Pig Island est une petite île située sur la côte occidentale de l'Écosse où vit une secte, le Ministère de la cure psychogénique, dont les membres sont censés être des adorateurs du diable. Une autre histoire circule à propos de cette île, celle d'un monstre ayant une longue queue qui y vivrait et qui a été filmé par un touriste il y a deux ans. le journaliste Joe Oakes est choisi pour faire un reportage sur les membres de cette communauté. Oakes a un autre but plus caché: il veut tuer le mythe du monstre de l'île.
Malachi Dove était le fondateur et le chef de la secte mais il a disparu depuis quelques années. C'est donc celui qui lui a succédé, Blake Frandenburgh, qui l'accueille dans l'île. Il faut dire que Oakes connait Dove depuis vingt ans. Il avait alors enquêté sur lui et mis à jour ses manigances de fausses guérisons. Dove avait alors juré de se venger. Mais il ne semble pas que les membres de la secte aient reconnu Oakes et il est bien accueilli. Blake lui fait visiter la communauté et il fait la connaissance de Sovereign Garrick, la fille adolescente du trésorier de la secte. Oakes apprend que l'île a été divisée en deux et qu'il n'a pas le droit d'aller de l'autre côté. Malachi Dove y vit depuis vingt ans. Il s'était alors marié et avait eu un enfant mort-né. Sa femme, après avoir accouché, n'a pas voulu revenir à Pig Island. Dépressif, il a quitté la communauté et vit désormais seul.
Sovereign emmène Oakes à la limite du territoire de Malachi séparé de celui de la communauté par une barrière. Ils aperçoivent une espèce de queue entre les branchages. Sovereign croit qu'il s'agit d'une fausse queue imaginée par Dove mais Oakes n'en est pas si sûr. Celui-ci y retourne le soir mais il est agressé par Malachi Dove. Lorsqu'ils le trouvent, les membres de la secte l'évacuent sur la côte.
Oakes décide cependant de retourner dans l'île une semaine plus tard. Il y découvre les membres de la communauté massacrés. Pas un n'a survécu. Malachi a disparu... mais le monstre est toujours là. Il s'agit d'une jeune fille dont la queue est une troisième jambe flasque et inerte. Elle est la fille de Malachi. Oakes retourne à terre avec elle, rejoint sa femme, avertit la police. Dove est toujours dangereux et il le sait. Il l'a menacé et la découverte de la chaloupe de la secte sur la côte écossaise montre qu'il a quitté l'île. Il a massacré les habitants de Pig Island et Oakes croit qu'il s'en prendra à lui. Il s'installe dans une planque surveillée par la police avec sa femme et Angeline, la fille de Malachi. Oakes se croit en sécurité mais, en revenant d'une ballade, il découvre que sa femme a été violemment agressée, brûlée au troisième degré, à la suite d'une dispute avec Angeline. Oakes est sûr que Dove a réussi à pénétrer dans la maison malgré la surveillance de la police. La femme de Oakes est toujours vivante mais meurt quelques jours plus tard. Oakes lui-même reçoit une lettre de Dove le narguant.
Malachi Dove était le fondateur et le chef de la secte mais il a disparu depuis quelques années. C'est donc celui qui lui a succédé, Blake Frandenburgh, qui l'accueille dans l'île. Il faut dire que Oakes connait Dove depuis vingt ans. Il avait alors enquêté sur lui et mis à jour ses manigances de fausses guérisons. Dove avait alors juré de se venger. Mais il ne semble pas que les membres de la secte aient reconnu Oakes et il est bien accueilli. Blake lui fait visiter la communauté et il fait la connaissance de Sovereign Garrick, la fille adolescente du trésorier de la secte. Oakes apprend que l'île a été divisée en deux et qu'il n'a pas le droit d'aller de l'autre côté. Malachi Dove y vit depuis vingt ans. Il s'était alors marié et avait eu un enfant mort-né. Sa femme, après avoir accouché, n'a pas voulu revenir à Pig Island. Dépressif, il a quitté la communauté et vit désormais seul.
Sovereign emmène Oakes à la limite du territoire de Malachi séparé de celui de la communauté par une barrière. Ils aperçoivent une espèce de queue entre les branchages. Sovereign croit qu'il s'agit d'une fausse queue imaginée par Dove mais Oakes n'en est pas si sûr. Celui-ci y retourne le soir mais il est agressé par Malachi Dove. Lorsqu'ils le trouvent, les membres de la secte l'évacuent sur la côte.
