jeté l'éponge au bout de 60 pages. Comment ce ramassis de clichés sur le sud de l'Italie écrit avec les pieds, à pu se retrouver Goncouré ! "Le Papier de P. Lançon dans Libé résume bien la situation : "Aucune pierre, aucune olive, aucun silence, aucun rayon de soleil, n'est épargné au lecteur. Aucun âne non plus, pas de Sud sans âne(...). Les mains sont toujours calleuses ; les regards, perçants ; les sourires, glacés (ou glaçants) ; le coeur, sur la main ; la force sourde, du destin ; les descentes, interminables ; les parois, blanchies par le temps et construites de bric et de broc ; et le tout, hanté ".
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Ce livre n'en est pas un .... en tout cas c'est l'impression qu'il me donne. Il ressemble à la trame, au brouillon avant écriture ... quand dessine la structure de ce que l'on veut écrire. C'est bien cela qui est frustrant : si autour de cette trame l'auteur avait écrit un livre le livre aurait été génial. Il serait rentré dans chaque caractère en profondeur et nous aurions avancé dans l'histoire petit à petit en s'imprégnant des personnages et des paysages. Au lieu de ça .... en deux temps trois mouvements tout est terminé. Bref une grosse déception couplée d'une frustration de ce que le livre aurait pu être.
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Je découvre cet auteur ,je pense que Tout à été dit
Sur ce magnifique roman .
Tout y est l'amour ,la haine ,la joie , le chagrin ......
C'est un grand moment de lecture
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Rien que pour ressentir le soleil des Pouilles cela vaut la peine.
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