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4,04

sur 1196 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Si je vous dis « hirondelles, champagne, Pays basque, suite », à quoi pensez-vous ? (oui, j'aimais beaucoup le jeu télévisé Pyramide, les plus de vingt ans sauront de quoi je parle 😉) À la suite des « Demoiselles » d'Anne-Gaëlle Huon, bien sûr !

« Ce que les étoiles doivent à la nuit » commence là où « Les demoiselles » finit : Liz vient de terminer la lettre de Rosa, sonnée par toutes ces révélations. Pourtant cette lettre tombe au bon moment pour Liz, la brillante cheffe cuisinière, qui se trouve en plein milieu d'un scandale. Sa réputation brisée, ses rêves d'étoile michelin envolés, son restaurant fermé, elle part au Pays basque retrouver ses racines. Là-bas, un mystérieux homme d'affaires, M. Etchegoyen, va lui proposer de reprendre son restaurant pour en faire le nouveau lieu gastronomique du Pays basque. Problème : il va falloir s'entendre avec le cuisinier de céans, Peyo, qui est loin d'être commode (ça ne durera pas, comme on peut s'y attendre). Liz y voit l'occasion rêvée de se refaire une réputation de cheffe, mais cette quête a-t-elle vraiment du sens ?

Dans cette suite qui n'en est pas vraiment une, on croise certains des personnages des Demoiselles : la pétillante Rosa, l'inoubliable Romy, la fantasque marquise Véra, Lupin et Marcel. Toutefois, à l'exception de Romy, omniprésente dans le roman, les autres ne fournissent qu'un cadre déjà connu à cette nouvelle histoire, centrée sur Liz Clairemont, et une histoire du passé (fonctionnant en flashbacks) qui viendra éclairer le présent. Les aficionados des Demoiselles pourront le regretter, pour ma part j'ai trouvé cette implantation d'histoire dans une autre déjà connue plutôt maline, car elle permet d'éviter les redites et résumés, en plus de rendre « Ce que les étoiles doivent à la nuit » indépendant des « Demoiselles ». Il permettra en outre d'expliquer la longue absence de Romy dans le premier volet de l'histoire.

J'ai beaucoup aimé ce roman que j'ai lu d'une traite, mais il souffre un peu de la comparaison inévitable avec son grand frère : l'histoire est plus convenue, moins pétillante que « Les demoiselles », sans être toutefois dépourvu de charme. On comprend peut-être un peu trop rapidement l'histoire derrière les flashbacks, même s'ils apportent du rythme à l'histoire. Comme « Les demoiselles », « Ce que les étoiles doivent à la nuit » est un roman pétri de bons sentiments, avec un joli message : croire en ses rêves, même dans les moments les plus difficiles, car derrière toute période sombre se cache un beau lendemain.
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Je n'ai pas lu «  Les demoiselles » .Je ne connais pas l'auteure .

Je me suis un peu perdue au début dans cette romance généreuse pétrie de bons sentiments, l'histoire de Liz , chef prodige étoilée et celle de Balthazar qui débute en 1951.
À travers Peyo le bourru et Liz , l'auteure décrit le monde de la restauration, les experts de la cuisine raffinée: le moindre détail compte ,dressage , choix de denrées de haute qualité , répétition des mêmes gestes: ficeler, barder, blanchir, concasser, mijoter, crépiner, poêler , décortiquer , hacher, déplumer embrocher, effiler, garnir , étuver, présenter … concentration à l'extrême, stress , pression , difficulté d'atteindre la perfection ……, fatigue , imagination créatrice, gestes précis ,soignés ,minutieux , pas d'improvisation,ni d'à peu près ,ni incertitude ….
Le lecteur suit Liz, cheffe étoilée , un drame a fait basculer sa vie il y a deux mois: intoxication alimentaire , étoile qui s'éteint descente aux enfers et fermeture de son restaurant .
Elle n'est plus qu'un champ de ruines , n'a plus rien à perdre .
Liz part au pays basque dans un village , sur les traces de sa mère ——-au terroir riche , s'imprégner de ses traditions, de ses savoir- faire , de ses saveurs , de ses odeurs—-
Elle rencontre Monsieur Etchegoyen, dandy tout en contraste ,plein de panache ' à l'humour plutôt décalé qui lui confie un défi à relever : faire de sa gargote «  Chez Germaine » un restaurant gastronomique .

Mais Peyo , le chef , ne voit pas arriver cette Liz d'un bon oeil ….