Oakes décide cependant de retourner dans l'île une semaine plus tard. Il y découvre les membres de la communauté massacrés. Pas un n'a survécu. Malachi a disparu... mais le monstre est toujours là. Il s'agit d'une jeune fille dont la queue est une troisième jambe flasque et inerte. Elle est la fille de Malachi. Oakes retourne à terre avec elle, rejoint sa femme, avertit la police. Dove est toujours dangereux et il le sait. Il l'a menacé et la découverte de la chaloupe de la secte sur la côte écossaise montre qu'il a quitté l'île. Il a massacré les habitants de Pig Island et Oakes croit qu'il s'en prendra à lui. Il s'installe dans une planque surveillée par la police avec sa femme et Angeline, la fille de Malachi. Oakes se croit en sécurité mais, en revenant d'une ballade, il découvre que sa femme a été violemment agressée, brûlée au troisième degré, à la suite d'une dispute avec Angeline. Oakes est sûr que Dove a réussi à pénétrer dans la maison malgré la surveillance de la police. La femme de Oakes est toujours vivante mais meurt quelques jours plus tard. Oakes lui-même reçoit une lettre de Dove le narguant.
Ce livre est épouvantablement nul. Je n'en reviens toujours pas. C'est le premier Mo Hayder que j'ai lu et c'est une véritable déception. J'ai eu beaucoup de peine à le finir alors que la quatrième de couverture m'avait donné envie de le dévorer. Une quatrième de couverture qui est totalement trompeuse, stupide et erronée, puisque ce roman n'a rien d'un huis clos et ressemble encore moins à une oeuvre peinte " sans concession de la violence ". J'invite les gens à lire un seul bouquin de Ryu Murakami juste pour comparer... le style est beaucoup trop féminin, trop sirupeux et incongru dans une oeuvre qui veut se donner une dimension d'épouvante ou simplement de malaise. Mes souvenirs ne sont plus très frais, je l'ai fini il y a deux semaines (en trainant des pieds). Les personnages sont ratés, la relation entre la tante et son neveu sont d'un chiant incommensurable, le personnel de l'hopital est inexistant a part un gros jamaicain sympa appelé La Baraque, quid des autres ? Les patients sont la caricature de tout ce que l'on retrouve dans les films touchants de près ou de loin le monde psychiatrique " la mère monstre aux troubles psychotiques, l'obsédé sexuel, le gogol surdoué qui fait des "poppets" , l'obèse méchante qui se fait caca dessus"... et j'en passe. Je n'ai toujours pas compris ce que venais foutre ici l'histoire à dormir debout de la starlette morte qu'une détective tente de cacher dans une grotte pour couvrir son frère. du GRAND n'importe quoi ! L'histoire se finit par un "et ? " ... c'est bien la seule chose à redire sur ce bouquin... "et ???" !
Très bon thriller. le 3ème Mo Hayder que je lis et je trouve ses livres atrocement bons!
L'atmosphère qui s'en dégage me plaît au plus haut point et Caffery,le flic récurrent,est génial.
L'atmosphère qui s'en dégage me plaît au plus haut point et Caffery,le flic récurrent,est génial.
Un livre audio agréable à lire car à la narration de François Hatt qui se prête parfaitement à ce type de roman.
Une histoire complexe, des personnages qui ont des histoires sombres dans leur passé et un Jack Caffery toujours au top de sa forme pour mener une enquête policière.
Même si certains passages sont à mon sens un peu long, donc un brin inutile, cela ne gâche en rien l'histoire et l'écoute si fluide.
Lien : http://aumilieucoule.org/fr/..
Une histoire complexe, des personnages qui ont des histoires sombres dans leur passé et un Jack Caffery toujours au top de sa forme pour mener une enquête policière.
Même si certains passages sont à mon sens un peu long, donc un brin inutile, cela ne gâche en rien l'histoire et l'écoute si fluide.
Lien : http://aumilieucoule.org/fr/..
Je découvre Mo Hayder avec ce titre. J'ai apprécier, mais à force de en livre les thriller ont tous les même ficelles.
Celle de ce livre était certainement un peu trop grosses, j'avais raison ! J'ai vite tout découvert !
C'est le bémol de ce livre, il est un peu gros. Mais l'intrigue est bonne, il aurait certainement fallut aller plus loin, l'hôpital psychiatrique est une bonne idée mais il aurait fallut aller plus loin, ça commençais bien avec "mère monstre" mais passer cet épisode le thème est trop lisse.
