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3,62

sur 1136 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un bon gros pavé de 718 pages. Allez, à l'attaque !
Les 50 premières pages m'ont sérieusement gonflée, mais je me suis dit : « Allez, insiste jusqu'à la page 100, ça peut s'arranger » Pas vache, j'ai même poussé jusqu'à la page 150. Mais là, je ne suis pas maso à ce point, je rends les armes.
Ah, Walter et Patty, quels gens ennuyeux ! Typiquement le genre d'américains absolument insupportables.
Et que dire de l'écriture ? Pénible et fatigante elle aussi, autant que Patty et Walter.
C'est tatillon, les phrases sont longues, ça se répète, ça n'avance pas…..
Vite, passer à autre chose.
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Ce livre ne m'a pas emballée du tout.
A la 88ème page, j'ai du déclaré forfait.. je ne comprenais plus rien à l'histoire, je mélangeais les personnages en un mot je ne trouvais plus aucun intérêt à poursuivre ce gros pavé de près de 400 pages.
Je vais vite le rendre à la bibliothèque municipale de ma ville..
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Je ne l'ai pas fini, trop long, trop touffu, trop redondant. Je n'ai pas réussi à m'attacher suffisament aux personnages pour m'accrocher jusqu'au bout. Je suis tombée dans le ventre mou de la partie centrale, celle où Joey est à l'université et j'ai dit STOP ! Pourtant plusieurs collègues, emballées, m'avait fait envie, j'aurais aimé partager leur enthousiasme, mais non, raté... (décembre 2011)
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Une interruption d'une semaine, faute de disposer de suffisamment de temps devant moi pour me consacrer à ce livre aura eu raison de ce pavé, qui malgré 300 pages lues, ne m'enthousiasmait pas plus que cela. Il ne m'a d'ailleurs pas manqué durant cette semaine. Il est lourd au sens propre du terme, il tient mal en main, il fatigue assez vite les bras, les genoux, et surtout les yeux.
Certes, c'est bien écrit. Certes c'est bien construit. Je reconnais bien volontiers à Jonathan Franzen de décortiquer ses personnages. Mais justement, il le fait trop, au détriment de l'intrigue qui manque un peu d'allant. En reprenant l'ouvrage où je l'avais laissé, j'ai soudain ressenti une profonde lassitude en voyant ce qu'il restait à lire, surtout devant l'intérêt plus que mitigé pour cette histoire, et surtout devant l'indigestion qui pointait le bout de sa plume.
Beaucoup de lourdeur, un style pesant, qui s'étire en longueur, un scénario un peu léger, et beaucoup de broderie autour.
Je remercie Rémy Gonseau de Price Minister pour l'envoi de Freedom dans le cadre de l'opération le match de la rentrée littéraire.


Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Me voilà arrivée non sans difficultés à mi-chemin et j'ai décidé de fermer définitivement ce roman pour lequel je n'ai rien ressenti.
La vie de cette famille américaine ne m'a pas du tout convaincue, pire, je me suis littéralement ennuyée et je prenais chaque jours ma lecture un peu par obligation afin de pouvoir laisser une critique (et surtout enfin accrocher), seulement voilà c'était trop pour moi. Jonathan Franzen à gagner, je capitule.
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717 pages et un mot pour résumer le livre : chiant !

la psychologie des personnages est très développée, fouillée. Des théories très intéressantes sont exprimées. Mais c'est d'un ennui.
On en vient à se désintéresser totalement de Patty, Walter et Richard, ce trio que nous suivons tout au long du livre sur plus de 30 ans.

Au hasard de quelques chapitres, certains passages sont magnifiques et relancent l'intérêt, mais ils sont vraiment trop rares.
C'est dommage, car l'auteur a une belle plume, mais il se perd, se noie dans des détails, des descriptions interminables, des redondances sans intérêt qui étouffent le récit et les atermoiements des personnages nous donnent plus envie de leur distribuer des claques plutôt que de s'émouvoir.

J'ai tenu jusqu'à la page où Joey avale son alliance (ses considérations gastriques m'ont achevée) et terminé en mode accéléré les 200 pages qui restaient.
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Ne connaissant Jonathan Franzen que de nom, c'est dans un esprit de découverte que j'ai choisi de lire Freedom. Une couverture et un titre très accrocheurs sont déjà un bon début. le résumé donne un aperçu concis du chemin que va prendre l'histoire. Donc je suis assez confiante

On débute avec la présentation des Berglund, famille américaine pas aussi parfaite qu'elle le souhaiterait. Des désaccords familiaux, des querelles de voisinage, des compétitions sociales stériles, des regrets personnels... Bref, une famille comme tant d'autres. Patty rêvait d'être la femme idéale, mais son départ dans la vie d'adulte s'est fait sur des mauvais choix. Elle aimait Richard, mais elle a épousé Walter. Pourquoi ? la sécurité, le confort, la facilité ? Rejetant son malaise sur l'éducation qu'elle a reçu, elle tente d'être plus proche de ses enfants, mais commet erreur sur erreur. Et sa "vie parfaite" se transforme peu à peu en chaos.
Jonathan Franzen dépeint dans ce roman une société moderne en déclin perpétuel. Sur trois décennies, il retrace les erreurs d'une humanité en quête de chimères. le monde devient fou. Perfection, gloire, pouvoir...sont les mots clefs d'une société qui se brûle fatalement les ailes.

