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3,67

sur 1454 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Alors personne n'arrivera à me faire croire:.
- Que "Où est le bec?" est le Balzac du XXIe.
- Qu'il a quelque chose à dire.
- Que c'est un écrivain. C'est à peine un écrivant.
J'ai lu, je me suis em... comme un rat mort. Je n'en lirai plus. Jamais. A quoi bon se tartiner des kilomètres de platitudes affligeantes, de banalités politico-sociologico-masturbo-bito-philosophiques qui ne valent pas tripette?
Seul intérêt de ce livre: il peut aider à surélever les meubles en cas d'inondation!
Et c'est aussi un excellent baromètre de la connerie ambiante. On bat des records.
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Je ne comprends pas. Je ne comprends pas que cet auteur soit considéré comme l'un des meilleurs dont la France puisse s'enorgueillir. La centaine de pages que je me suis contraint d'avaler était d'une plateur syntaxique affligeante, et au bout de deux ou trois bites, j'ai dit stop. Pour rester dans le langage ordurier de l'air du temps, vraiment rien à battre de cet ouvrage.
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La lecture d'anéantir de michel houellebecq (en minuscules sur la couverture du livre) m'a laissé le même sentiment que la visite de la collection Soulages au Musée Fabre de Montpellier cet été. Noir sur noir : du foutage de g.... plutôt que de l'art.

Ce pavé de 734 page part dans toutes les directions : politique fiction (élections présidentielles de 2027, attaques informatiques mondiales, terrorisme international), drame familial sur le vieillissement et la maladie, romance érotique pour les plus de 50 ans, ... avec beaucoup de poncifs et de généralités sur les Noirs, les Arabes et les femmes, sans compter les nombreuses erreurs et approximations.
Ainsi, Paul Raison, l'anti-héros a quarante-sept ans fin 2026 et fête ses cinquante ans juste après les élections de 2027.

Pas vraiment un grand cru de Houellebecq, à ne pas boire jusqu'à la lie.

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A LA RECHERCHE DU TEMPS TROP LONG, comme dirait l'autre. Oui. C'est très long. Long comme des mois de confinement contraint. Ca n'est pas du Houellebecq. C'est une tentative raté. N'est pas Huysmans qui veut. Et ça se termine comme ça : 734 pages de TEMPS PERDU.
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C'EST UN MÉTIER

Le polar est une école de la rigueur. Quoi que l'on pense de ce genre, un bon polar ne souffre pas l'approximation.

Pour ceux qui ont décidé une expérience immersive dans une grotte, celles qui vivent ailleurs qu'en Europe occidentale, Houellebecq a sorti un livre. Étant soumis à une sorte de charte professionnelle, je me suis attelé à lire anéantir. Qui commence comme un polar, un thriller. Et puis peu à peu, Houellebecq abandonne son intrigue en route (et moi ma lecture).

Ce n'est alors plus un roman. C'est un recueil éditorial. Que pense Houellebecq de l'industrie ? Des médias ? Des femmes ? Des noirs ? de la France ? de la mort ? du couple ? du sexe ? de la politique ? de la mozzarella ? Toujours dans ce style fluide et inimitable.

Si comme moi, on a un peu tendance à s'en foutre de ce que peut bien penser Houellebecq, c'est un peu long, plus de 700 pages de fulgurances houellebecquiennes.

Alors bien sûr, on peut s'accorder un frisson de mal-pensance , ce politiquement incorrect odieusement bâillonné, c'est qu'on ne peut plus rien dire. Sauf sur C-News, Valeurs actuelles, Le Figaro, BFM, LCI, RMC, Sud Radio, Causeur, Atlantico... et j'en oublie mais à part là, hein ? Nulle part ! Heureusement Michel est toujours dans le Game pour ce shoot, cette convulsion de subversion.

Finalement, le plus parlant est que Houellebecq ne dévoilerait rien des manigances inaugurant son dernier opus. J'en reviens à mon postulat de départ et la rigueur de la littérature policière. Polardeux, c'est un métier et Houellebecq n'a peut-être pas le niveau.
Lien : https://micmacbibliotheque.b..
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D'habitube cet auteur me fait bien marrer avec ces personnages dépressifs, ces scènes de sexe improbables, ces descriptions du quotidien réalistes et sa vision pessimiste de la nature humaine, mais je me suis bien ennuyé avec ce dernier bouquin, je ne vois pas où il veut nous emmener, avec la vie de ce Bruno et les dernières pages oncologiques ne me feront pas voter Micron c'est certain.
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Voilà, j'ai attendu patiemment mon tour à la bibliothèque municipale pour lire le dernier (et très attendu) Houellebecq.