Celle de ce livre était certainement un peu trop grosses, j'avais raison ! J'ai vite tout découvert !
C'est le bémol de ce livre, il est un peu gros. Mais l'intrigue est bonne, il aurait certainement fallut aller plus loin, l'hôpital psychiatrique est une bonne idée mais il aurait fallut aller plus loin, ça commençais bien avec "mère monstre" mais passer cet épisode le thème est trop lisse.
Jack Caffery est un personnage récurrent pour Mo Hayder, il est présent dans mon premier roman de cette auteure dont je vous ai parler dans Birdman. Je me faisais une joie de retrouver ce personnage, mais je dois dire, que le roman m'a déçue, avec Birdman, Mo Hayder avait mis le niveau très haut dans le thriller noir, très noir et là, bah rien du vide et une fin que j'ai deviné au milieu du livre.
Dans ce roman, on y trouve dès le début le personnage de Mère Monstre et ça promet en 2 pages une suite bien prometteuse.
Nous sommes dans un hôpital psychiatrique où des patients s'infligent de l'automutilation et trouvent la mort d'une façon étrange.
Il y a "La Maude", le fantôme d'une ancienne infirmière naine sadique envers ses patients.
Le personnage principal A.J coordinateur principal de cet hôpital qui commence à se poser des questions, qui tombe aussi amoureux de la directrice Mélanie Arrow.
Handel fait quelques apparitions, mais vraiment peu, quand on s'attend à le voir plus avec le résumé. Il a été accusé durant son adolescente du meurtre barbare de ses parents, d'où son enfermement en centre psychiatrique de haute sécurité. Puis un jour, il est remis en liberté, au grand étonnement de A.J.
Puis une seconde enquête apparaît, celle de la disparation de Misty 18 mois plus tôt, son corps toujours pas retrouvé. Flea une enquêtrice, qui semble liée à cette disparition.
On tourne en rond sur ces événements durant les 199 premières pages et à la 200 ème enfin A.J et Caffery se rencontrent, pour qu'une enquête commence réellement concernant ces faits étranges qui touchent l'hôpital.
Les événements s'enchaînent à une vitesse déconcertante, car il reste 226 pages pour créer une enquête et faire le dénouement, trop peu à mon goût. Il y a enquête, sans vraiment en y avoir. le côté noir de Mo Hayder n'y est pas.
Ce que j'ai pu apprécier et ce qui m'a certainement fait tenir jusqu'à la fin, ce sont les chapitres très courts, on passe d'un événement à une autre et on lâche pas car on espère vite le petit truc qui fait que le livre va commencer.
L'écriture est fluide tout comme dans Birdman, une plume que j'aime.
Pour conclure, je me suis ennuyée et je languissais de le finir pour pouvoir prendre un nouveau roman.
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..
Dans ce roman, on y trouve dès le début le personnage de Mère Monstre et ça promet en 2 pages une suite bien prometteuse.
Nous sommes dans un hôpital psychiatrique où des patients s'infligent de l'automutilation et trouvent la mort d'une façon étrange.
Il y a "La Maude", le fantôme d'une ancienne infirmière naine sadique envers ses patients.
Le personnage principal A.J coordinateur principal de cet hôpital qui commence à se poser des questions, qui tombe aussi amoureux de la directrice Mélanie Arrow.
Handel fait quelques apparitions, mais vraiment peu, quand on s'attend à le voir plus avec le résumé. Il a été accusé durant son adolescente du meurtre barbare de ses parents, d'où son enfermement en centre psychiatrique de haute sécurité. Puis un jour, il est remis en liberté, au grand étonnement de A.J.
Puis une seconde enquête apparaît, celle de la disparation de Misty 18 mois plus tôt, son corps toujours pas retrouvé. Flea une enquêtrice, qui semble liée à cette disparition.
On tourne en rond sur ces événements durant les 199 premières pages et à la 200 ème enfin A.J et Caffery se rencontrent, pour qu'une enquête commence réellement concernant ces faits étranges qui touchent l'hôpital.
Les événements s'enchaînent à une vitesse déconcertante, car il reste 226 pages pour créer une enquête et faire le dénouement, trop peu à mon goût. Il y a enquête, sans vraiment en y avoir. le côté noir de Mo Hayder n'y est pas.
Ce que j'ai pu apprécier et ce qui m'a certainement fait tenir jusqu'à la fin, ce sont les chapitres très courts, on passe d'un événement à une autre et on lâche pas car on espère vite le petit truc qui fait que le livre va commencer.
