Je disais dans l’avant-propos placé en tête de Balzac en pantoufles : « Sollicité par des amitiés communes à Balzac et à moi, pressé par une curiosité publique toute dévouée au grand peintre de mœurs, j’ai risqué ces premières pages sur quelques actes et sur quelques moments de sa vie, prêt à les faire suivre d’autres confidences, si j’ai su répondre à tant de désirs et justifier tant d’empressement. »
Plusieurs éditions de l’ouvrage où je me posais c... >Voir plus