Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière

Ce livre fait du bien. Il aborde plusieurs sujets dont un que j'adore lire : « les apparences sont trompeuses ». Beaucoup ont des fragilités/faiblesses qu'ils masquent au quotidien par des attitudes qui peuvent paraître surprenantes !
Même si nous suivons principalement Henriette et Auguste dans ce livre, on découvre les « secrets » d'autres personnages et j'ai beaucoup apprécié que ce soit le cas.
Il y avait presqu'un petit côté « Love actually » 🥰
Une lecture agréable, doudou que je vous conseille.

📜🅼🅾🅽 🆁🅴🆂🆂🅴🅽🆃🅸📜

🌷🌹Henriette est hypersensible, les émotions chez elle sont ressenties très très intensément. Elle se fatigue très vite lors de situations stressantes. Pourtant elle va devoir sortir de sa zone de confort pour collaborer sur un projet et surtout prouver qu'elle a sa place en tant que femme dans un milieu considéré comme masculin.

Elle va faire la connaissance d'Auguste, de son équipe et découvrir peu à peu qu'elle n'est pas la seule à avoir des secrets.🌷🌹

💮Sous une plume légère, l'auteure aborde des sujets comme les peurs, les angoisses, la confiance en soi, l'arrogance qui peut cacher des fêlures....💮

💚Une lecture qui m'a fait passer un agréable moment. Certaines scénettes m'ont fait sourire, d'autres m'ont émue.💚

Je ne suis, de base, pas fan du développement personnel mais ce roman m'a beaucoup plus et je pense qu'il s'est mis sur ma route à un moment de ma vie où j'avais besoin de découvrir Auguste et Henriette.
L'histoire est vraiment bien rythmée et j'ai aimé le message de fond offert par l'autrice et toute la bienvaillance qui en ressort.
Un bon de moment de lecture et, maintenant... je ne regarderai plus jamais Top Gun et son emblématique personnage Maverick de la même façon.... ou sans penser à ce roman!! 😅😅

Résumé :
Henriette n'a pas que son prénom de décalé. Elle a aussi un look original bien à elle et un vrai talent créatif d'architecte d'intérieur, qu'elle ne mesure pas vraiment, trop souvent occupée à douter d'elle-même. Car derrière la façade de jeune professionnelle douée, elle cache une peur inavouable...
Anxieuse de nature, hypersensible et facilement fatigable, Henriette a ce qu'elle appelle un syndrome de trophobie : quand on la force à dépasser ses limites et que, rapidement, cela fait " trop " pour elle, elle est submergée d'angoisses mais n'ose pas l'avouer. de stratégie d'évitement en stratégie de camouflage, elle donne le change la plupart du temps, en se sur-adaptant aux autres – mais à quel prix !
Jusqu'au jour où un projet l'oblige à collaborer avec un bureau d'études dirigé par un architecte paysagiste ambitieux, charismatique... et à première vue imbuvable.
Alors qu'elle intègre cette nouvelle équipe, le petit théâtre des ombres se met en place. Au travail, en famille, ou en couple, beaucoup préfèrent avancer masqués pour ne pas révéler un intime perclus de fragilités. Pourtant, tout le monde a peur... mais pas au même endroit !
Henriette découvrira-t-elle, comme quelques heureux avant elle, que lorsque la lumière jaillit derrière les failles, c'est toujours pour éclairer ce que chacun porte en lui de plus beau ?

{LECTURE 2023-153} Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière de @raphaellegiordano chez @lizzie_livresaudio

"Quand on a le courage d'assumer ses ombres, on a aussi celui d'assumer toutes ses audaces".

Henriette et Auguste doivent travailler ensemble à créer le jardin exotique rêvé par Claire. Elle qui doute de tout, qui est hypersensible va devoir composer avec cet homme à priori ambitieux, charismatique et sûr de lui ainsi qu'avec son équipe. Mise en place du masque professionnel de chacun et jouer son rôle qu'on croit que les autres attendent. Mais on dit bien que l'habit ne fait pas le moine.

Une histoire que j'ai énormément aimée!Je peux affirmer que c'est mon roman préféré de Raphaëlle Giordano! Sans doute parce que Henriette est tellement moi...

