Je viens vous partager mon ressenti sur "
Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière" de
Raphaëlle Giordano, lu par le talentueux
Thomas Dormoy. 🎉📚
Ce titre est en fait une citation de
Michel Audiard, un dialoguiste, scénariste et réalisateur français.
Alors, imaginez Henriette, une pro de l'architecture d'intérieur, avec un look aussi décalé que son prénom. Elle jongle entre son talent créatif et ses doutes incessants. Ah, la vie d'Henriette, c'est un peu comme essayer de jongler avec des confettis un jour de grand vent, vous voyez? 😄
Henriette cache un secret bien particulier : elle souffre d'un syndrome de trophobie. Oui, oui, c'est comme une phobie, mais version Henriette. Et là, on plonge dans un mélange de stratégies d'évitement et de camouflages hilarants qui laissent place à des situations rocambolesques. 🙈
Un jour, elle se retrouve à collaborer avec un architecte paysagiste ambitieux et carrément imbuvable (ou du moins, à première vue) mais pas mieux servi au niveau prénom : Auguste. Et là, c'est le début du grand théâtre des ombres où chacun porte son masque, au travail comme en famille.
Alors, que dire de ce bouquin? C'est un cocktail détonnant de mignonitude, de bons sentiments et de réflexions profondes sur les peurs qui nous habitent tous. L'auteure nous fait voyager dans un monde où la bienveillance et la tolérance sont reines, excluant tout jugement. 🌈
Mais attention, on est plus proche du guide de développement personnel que du roman haletant. Les personnages sont attachants, certes, mais perso, je n'ai pas palpité pour avec eux. Et cette écriture à la troisième personne donne une touche narrative qui peut sembler un peu distante. Mais bon, chapeau bas à
Thomas Dormoy pour son accent italien qui réchauffe l'atmosphère comme un rayon de soleil d'Italie! 🇮🇹☀️
Le message du livre est ultra positif, porteur d'espoir, même si perso, je n'ai pas été totalement emballé.
Une citation qui situe bien le bouquin pour moi ?
"Tout le monde a une facette intime inavouable, une fêlure quelque part. Des peurs planquées, des parties de soi clandestines, qui se manifestent d'autant plus fort qu'elles sont montrées du doigt, condamnées par la cour suprême du jugement qu'on se fabrique dans la tête."
Profond, hein?
Ah, mais la cerise sur le gâteau, c'est cette cover qui respire le bonheur! Un vrai appel au positivisme. Merci #NetGalley et #Lizzie de m'avoir permis de plonger dans cette aventure audio pleine de nuances et de fêlures lumineuses. 🌟💖 Merci, merci! 🙌✨
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