Une vague de chagrin et d'horreur me submergea, mais la mort de Joe n'en était pas uniquement la cause. Le poignard dans son dos était bien reconnaissable, avec son manche orné de pesos grossièrement martelés et assemblés. Je l'avais fabriqué pour mon frère, quinze ans auparavant, et c'était le genre d'armes que seul peut concevoir un garçon passionné par les romans de H. Rider Haggard, un garçon... >Voir plus