C'est une histoire savoureuse tissée de personnages hauts en couleurs Nine et sa fragilité , Gwen sa mère , Peyo le bourru, Nana et sa douceur , la sincérité de Rosa, une immersion au pays basque, au coeur de la magie culinaire: grésillements , coups de hachoir , vapeur , cuillères en bois raclant les poêles , explosion d'émotions et de souvenirs , disputes, chagrins , fierté , bonheur , gratitude, envers ces âmes cabossées et généreuses , unies par leur passion de la cuisine, capables d'enchanter les grands de ce monde .
De la maison aux volets bleus au couloirs blafards d'un hôpital l'amour et l'espoir triomphent , l'histoire est belle, la plume est délicate , savoureuse ,sensible , un ouvrage des plus simples , à l'histoire universelle qui donne de l'espoir ……
Facile à lire , reposant, mais j'ai eu beaucoup de difficultés à y entrer ……tout de même pour les raisons indiquées plus haut …..

Emprunté par hasard à la médiathèque…
«  —— le Pays Basque semble intouché depuis les origines . Son terroir est si riche. Je n'avais pas idée. Je fais la connaissance de pêcheurs , de paysans ,d'éleveurs , de producteurs , de maraîchers , de vignerons , d'artisans .
D'hommes et de femmes respectueux de leur héritage » ….

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Une fois de plus j'ai eu un immense plaisir à écouter ce livre audio, sa particularité est d'avoir deux lecteurs, Florine Orphelin qui interprète Liz et Philippe Spitéri pour Balthazar. Je trouve ce choix très réussi. Il donne plus de profondeur à ce très beau roman choral. Tous les deux ont le ton juste et donnent vie avec brio à leurs personnages. Ils nous entraînent à travers deux époques, avec des points de vue différents et complémentaires.

Ce roman est une suite indirecte des Demoiselles que j'avais découvert avec grand plaisir l'an dernier. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu le premier pour comprendre l'histoire, même si c'est toujours plus agréable de commencer une saga par le début. de toute façon j'encourage les lecteurs qui ne l'ont pas encore lu à le découvrir, vous ne serez pas déçus.

Liz est au sommet de la vague, cheffe d'un restaurant gastronomique sur le point de décrocher sa première étoile et jurée d'une célèbre émission culinaire. Malheureusement une soirée tourne au désastre lorsque que les membres du Michelin sont présents, en même temps que les pompiers suite à l'intoxication alimentaire d'une cliente, et ensuite une employée se brûle puis dépose plainte pour harcèlement. Liz se trouve prise dans un scandale et son restaurant est fermé. Déboussolée, elle retrouve grâce à son amie Nana une lettre de Rosa, une vieille dame qui lui dit qu'elle a bien connu sa mère et l'invite à Moléon au Pays basque, les deux femmes s'y rendent. Liz n'a pas réussi à faire le deuil de sa mère Romy, qui s'est suicidée alors qu'elle avait dix-huit, soit vingt ans plus tôt. L'enfance de Liz a été marquée par la maladie de sa mère bipolaire, elles ont alterné les fêtes merveilleuses et les jours sombres. Liz sent encore sa présence et la voit souvent. A Moléon, elle rencontre M. Etchegoyen, un riche homme d'affaire qui possède entre autre le petit restaurant du village, qui vivote sous la férule de Péyo, le chef caractériel et lunatique. le vieil homme lui propose de faire de son établissement un restaurant gastronomique en trois mois, il croit en elle et elle aura carte blanche sauf en ce qui concerne Péyo qui doit garder son poste. N'ayant rien à perdre, elle relève le défi.

En alternance, Balthazar raconte son histoire qui débute en 1951. Il est fils de paysan, se désintéresse de ses études et se passionne pour le poker, tout comme son frère. Ils sont surtout des tricheurs à la petite semaine qui dévalisent des joueurs bien plus naïfs qu'eux. Ils se font surprendre un jour par des amis de leur père au casino de Biarritz et improvisent une excuse : Balthazar veut interviewer la Marquise, une célébrité qui donne des fêtes courues par le gratin local et parisien. le père n'est pas dupe, mais le jeune homme veut donner vie à son mensonge et se rend à la villa de la Marquise. le gardien ne le laisse pas entrer, il contourne alors la propriété et entre en escaladant une falaise. Sous l'orage il voit un zèbre qui court dans le jardin, mais surtout Romy, une éblouissante jeune fille, c'est le coup de foudre immédiat et réciproque.

Ainsi le récit alterne entre présent et passé. Tous les personnages sont attachants, Liz est au centre du roman. Sa rencontre avec Péyo fait des étincelles et donne lieu à quelques scènes cocasses où leurs conceptions différentes de la cuisine s'affrontent. Elle fait tout pour le faire partir, mais en vain. Elle trouve qu'il manque de créativité et de modernité et ne comprend pas pourquoi le patron lui impose sa présence. Elle s'est liée avec Gwen, une jeune Bretonne venue avec Nine sa fillette au coeur malade, car le spécialiste qui la soigne a pris sa retraite dans la région. Gwen rejoint la maison des Demoiselles, puis l'équipe du restaurant. Les deux chefs sont très attachés à la petite, ce qui les rapprochera. Un beau jour Liz oubliera ses à-priori et reconnaîtra Péyo, qui se révèlera un ami et un fidèle soutien pour le nouveau projet de restaurant. Elle révisera ses préjugés et ils pourront enfin former une vraie équipe qui relèvera brillamment le défi un soir de tempête où l'électricité est en panne. Face à la maladie de Nine, elle retrouvera enfin le sens des priorités.