Freedom aurait pu être un excellent roman, mais sa complexité étouffe peu à peu le lecteur. L'auteur fait un travail remarquable sur les personnages, certes. Des personnalités différentes où chacun de nous peut trouver un écho, mais il ajoute à cela trop de problématiques. le lecteur finit par faire une indigestion.
Il est vrai que la société capitaliste est très complexe, en parler peu devenir rapidement un maelstrom.

Bref, je n'ai pas aimé, même si les personnages m'ont poussés à continuer la lecture jusqu'au bout.
Comme dit l'adage "Trop de trop, tue le trop". Et malgré une écriture magnifique, je n'ai pas réussi à entrer dans ce roman. J'ai vite perdu pied et j'ai peiné à le finir. Plus de simplicité et de structure aurait fait de Freedom un livre magnifique.
Lien : http://lacaveauxlivres.blogs..
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Jonathan Franzen né en 1959 dans l'Illinois, est un écrivain, romancier et essayiste américain. Né d'une mère américaine et d'un père suédois, il passe son enfance dans le Missouri mais fait ses études supérieures à Berlin. Il parle couramment l'allemand et est également traducteur. Il vit actuellement à New York. Il connaît un succès phénoménal avec Les Corrections, livre couronné d'un National Book Award en 2001. Son roman Freedom est paru en 2010.
Patty, ancienne joueuse de basketball de haut niveau ayant abandonné le sport sur blessure, a épousé Walter, un juriste adhérent à la cause écologique pour la protection de l'environnement. Ils ont deux enfants, la fille aînée Jessica est plutôt indépendante alors que Joey, longtemps couvé par sa mère, lors de sa crise adolescente quitte le foyer familial pour aller vivre chez les voisins. Richard est un ami du couple de longue date, à l'université il était colocataire de Walter. Lui, sa vie c'est la musique, guitariste dans un groupe punk.
Patty devenue femme au foyer, son mari Walter ayant un job respectable, tout semblerait aller pour le mieux jusqu'à ce que le troisième larron Richard, plus rock and roll et plus libre de ses mouvements, ne revienne donner de ses nouvelles. Inévitablement se pose pour Patty la question existentielle, ai-je fait le bon choix en épousant Walter ou bien aurais-je dû suivre Richard quand nous étions plus jeunes ? La raison contre la passion, éternel dilemme.
Voici résumé, au moins une partie du roman, car fait exceptionnel que je suis obligé de mentionner, je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout de ce gros pavé de près de huit cents pages (version poche). Ca ne m'arrive pour ainsi dire jamais, mais là j'ai calé à presque trois cents pages.
Qu'on soit bien d'accord, je suis certain que le roman est bon. Jonathan Franzen m'a tout l'air diablement habile à faire vivre tous ces personnages et ces évènements dans une sorte de Comédie Humaine de l'Amérique des années 2000. Son exploration en profondeur des sentiments, la manière dont il décortique ces vies – presque banales - qu'il nous livre comme témoignages d'une époque, tout cela est remarquable.
Et pourtant je n'ai pas tenu la distance. le bouquin est très long (en pages) mais aussi très dense, fait de longues phrases et de très longs chapitres qui mettent le lecteur (moi, en l'occurrence) en mauvaise posture, comme si vous étiez avec un bavard impénitent qui enchaîne phrases et idées les unes aux autres, quasiment sans reprendre son souffle – et donc le vôtre. On étouffe devant cette logorrhée, on manque d'air. Comme de plus le récit n'est pas linéaire avec en intercalaire dans le texte des extraits de l'autobiographie de Patty, il faut s'accrocher devant ce tsunami littéraire. L'abandon m'a paru la seule issue possible.
Nous avons donc un roman qui n'est certainement pas mauvais, peut-être excellent même, si j'en crois la critique professionnelle, mais au-dessus de mes forces pour ma part.
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Est ce le style, l'histoire, la traduction je ne sais mais ce que je sais c'est que j'ai tenu 70 pages puis ce livre m'est tombé des mains.
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J'ai été extrêment déçue par cette lecture que toute la presse encensait. Je m'étais chic (oui il y a encore des personnes qui utilise ce mot et alors ?) voici un bon livre qui va me permettre de sortir de ma fantasy. Et bien que nenni ! Heureusement que je ne m'arrête pas à une mauvaise rencontre pour changer de genre.
C'était prometteur mais non rien ne prend. C'est long, on s'ennuie. C'est vulgaire pour rien. Ce n'est pas agréable à lire et on se demande où tout ceci va bien nous mener. Les personnages nous donnent envie de les baffer à tour de rôle et pourtant l'idée de changer de narrateur dans une famille ça pouvait être très intéressant mais le problème ici c'est que tout s'arrête à "ça auriat pu". Dommage. Seule la fin nous réconcilie un peu avec le livre. C'est trop peu.
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