L'écriture est fluide tout comme dans Birdman, une plume que j'aime.
Pour conclure, je me suis ennuyée et je languissais de le finir pour pouvoir prendre un nouveau roman.
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..
Absolument génial, le suspens est bien tenu. Et la fin, on s'y attend pas du tout.
On m'avait conseillé «Tokyo» du même auteur, j'ai préféré prendre «fétiches», au final je suis déçue.
Le résumé m'attirait beaucoup mais finalement, j'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans l'histoire.
J'étais intrigué par ce qui se déroulait à Beechway, au début ; mais le côté centré sur AJ et Melanie ralentissant peu à peu l'histoire a fini par me perdre...
Les personnages de Flea et de Jack Caffery n'ont pas pu redonner du punch à ma lecture puisque je les ai trouvés totalement inintéressants.
Au final, seul le personnage de Mère Monstre aura sû se démarquer.
Enfin, pour ce qui est du suspense ... je le cherche encore ; une fin assez attendue et finalement... beaucoup trop de longueurs.
En conclusion, une lecture décevante, ne présentant pas grand intérêt. S'il y a un livre à lire de cet auteur, ce ne doit pas être celui-ci.
Le résumé m'attirait beaucoup mais finalement, j'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans l'histoire.
J'étais intrigué par ce qui se déroulait à Beechway, au début ; mais le côté centré sur AJ et Melanie ralentissant peu à peu l'histoire a fini par me perdre...
Les personnages de Flea et de Jack Caffery n'ont pas pu redonner du punch à ma lecture puisque je les ai trouvés totalement inintéressants.
Au final, seul le personnage de Mère Monstre aura sû se démarquer.
Enfin, pour ce qui est du suspense ... je le cherche encore ; une fin assez attendue et finalement... beaucoup trop de longueurs.
En conclusion, une lecture décevante, ne présentant pas grand intérêt. S'il y a un livre à lire de cet auteur, ce ne doit pas être celui-ci.
J'ai découvert Mo Hayder par hasard avec Tokyo. J'ai adoré ce roman, elle m'a fait aimer les thriller alors que j'étais plutôt fantasy ou grands classiques de la littérature. C'est donc avec excitation que j'ai commencé Fétiche. Une fois encore je ne suis pas déçue, elle confirme son talent pour ce genre et son talent d'écrivain.
Comme pour Tokyo plusieurs histoires se croisent, sans que leurs liens soient visibles au premier abord. AJ, responsable dans un centre psychiatrique, attaché à ces patients plus ou moins perturbés, va tenter d'éclaircir le mal qui se repend dans l'hôpital. Un mal mystérieux qui non seulement apporte la mort de patients, mais fini aussi par toucher le moral du personnel. En parallèle, le commissaire adjoint Caffery broie du noir, il n'arrive pas a résoudre une affaire de disparition, ou plutôt il ne peut pas la résoudre dans l'état actuel des choses.
Mo Hayder nous plonge une fois encore dans une ambiance qui s'assombrit de plus en plus, qui finit par nous déranger tout en attisant notre curiosité. Jusqu'au bout il nous est difficile de voir où les choses vont se terminer, où le mystère va nous amener. Son écriture fluide et riche nous plonge admirablement dans cet univers, mais rassurez-vous, c'est toujours avec talent que le soleil réapparaît à la fin du roman.
Comme pour Tokyo plusieurs histoires se croisent, sans que leurs liens soient visibles au premier abord. AJ, responsable dans un centre psychiatrique, attaché à ces patients plus ou moins perturbés, va tenter d'éclaircir le mal qui se repend dans l'hôpital. Un mal mystérieux qui non seulement apporte la mort de patients, mais fini aussi par toucher le moral du personnel. En parallèle, le commissaire adjoint Caffery broie du noir, il n'arrive pas a résoudre une affaire de disparition, ou plutôt il ne peut pas la résoudre dans l'état actuel des choses.
Mo Hayder nous plonge une fois encore dans une ambiance qui s'assombrit de plus en plus, qui finit par nous déranger tout en attisant notre curiosité. Jusqu'au bout il nous est difficile de voir où les choses vont se terminer, où le mystère va nous amener. Son écriture fluide et riche nous plonge admirablement dans cet univers, mais rassurez-vous, c'est toujours avec talent que le soleil réapparaît à la fin du roman.
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