La plume de l'auteure est toujours aussi fluide et agréable, j'ai écouté ce roman d'une traite. J'ai beaucoup aimé cet hymne au terroir qui donne envie de découvrir le pays basque, mais aussi sa propre région en disant l'importance du terroir et de nos racines, du lien avec la terre et la nature. On parle beaucoup de cuisine, un sujet qui ne m'intéresse pas particulièrement. Liz nous présente l'envers du décor de la grande cuisine faite de machisme et de violence, un monde où tout est permis pour se faire une place au soleil, mais où on la perd plus vite qu'on ne l'a gagnée. Liz en fera l'amère expérience et elle n'est pas loin de pratiquer les mêmes méthodes pour évincer Péyo au début, mais grâce à ses amis, elle saura retrouver le sens de sa passion pour la cuisine, sa créativité sera décuplée loin des conflits parisiens. Ce livre met à l'honneur les femmes qui réussissent malgré les embûches. Il y a toutefois un problème de chronologie interne dans le roman à mon avis.

J'ai beaucoup aimé ce livre plein d'espoir, de résilience et de tendresse, le tout dans de très beaux paysages. C'est une lecture qui fait du bien. Un grand merci à Netgalley et Audiolib pour cette belle découverte.

#Cequelesétoilesdoiventàlanuit #NetGalleyFrance !
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J'avais eu un coup de coeur avec « Les Demoiselles » et j'ai eu énormément de plaisir à retrouver Rosa et Liz dans ce roman. Une histoire remplie de douceur et de tendresse ainsi que des personnages touchants et attachants font que cette lecture est géniale.
Anne Gaelle Huon nous fait passer par beaucoup d'émotion, elle nous sait nous raconter des histoires et nous emmener avec elle dans son univers. C'est tellement bien écrit qu'on tourne les pages sans s'en rendre compte. Sa plume est fluide et rythmé, l'intrigue est prenante et captivante. Je crois que j'ai lu tout les romans de cette auteure et pour le moment je n'ai jamais été déçu. J'attends avec impatience le nouveau roman.
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Merci à NetGalley et à Audiolib pour la découverte de Ce que les étoiles doivent à la nuit d'Anne-Gaëlle Huon.

Ce roman est d'abord une plongée dans le milieu des chefs étoilés, non pas celui des chefs en vedette, sous les feux de la rampe, bien au contraire… Nous en saisirons, entre les lignes, l'envers du décor, entre misogynie et coups bas. J'ai immédiatement pensé au livre de Marie Ndiaye, La Cheffe, Roman d'une cuisinière que j'avais lu, à sa sortie, en 2016, et j'étais donc comblée de voir qu'Anne-Gaëlle Huon s'y réfère dans ses remerciements en fin de volume.
Lizz a connu la gloire à Paris, en tant que cheffe prodige et étoilée, puis a dû fermer son restaurant, meurtrie et cabossée par la charge de travail, les aléas du métier, des expériences douloureuses, des trahisons, une enquête sanitaire...
Dans un petit village perdu du Pays Basque, Lizz rencontre M. Etchegoyen qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever en faisant de sa gargote une adresse gastronomique ; c'est l'occasion inespérée de se remettre en selle même si Peyo, le chef actuel, ne voit pas arriver cette étrangère d'un bon oeil. L'un et l'autre vont devoir s'apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.

Ce récit au titre évocateur est aussi et surtout une histoire foisonnante faite de rencontres, pas vraiment fortuites… Il n'y a pas de hasard, annonce la quatrième de couverture, seulement des rendez-vous.
La narration à deux niveaux avec le parcours de Lizz et celui d'un homme qui a été éperdument amoureux de sa mère m'a fait penser à Boris Vian (L'Écume des jours) et à Olivier Bourdeau (En attendant Bojangles) avec une histoire d'amour pleine de rêve et de fantaisie, le fantôme de la mère et de la femme aimée qui apparaît de temps en temps pour donner son propre ressenti, des personnages attachants et/ou farfelus : une petite fille malade, des vieilles dames dynamiques, un singe, des escargots, un pâtissier timide et secret, un dandy insaisissable et plein de panache, des joueurs de poker…

Un roman savoureux au sens propre, car on y cuisine beaucoup, et figuré car l'histoire est pleine d'émotions, d'humour et de fantaisie.
Les étoiles du titre ne sont pas seulement celles décernées aux chefs cuisiniers : ici aussi, il y a le sens propre et les métaphores à filer tout au long de l'intrigue : la plupart des personnages ont connu des périodes difficiles avant de retrouver la santé, l'espoir, l'amour et de reprendre goût à la vie.

