, qu'est ce que j'en retiens.
Et bien, déjà, que je me souvenais de presque tout.
Et ça n'a pas trop mal vieilli je trouve et si ce n'est quelques incontournables modernes (comme les téléphones portables) le monde dans lequel évolue notre jeune héritier tiens encore tout à fait la route sans avoir un côté rétro.
Le rythme est bon, sans temps morts, le scénario se tient sans grosse invraisemblance et les personnages ne demandent qu'à être creusés...
L'envie de relire la série (que je n'ai d'ailleurs finalement pas suivie après le tome 12) est là...vais-je succomber?

Lorsque Nerio Winch, le dirigeant du Groupe W, disparait – un meurtre déguisé en suicide –, son conseil d'administration est loin de ce douter que le vieux requin avait encore un atout dans sa manche : un fils adoptif, élevé en secret depuis 25 ans. Largo Winczlav doit hériter de l'une des plus grosse fortune du monde. Mais tout le monde n'est pas de cet avis, et ses jours sont comptés...

En 48 pages, Philippe Francq, au dessin, et Jean van Hamme, au scénario, plantent les bases d'une série qui aura le succès qu'on lui connait (21 tomes parus à ce jour). La recette est efficace : des histoires en deux tomes, à bases d'intrigues dans le milieu de la finance, avec beaucoup d'action, de l'exotisme, du luxe et des jolies femmes.
Les dessins de Francq sont splendides, avec des décors magnifiques et un découpage efficace dans les scènes d'actions.

Dans ce premier tome, on fait connaissance avec les personnages, à commencer par Largo, le futur milliardaire en jean basket, et celui qui deviendra son meilleur ami, Simon, un voleur rencontré dans une prison turc. On découvre également le conseil d'administration du Groupe W. On sait qu'il y a un traître parmi eux, mais qui ? Pour le savoir, rendez-vous dans le tome 2...
Lien : http://lenainloki2.canalblog..

Nerio Winch, un des hommes les plus riche du Monde, à la tête d'un empire financier de dix milliards de dollars, qui n'a ni enfants ni héritiers potentiels, décide d'adopter secrètement un orphelin yougoslave du nom de Largo Winczlav pour assurer la continuité de son Groupe lorsqu'il disparaitra. Lorsqu'il meurt assassiné, les actionnaires de son Groupe découvrent avec stupeur que le vieux Nério avait un fils adoptif et qu'il avait réglé sa succession sans leur en parler.
Né en Yougoslavie, Largo Winch (né Winczlav donc) va avoir un destin hors du commun. Dans ce premier opus il est loin de se douter de ce qui l'attend. Son souci du moment, c'est plutôt de s'évader de la prison d'Istanbul où il est enfermé pour meurtre...
J'aime tout dans cette bande dessinée: l'histoire, les rebondissements, le graphisme et les couleurs magnifiques. Une Bd à dévorer!

Le fils caché
Je tente de rattraper mon retard en culture « Bande Dessinée » : j'ai toujours un peu de mal avec ces livres mais je me soigne !
Nerio Winch est mort. A la tête d'un empire financier (562 sociétés, 400 000 salariés dans 57 pays, un chiffre d'affaires de 44 milliards de dollars) il a été « suicidé » par l'un des membres du « board » qui n'a pas eu la patience d'attendre que le cancer fasse son oeuvre. Alors que les treize hommes composant le conseil d'administration du groupe W s'interrogent sur la succession, ils apprennent que Nerio avait un fils adoptif, Largo, âgé de 26 ans et, aux dernières nouvelles, en prison en Turquie.
Premier tome de la série qui en comporte (si j'en crois Babelio, 23), les auteurs nous présentent Largo Winch, l'héritier du groupe W : beau gosse, supérieurement intelligent, il parle 6 langues et se débrouille plutôt bien en close-combat. Et visiblement, il aura besoin de tous ces atouts pour prendre la tête du groupe W !
Scénario addictif, dessins précis, cette BD se lit comme un véritable thriller.

Une des BD que je redécouvre avec plaisir après 20 ans. Ce premier tome nous présente le héros de cette série. Héritier d'une des plus grosses fortunes du monde, Largo Winch n'est pas un familier du monde des affaires. On découvre un jeune homme aventurier qui aime voyager et on devine que sa transformation en homme d'affaires ne sera pas de tout repos car de tous côtés les requins guettent.
Un premier tome très réussi qui plante bien le décor et sans temps mort.