Henriette, hypersensible et bourrée de doutes!
Un vrai coup de coeur pour ce personnage en qui, je l'avoue sans la moindre honte, je me suis trouvée. Hypersensibilité, trophobie, anxieuse,... et j'en passe sont mon quotidien. C'est un personnage qui pour certain pourrait sembler trop mais en vrai quand on est comme elle, on sait que c'est la réalité.

Cette troupe de fêlés qui vont croiser sa route sont vraiment attachants sous leur air bourru, conquérant et sur d'eux. Ils sont aussi face à leur peur qu'ils souhaitent tous gardée sous leur masque. Mais Henriette, Auguste, Gérard, Kenzo, Tony, Claire et André-Louis nous racontent une histoire optimisme et bienveillante d'amitié, malgré les fêlures de la vie.

Avec sa plume enjoué, admirablement transmise par le narrateur Thomas Dormoy, Raphaëlle raconte des thèmes profonds : hypersensibilité et peurs honteuses, ainsi que nos croyances limitantes.

J'ai ri, pleuré, eu peur même...

Bref, un feelgood qui devrait parler à ceux qui sont hypersensibles et à ceux qui ont peur.

Merci à Lizzie et Netgalley pour cette belle ecoulecture.

Henriette est architecte d'intérieur. Elle ne paie pas de mine, elle est jeune et a un look un peu décalé. Elle est excellente dans son domaine et ses aménagements sont une réussite. C'est là qu'elle s'épanouit car le reste du temps, c'est plutôt quelqu'un qui a du mal à maîtriser ses émotions. Elle s'angoisse et a vite peur. Monsieur et Madame de Mondhéry lui ont fait confiance pour leur magnifique demeure et ils sont enchantés du résultat. Surtout elle, Claire, elle ne tarit pas d'éloges sur Henriette.
Après l'intérieur, le mari de Madame décide de lui offrir un bel extérieur. Pour cela c'est l'agence « Eden Garden » qui devrait avoir le marché, et c'est Auguste qui en prendra la responsabilité à la demande de son patron. Auguste, c'est un jeune loup aux dents longues qui se verrait bien passer du statut d'employé à celui d'associé. C'est pratiquement dans la poche si ce n'est que la cliente demande à Arthur de collaborer avec Henriette, sans doute parce qu'elle a tellement bien réussi sa mission « maison » qu'elle n'envisage pas un seul instant qu'elle ne donne pas son avis pour le jardin….
Évidemment, cela ne convient pas à Arthur, il préfère bosser tranquille dans son coin et cette obligation de discuter, d'être deux, de se mettre d'accord avant de proposer un projet, ne le fait pas rêver, on peut même dire que ça l'exaspère. Mais ce que femme veut….
De son côté Henriette n'est pas plus emballée…. Alors deux solutions, ou ils s'opposent, se font la guerre, ou chacun fait des concessions… Finalement même ça, c'est un raccourci, on est bien d'accord ? Les relations humaines sont beaucoup plus complexes que ça surtout lorsqu'on affiche un air sûr de soi qu'on ne ressent pas tout le temps…
On va donc suivre ce que ces deux là mettront en place pour ne pas se dévoiler, en restant sur leurs gardes. Mais il faudra bien finir par dialoguer, échanger et certaines scènes seront assez cocasses.
Les esprits chagrins ne manqueront pas de dire que des récits comme celui-ci on en a déjà lu. C'est vrai et alors ? Raphaëlle Giordano a situé son histoire dans le milieu des paysagistes et son texte est agrémenté de nombreuses références intéressantes, tant sur les jardins connus (j'ai admiré sur internet les photos des parcs brésiliens, Palacio Capanema , Aterro Do Flamengo qu'elle évoque), que sur les plantes et essences d'arbres. Elle s'est renseignée pour donner du « fond » à ces propos et c'est bien.
Dans ce recueil, comme dans la vraie vie, tout le monde a des faiblesses (d'ailleurs dans les dernières pages, il y a des témoignages réels recueillis avant la rédaction de cet opus). Chacun doit vivre avec, s'en accommoder et avancer le mieux possible. Quelques conseils sont glissés ça et là et peuvent aider le lecteur à mieux appréhender les difficultés et à apprivoiser ses angoisses, sans forcément les enfouir.
Même si ce roman a parfois des côtés prévisibles, il est agréable à lire. J'ai aimé accompagner les différents personnages, découvrir leurs failles, leurs forces, leur façon d'entrer en contact avec les autres souvent avec maladresse. L'auteur nous rappelle que chacun d'entre nous a la liberté d'être soi, qu'il faut s'aimer, se comprendre et s'accorder le droit de dire trop c'est trop ou stop sans peur du regard de l'autre. Est-ce qu'il vaut mieux cacher ses peurs ou en parler ? La parole libère et répare, permet de mettre des mots sur les maux, de dire et de partager. Ça fait du bien, non ?

