Serge Gaubert/5
1 notes
Résumé :
En bascule sur la quarantaine, rêvant de tenir un rôle dans le grand théâtre d'images où nous sommes tous engagés, comme figurants ou spectateurs, Bertrand Rambert en vient à se jouer des histoires, drôles ou pathétiques, pour tenter de s'en faire une qui soit vraiment à lui. Un peu mythomane, un peu Narcisse, un Narcisse moderne qui chercherait où accrocher son reflet. Sans doute suffirait-il qu'autour de lui quelqu'un y croie et donne du poids à ces imaginations e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Il s'agit du texte d'une pièce de théâtre, créée à la Comédie de Saint-Etienne en 1988.
Le personnage principal est un écrivain, il a (à la louche) 90% du temps de parole, y compris des monologues très verbeux qui sont bien écrits mais ressemblent plus à la lecture d'un roman.
Les scènes de dialogues sont plus dynamiques et sont agréables.
La pièce est très courte (8 scènes de la vie de cet homme).
Ce que j'ai préféré, c'est le titre.
Le personnage principal est un écrivain, il a (à la louche) 90% du temps de parole, y compris des monologues très verbeux qui sont bien écrits mais ressemblent plus à la lecture d'un roman.
Les scènes de dialogues sont plus dynamiques et sont agréables.
La pièce est très courte (8 scènes de la vie de cet homme).
Ce que j'ai préféré, c'est le titre.
Citations et extraits (3)
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Cette fois-là, ce jour-là, il aurait suffi qu'elle me cache ce qu'elle a cru bon de me dire en laissant parler son cœur. Il aurait suffi de quelques paroles en moins, d'un simple silence.
[...]
Elle avait acheté mon livre. Elle avait pris le train uniquement pour me rencontrer. Je suis sûr que si elle m'avait laissé dans l'illusion qu'entre nous seul le hasard avait joué, c'était le commencement d'un vrai roman.
[...]
Elle avait acheté mon livre. Elle avait pris le train uniquement pour me rencontrer. Je suis sûr que si elle m'avait laissé dans l'illusion qu'entre nous seul le hasard avait joué, c'était le commencement d'un vrai roman.
Un bon titre, c'est quatre-vingt pourcents du succès.
Il faut toujours imaginer la suite la plus drôle.
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