La version audio suit la narration avec l'alternance des points de vue à deux voix, celles de Florine Orphelin et Philippe Spiteri. En règle générale, je préfère les lectures épurées, sans fioritures et sans excès d'interprétation… Je dois cependant reconnaître qu'ici, le mélange des voix passe bien.

Une réussite sur tous les plans.

#Cequelesétoilesdoiventàlanuit #NetGalleyFrance

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Liz était cheffe étoilée, vedette d'une émission de télé jusqu'au jour ou tout est parti de travers.
Suite à une lettre reçue, c'est dans le pays basque qu'elle va essayer de se relever de tous ses problèmes.
Elle va croiser des personnages étonnants : les femmes qui vivent chez Rosa, Peyo qui tien le seul restaurant du coin ou encore M. Etchegoyen qui lui confie les clés de son restaurant.
Mais ce restaurant c'est aussi celui de Peyo et entre Liz et lui le courant de passe pas du tout.
Un roman à deux voix, celle de Liz et celle de Balthazar qui apportent petit à petit des explications.
Des personnages très attachants avec des histoires touchantes. Une belle histoire de destin qui se croisent pour que chacun y puise de la force.
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Ingrédients et recette d'une lecture parfaite :
Une pincée de tendresse, une poignée d'amour, une grosse dose d'amour, une louche de générosité.
Mélangez le tout, ajoutez y le talent des mots de annegaelle_huon et savourez tranquillement chaque page de ce que les étoiles doivent à la nuit.

"La lumière ne jaillit que de l'ombre Liz. Ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent"

Cette auteure est une magicienne ! Elle a le don d'écrire des histoires avec du coeur. Dans cet opus la solidarité, dont on manque parfois cruellement, est une fois de plus mise à l'honneur. On retrouve certains des personnages de son précédent roman, les demoiselles que j'avais adoré.

Liz, jeune cheffe prodige étoilée pense avoir tout perdu quand elle est contrainte d'abandonner son restaurant à Paris suite à une sordide affaire. Les cicatrices de l'enfance s'ouvrent à nouveau et c'est au pays basque qu'elle trouve refuge, espérant trouver le fil de son histoire ; connaître ses racines pour se trouver; affronter de nouveaux défis pour retrouver l'essentiel ; oser entrouvrir les portes pour laisser entrer les nouvelles rencontres que le destin met sur sa route. Chacune de ses étapes sera essentielle pour réparer le coeur brisé de Liz et panser ses blessures multiples.

Un doux moment m'a été offert au fil des pages de ce livre. J'ai voyagé dans diverses époques où les destins des personnages s'entremêlent. J'ai vécu des soirées folles avec plumes et paillettes. J'ai salivé dans les cuisines des restaurants. J'ai rêvé du gâteau basque que j'avais découvert à @bidarray un été. J'ai angoissé avec Gwen et prié pour Nine. J'ai espéré que la bonne étoile de Liz brille fort à nouveau à la fin du roman.
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J'ai lu Les demoiselles il y a un certain temps et j'en garde un très bon souvenir mais assez vague. J'avais un peu peur d'être perdue dans Ce que les étoiles doivent à la nuit, mais au final cela s'est bien passé et n'a pas entravé ma compréhension, même si effectivement j'aurais aimé un petit rappel de l'histoire des personnages en début de livre.
Une fois de plus, l'auteure m'a emportée avec son écriture que j'apprécie toujours autant. J'ai néanmoins trouvé ce roman un peu moins original, ce qui ne m'a pas empêchée de passer un très bon moment !
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J'ai juste envie de dire un livre délicieux, délicieux parce qu'on y parle grande cuisine, plaisir de mélanger les odeurs et les saveurs, délicieux aussi parce que, finalement, les "méchants sont punis", renvoyés à leurs fourneaux, et les gentils "triomphent" des pièges et chausse-trappes divers et variés, et les étoiles y brillent aussi bien sur la carte que dans les cieux. Lecture détente s'il en est, ça fait du bien ...
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J'ai beaucoup aimé ce roman, plein de délicatesse et de poésie.

J'apprécie énormément les romans qui parlent de gastronomie, son univers merveilleux mais aussi impitoyable. J'ai eu l'eau à la bouche plus d'une fois et sentais le parfum des plats.

J'ai voyagé dans le Pays basque des années 50 et d'aujourd'hui.

J'ai beaucoup aimé les personnages du roman qui sont tous aussi attachants les uns que les autres. La plume de l'auteure est agréable.

Un bon moment de lecture en cette période estivale. 🤩
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