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3,6

sur 286 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'avais déjà lu cet auteur avec "Adieu Zanzibar" qui m'avait fortement ennuyé.
Je voulais retenter l'expérience avec ce volume mais , oh misère, c'est toujours aussi ennuyeux.
Le thème parait toujours intéressant, mais la manière de le traiter toujours aussi désolante.
Le décor planté, le récit démarre bien, puis s'essouffle et s'enlise.
Enfin c'est le lecteur qui s'essouffle à force d'être ballotté de droite, de gauche et l'histoire perd en vigueur et ... me perd.
Pfff ! bien désolant.
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Une vraie purge du début à la fin. Je voulais vraiment lire un auteur primé par le Nobel le plus récent, j'avoue ne pas avoir compris comment ce livre peut ressortir comme étant celui d'un auteur primé. Peut-être ne suis-je pas tombé sur le meilleur livre de Gurnah ? Rien, pour moi, n'est à retenir dans ce livre, c'est mauvais comme jamais : on est balloté d'un endroit à un autre sans aucun style, on ne peut s'accrocher à aucun protagoniste. le "héros" ne transporte aucune âme, c'est creux, vide, morne. Et puis ces insistances sur la "quéquette", les érections mâles et les excréments sont trop nombreuses et pénibles. Un livre sur l'esclavage, sur les religions ? C'est pour moi très mal écrit, j'ai vraiment détesté, mais bon, au moins j'ai lu un livre du Nobel 2021. Bref, suivant...
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Ne connaissant pas cet auteur prix Nobel de littérature en 2021, j'ai commencé la lecture de Paradis avec beaucoup d'attentes tant sur l'originalité du roman que sur l'imaginaire des personnages et de l'auteur. J'ai attendu jusqu'à la fin un retournement de situation qui aurait donné un peu de dynamisme à l'histoire mais ce livre reste désespérément plat. Pas d'émotions ni de vrai plaisir à sa lecture. le lecteur manque de repère pour situer l'histoire dans l'Histoire du continent africain sauf s'il a lu la quatrième de couverture (début du XXe siècle). La personnalité du personnage principal Yusuf est également « plate », ses dialogues ne remplissant pas plus d'une demi-page sur l'ensemble du roman. Un point positif cependant, l'auteur ne nous assomme pas de références littéraires et citations.
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