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3,85

sur 40 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Les terriens ayant maltraité leur planète au point de la rendre peu hospitalière, ils se sont lancés dans la colonisation d'autres planètes. Parmi celles-ci, Génésis. Mais les habitants de Génésis ont fini par se rebeller et après une longue guerre, sont parvenus à protéger leur planète en y instaurant des règles strictes en matières de protection de l'environnement. Noémi Vidal, 17 ans, vit sur Génésis où comme la plupart des adolescents elle participe à une service de défense et de protection de sa planète. Elle sait que dans 21 jours, elle participera à un grande opération kamikase. Il ne lui reste donc plus que 21 jours à vivre. Lors d'un exercice d’entrainement, les mécas, des robots envoyés par le Terre, endommagent le vaisseau de son amie en blessant gravement celle-ci. Noémi parvient à se poser sur une navette abandonnée. Mais, celle-ci est occupée depuis 30 ans par Abel, un méca oublié par des terriens lors d'un précédent conflit. Commence pour Noémi et Abel une épopée interstellaire qui va les amener à se connaitre et à s'interroger sur bien des sujets.
Il m'a bien fallu 3 chapitres pour entrer dans ce récit dont le début est très descriptif. Un petit côté Azimov qui m'a un peu ennuyée. Un côté aventures dans le style manga shonen dont je ne suis pas friande. L'histoire trouve peu à peu son rythme et finalement je me suis laissée portée par l'histoire de Noémi et Abel car elle soulève malgré tout des questions intéressantes sur la nature humaine.
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Noémi se retrouve sur un vaisseau spatial abandonné. Elle y découvre Abel un androïde expérimental qui ressemble parfaitement à un être humain tout en possédant des capacités surhumaines.
La jeune fille décide de l'utiliser afin de trouver un moyen d'enrayer l'invasion de sa planète Génésis par les Terriens.
S'ensuit une course à travers l'espace pour rassembler sur les quatre planètes occupées par les humains les éléments nécessaires à son plan.

Je l'ai lu en une seule traite, rapidement.
Au final, je dirais que c'est un honnête petit roman de science-fiction mêlant plutôt habilement aventure et romance (car évidemment, Abel se révèle être plus qu'un androïde).
Rien de palpitant mais on passe un bon moment. Les péripéties se succèdent (les personnages se baladent de planète en planète raidement et sans trop de problème) et les personnages sont sympathiques.

A partir de 13-14 ans
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Encore un roman de science-fiction qui n'a pas su conquérir mon coeur de lectrice. Ils sont plutôt rares je trouve. Celui-ci, je l'ai lu quasiment à sa sortie puis relu à la sortie du tome 2 pour me remémorer l'histoire. J'avais plus ou moins apprécié ma première lecture mais un peu moins lors de la relecture.
J'ai aimé l'univers basé sur un espace partiellement conquis, plutôt complet, complexe et surtout intéressant. C'est un univers de science-fiction futuriste.
J'ai dû attendre bon nombres de chapitres pour m'imprégner totalement de l'univers et des personnages malgré le fait que l'action commence assez rapidement et que les chapitres soient rythmés. Je n'étais sans doute pas assez prise par l'intrigue et la plume.
La fin du roman m'a davantage plu parce qu'elle se termine sur un cliffhanger bien sympathique qui rattrape quelque peu le reste et qui m'a quand même donné envie de lire la suite.
J'avoue m'être quand même un peu ennuyée sur une bonne partie du roman suite à des longueurs trop présentes qui ralentissent l'intrigue.
Heureusement, la plume et les personnages ont fluidifié la lecture. La plume est un petit peu addictive et avec les quelques passages d'action, j'ai eu envie de découvrir ce qu'il allait arriver de bien ou de mauvais aux personnages.
Les héros sont attachants. Ce qui leur arrivent est touchant et on s'accroche à eux pour les émotions qu'ils nous font ressentir. La question de l'humanité chez les intelligences artificielles est abordée avec intérêt et m'a bien intéressée.

Conclusion : Un roman assez bien mais qui ne m'a pas passionné plus que ça.
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Genesis : le défi des étoiles est le premier tome d'une saga de space-opéra mettant en scène deux personnages : Noemi, une Génésienne dont la planète a fait sécession de la Terre, et Abel, un humanoïde resté prisonnier d'un vaisseau abandonné durant trois décennies.

