En prolongement de la nature, puisant à la même source, Jon Helip râpe, griffe la surface de la matière, il agit en poète et libère la forme allusive que le temps, les cycles de la vie, l’alchimie des mers ont imprimé au bois porté, emporté, éternisé dans le flux des vagues, le bois léger, durci par de mystérieuses pérégrinations sur l’océan. Comme un chorégraphe, il joue avec la verticalité et la pesanteur. L’élévation de l’œuvre est accompagnée des mots du poète. ... >Voir plus