Tout en faisant le point des connaissances sur l’œuvre et la personne de Montaigne, Hugo Friedrich entend subordonner cette information à l'analyse de ce que Montaigne appelait «science morale» ; non pas une morale normative, mais une discipline descriptive qui s'intéresse à la variété comme à la motivation des mœurs et qui, à travers les «moralistes» français, aboutira à notre anthropologie moderne.
D'où un nouvel examen des problèmes classiques : la singula... >Voir plus