Lien : https://wcassiopee.blogspot...

Une très chouette histoire, touchante, bienveillante, inspirante qui se lit, s'écoute très vite. L'alternance des points de vue entre Gustave et Henriette permet de bien comprendre ce qui se passe dans leur tête. On va suivre aussi les pensées des autres personnages et c'est super intéressant. On va découvrir leurs peurs, des peurs qu'on n'attend pas du tout. Certaines scène m'ont beaucoup fait rire. C'était sympa d'accompagner les différents personnages, découvrir leurs failles, leurs forces.

Un livre qui évoque donc les peurs, les faiblesses, les phobies qu'on ne devrait pas cacher, ne pas avoir honte.

J'ai beaucoup aimé les témoignages à la fin du livre, il y en a notamment un où je me suis retrouvée.
On a tous une ou des peurs en nous, connaissez vous les votre?

🧡 Parce qu'on a tous des faiblesses et des peurs inavouables, parce qu'il ne faut pas se fier aux apparences... Ce roman est d'une incroyable justesse. Je me suis complètement retrouvée en Henriette, cette jeune femme hypersensible, rongée par ses angoisses qui lui gâchent la vie.
On y fait aussi la connaissance de Auguste, Gérard, Tony, Kenzo, Claire, tous audacieux . Et si ce n'était qu'une apparence ?

💜 L'auteure nous embarque dans une histoire pleine de vie et d'humanité où le bonheur reprend sa place; où la combinaison amitié, entraide et écoute nous offrent un récit drôle et joyeux.

🧡 Cette histoire pétillante nous pousse à sortir de notre zone de confort, à nous bousculer, à affronter nos peurs, si futiles soient elles aux yeux des autres.

💜 Un roman doux qui invite à l'empathie et à la bienveillance envers autrui.

Lien : https://instagram.com/lectur..

Ce livre m'a fait passer un très bon moment de lecture (d'écoute en fait!), et m'a rendue plus sereine face à mes insécurités !
J'ai aimé le personnage d'Henriette, jeune femme qui surmonte les difficultés avec le sourire. Henriette n'est pas un portrait typique de femme forte et résiliente comme on nous en propose tant dans les romans actuellement, et que pour ma part je trouve assez culpabilisantes.
Ici, on DE-CULPA-BI-LI-SE ! C'est le thème principal. Tout le monde a une faiblesse, un "défaut", un secret "honteux". On le cache aux autres, on fait bonne figure, on fait comme si... On pense être le seul, ne pas être à la hauteur, on culpabilise, on se compare aux autres...enfin plutôt à ce qu'on voit des autres... qui cachent eux aussi leur faiblesse !
J'ai aimé la narration qui passe du point de vue d'un personnage à l'autre, ce qui permet de voir ce qu'ils montrent aux autres en contraste avec ce qu'ils ressentent. Et tous ont un secret, une faille... mais pas la même que leur voisin !
J'ai vraiment beaucoup aimé, ce feelgood a été presque un coup de coeur pour moi. Pourquoi presque ? 2 raisons principales :
- J'ai trouvé que tout le monde était un peu trop "ouvert" et prêt à revoir leur attitude à la fin. Malheureusement, dans la vraie vie, il y aura toujours des gens obtus enfermés dans leurs certitudes...
- Maverick... vous comprendrez en le lisant !
Bref, je te recommande chaudement de découvrir cet ouvrage. A consommer d'urgence en cas d'insécurité et de complexe d'infériorité !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Je n'avais lu jusque là qu'un roman de Raphaëlle Giordano que j'avais pourtant apprécié il y a déjà quelques années. Grâce aux Éditions Récamier que je remercie chaleureusement, j'ai eu la chance de recevoir ce roman avec une sympathique dédicace et je m'y suis aussitôt plongée.