Je dois vous avouer qu'habituellement, je ne suis pas en admiration devant son oeuvre, mais ce livre-ci m'a été plus insupportable que les autres : plus de 700 pages de misogynie nauséabonde et prétentieuse, une analyse politique omniprésente : on se demande d'ailleurs s'il s'agit d'un roman de fiction ou d'un déballage de journal télévisé du 20 h chargé de généralités et de ficelles. La prochaine fois, je vais tenir ma promesse : plus de Houellebecq, quoi que puisse en dire la presse.


Je ne parle même pas de l'oeuvre en tant que telle : j'ai abandonné en cours de route. La construction narrative se meurt dans cet ensemble indigeste, la narration se concentre sur des personnages inintéressants, stéréotypés, il n'y a aucune audace littéraire, aucune ligne directrice.


C'est quand même effrayant qu'un auteur aussi vide puisse susciter l'admiration internationale. Je peux concevoir que son aura de scandale (hautement marketing et bien ficelée) puisse plaire, notamment à un public avide de complots et de théories nationalistes, mais pour ce qui concerne l'oeuvre d'art, passez votre chemin.

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Si la littérature se vendait au kilo, anéantir aurait sans doute quelque chance de faire le poids. Ou alors l'auteur mû par une jouissance perverse a voulu voir jusqu'où il pouvait pousser l'abscons sans que ne soit dénoncée la mystification. Ni roman d'espionnage, ni? ni quoi au fait? Pour qu'il y ait un "ni" il faudrait qu'il y ait un contenu qui définisse son contraire. Mais peut-être Houellebecq a-t-il voulu écrire le roman d'un non-roman? Quoiqu'il en soit, l'ennui est souverain. Pas un hasard qu'il n'ait pas osé écrire Anéantir mais juste anéantir!
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J'avoue avoir perdu tout intérêt pour Houellebecq depuis le pompeux "Soumission" que j'avais qualifié de creux, mais on me l'a offert!
Me voici donc embarquée dans l'espoir d'une envolée littéraire! le titre, le nom en minuscules, pas mal trouvé, seulement à la première phrase, le style est "grippé". Je me suis dit que j'y mettais de la mauvaise foi et continuai.
1, 2, 3, toujours pas de soleil. Je me suis dit: Prudence! Je ne peux pas être dans le couloir de la mort littéraire?!
4, 5, 8, 7, 8, 9, 10 , bla bla bla; Même pas un passé simple pour oindre "les jointures". le récit, s'étire, lourd en participe présents...
Très confus, il donne l'impression d'avoir repris des notes lointaines qu'il a tenté d'assembler dans un état second.
J'ai ahané jusqu'à la page 316... Carrément anéantie!
J'ai lu la dernière partie: Booof, rien d'extraordinaire: Une fin.
En revanche, j'ai jeté un oeil sur les remerciements et j'ai eu la révélation de cette bouillie!!
Cancer ORL! Il ne vous aura pas échappé que Houellebecq parle de houellebecq (affaibli par la maladie); En toile de fond, un climat politique et social miné par "le grand remplacement"...
Sauf qu'Il aurait pu s'abstenir de nous servir ce mauvais goulash, mais une dernière louche???

730 pages? On devrait lui faire payer une taxe environ-mentale!!!
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J'ai été anéanti d'ennui à la lecture de ce livre.
Un roman qui atteint des sommets de vide avec des personnages et des situations d'une banalité affligeante, (prétextes ici où là à toutes sortes de clichés sous-jacents et jamais totalement ou courageusement formulés).
Ce roman n'est que le reflet de l'insipide réalité de notre époque, allant de l'ineptie du débat politique à la vacuité d'un certain esprit français qui s'accroche à quelque chose qui n'existe plus et ne reviendra pas. C'est comme si Houellebecq n'avait plus rien à dire, et il aura fallu 700 pages pour en arriver là.
Houellebecq a bien sûr écrit de grands livres et il a toujours auparavant eu des fulgurances de grand écrivain, mais là ce n'est pas le cas. Déjà son livre précédent Sérotonine était le livre d'un type largué qui ne comprenait rien à son époque.
Mais là, c'est encore pire, on sent qu'il n'a plus de vision ni clairvoyance, c'est comme s'il avait perdu la substance essentielle qui nourrissait son travail.
Bref, ne perdez pas votre temps avec ce pavé indigeste, n'écoutez pas non plus les critiques qui louent chacun de ses ouvrages sans exception, il y a tellement d'autres livres passionnants à vous mettre sous la dent.
On ne m'y reprendra plus !

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