Le résumé m'attirait beaucoup, notamment avec le thème de l'intelligence artificielle, malheureusement j'ai été plutôt déçue par cette lecture. Il y a pourtant de bons éléments, mais surtout de moins bons.

Commençons par les points positifs : j'ai bien aimé le personnage d'Abel, ainsi que son « humanisation » progressive, et la dualité constante entre sa programmation et son libre-arbitre. Même si son évolution se déroule sans grand suspens, elle est sympathique à suivre. Qui plus est, je l'ai trouvé assez drôle (parfois malgré lui), notamment avec sa promptitude à vouloir faire don de son corps pour diverses raisons. Comme le dirait Noemi : « La prostitution est-elle ta solution à tous les problèmes ? »

J'ai également apprécié l'idée de départ, une planète en guerre contre les Terriens qui, après avoir pollué et ravagé leur propre monde, menacent de faire subir le même sort à ceux qu'ils ont colonisés dans l'espace, en voyageant à travers des trous de ver.

Ce qui m'a déplu, c'est déroulement de l'histoire. Quand j'ai vu qu'il y avait cinq planètes, j'ai grincé des dents en appréhendant le fait qu'on les visite toutes une par une, pour X ou Y raison, alors que seules trois avaient initialement leur importance (Genesis, Kismet et Cray). Et… Bingo, ça n'a pas loupé.

Si encore elles avaient été exploitées correctement, cela ne m'aurait pas vraiment dérangée, mais on ne fait que les survoler sans avoir l'occasion de les découvrir. En fait, dans ce roman, l'action ne s'arrête jamais. On passe d'un lieu à l'autre, d'une planète à l'autre, mais hormis de temps en temps pour s'attarder sur les sentiments des personnages, il n'y a pas de pause dans le récit. Il ne se passe jamais plus de quelques pages sans qu'un rebondissement ne survienne.

Pire, ils semblent parfois sortir de nulle part, tout comme les solutions ont tendance à surgir de façon « deus ex machina » : l'arrivée de Virginia au moment opportun, la sécurité de la prison qui se renforce pile à minuit (ce que personne n'a visiblement pris la peine de vérifier/évoquer avant de se lancer dans une opération-récupération)…

Tout s'enchaîne à un rythme haletant, au point qu'il m'est arrivé d'oublier certains éléments en route. Je me suis aussi interrogée sur la cohérence générale à plusieurs reprises, et je ne suis pas convaincue. Pourquoi Abel, à la vue de son importance, a-t-il été abandonné, et pourquoi n'a-t-on pas tenté de le retrouver ? Comment la Queen a-t-elle pu être mise à jour avec un semblant de conscience ? Par qui ? Mansfield pouvait-il le faire à distance ? Et s'il est capable de cela, pourquoi n'a-t-il tout simplement pas pris le contrôle du Daedalus, puisqu'il le peut ?

Ce ne sont que quelques éléments parmi tant d'autres, mais globalement, ce roman m'a laissée tantôt perplexe, tantôt sur ma faim (voire les deux à la fois). D'ailleurs, la fin n'arrange rien à cela, je n'ai pas vraiment compris l'intérêt de conclure le récit de cette manière, que je n'évoquerai toutefois pas plus en détail afin d'éviter de spoiler.

J'aurais peut-être pu me laisser tenter par le second tome, par simple curiosité, mais puisque la saga n'a pas été intégralement traduite en français, je ne vois pas l'intérêt de poursuivre ma lecture si c'est pour ne jamais avoir le fin mot de l'histoire. À la place, je pense que je vais plutôt imiter Abel et revoir Casablanca…
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Noémi se retrouve en tête à tête avec Abel, robot qui semble ressentir des émotions. A moins que ce ne soit programmé ?
Le sujet est déjà-vu et le traitement l'est également. On aborde ici tous les clichés possibles. Et, sans péripétie, l'ennui survient vite. Difficile en même temps d'innover lorsqu'il manque une réelle intrigue de fond. C'est dommage car l'auteur sait manier la plume et créer l'addiction dans ses lignes de texte. Mais il faut aller chercher dans l'originalité pour maintenir l'intérêt du lecteur. Seule la couverture aura donc réussi à charmer.
Lien : https://chezmirabilia.wordpr..
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