C'est une histoire simple et agréable à lire qui a pour objectif d'illustrer un sujet bien embarrassant pour les adultes que nous sommes : nos phobies et peurs inavouées et/ou inavouables.

Henriette est une JF hypersensible et anxieuse de nature. Elle a ce qu'elle appelle la « trophobie » (trop c'est trop) lorsqu'elle se trouve dans une situation où elle se sent forcée de se surpasser pour s'en sortir, ce qui n'est pas toujours possible car elle fatigue vite. Elle a d'ailleurs lancé son activité d'architecte d'intérieur en Free lance pour ne pas s'exposer à la pression. Mais alors qu'un projet l'oblige à collaborer avec un architecte paysagiste d'un bureau d'étude, aussi charismatique qu'ambitieux, elle est désarçonnée par ses messages et ses attitudes, qu'elle ne sait pas décrypter ou interpréter, et elle se met alors une pression d'enfer qui va la fragiliser, la faire douter d'elle même jusqu'à se mésestimer ….

J'ai aimé l'humour et la légèreté de l'autrice pour aborder un sujet pas si superficiel que ça, car ancré en chacun de nous. D'ailleurs tous les personnages de ce roman ont tous une peur, une blessure ou une faille qu'ils tentent de cacher en vain, quels que soient leur âge, leur physique ou leur statut social et j'ai trouvé leurs exemples très parlants.

En fin de roman, l'autrice partage avec nous les peurs et angoisses que des lectrices ont eu le courage de lui confier.

Un roman de développement personnel qui porte un éclairage sur certains remèdes susceptibles d'atténuer les peurs irrationnelles qui empoisonnent nos vies ou celle de nos proches.

Une fiction touchante qui parlera à coup sûr, a beaucoup d'entre nous.^

Quand un roman fait vivre l'hypersensibilité en direct…
Un roman de Raphaëlle Giordano, je craque ! Je m'y retrouve toujours, je prends des notes, je fais des listes, mais je dois avouer que cela décroît à chaque nouvelle sortie. Je ne retrouve pas l'enthousiasme connu avec « Ta deuxième vie… » Et ici, même si ma lecture fut agréable et que je la conseille à ceux qui ont besoin de se rassurer, je n'y prendrai pas de leçon de vie. Ici, le plus a été la voix de Thomas Dormoy qui a su accompagner les personnages pour leur donner forces et fragilités selon les moments.
Henriette a un prénom et un look décalés ; elle est hyper sensible et a peur de tous les « trop ». Alors quand elle doit travailler avec un architecte qui cache ses failles derrière un aplomb certain et une sûreté factice, elle a fort à faire pour ne pas se laisser emporter dans des descentes vertigineuses. Travailler dans la création et l'excellence pour mettre en valeur les domaines qui leur sont confiés met la barre très haut, parviendront-ils à s'épauler ou se détruiront-ils ? Y aura-t-il un gagnant, un perdant ou trouveront-ils une force commune ?
J'avoue apprécier chez cette auteure la bienveillance dont elle fait preuve envers ses personnages, les présentant toujours en difficulté mais leur trouvant toujours des solutions. Et ces solutions s'appliquent à tout un chacun connaissant ces problématiques dans la vie de tous les jours. C'est toujours très fluide, avec une dose d'humour et une opiniâtreté jamais prise en défaut. le risque est la mièvrerie qui quelquefois montre le bout de son nez, particulièrement dans ce roman dont je qualifierais le fond de léger.
Si vous aimez les lectures « doudou », n'hésitez pas, vous serez rassuré de voir que derrière des assurances de façade, les failles existent aussi. Les témoignages en fin de livre sont éloquents et mettent une lumière de réalité sur cette fiction.
Je remercie très sincèrement #NetGalleyFrance et Lizzie pour le SP non rémunéré de #Heureuxlesféléscarilslaissent passer la lumière.

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