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Sapignotte de jarnicoton!

En voilà une vraie bande dessinée originale, gentiment fantaisiste, politiquement farfelue, artistiquement échevelée, d'un humanisme décalé!

Lorsqu'un trophée de chasse fait exploser les enchères d'une salle des ventes provinciale, ce n'est pas une anguille qui se cache sous le marteau du maître-priseur.
C'est l'animal légendaire du Cambodge qui s'incarne, ce sont les souvenirs d'un vieillard nourri longtemps d'insectes et gobant encore quelques mouches qui émerge.
C'est un Pol-Pot enfant peu sympathique qui défie un Kouprey (non, je ne vous dirai pas de quoi il s'agit) , un Pol-Pot adulte dictateur qui apparait, un Pol-Pot mort mais pas mort mais mort, un collectionneur ébourrifé qui assemble les pièces du puzzle de l'histoire et de l'Histoire…

Le massacre revêt un double sens, à la fois objet et acte, intimement liés l'un à l'autre. Indissociables. Une anecdote personnelle peut modifier le cours de l'histoire. Même en l'absence de toute préméditation. Ou en raison de cette absence même. Qui pourrait savoir?
D'autant que cette spontanéité revêt de multiples sens. A chacun de prendre celui qui lui apparaît. Acte héroïque en faveur de la vie d'un enfant? Acte inaugural d'un massacre animal? Acte créateur d'un futur massacre humain?

Le massacre raconte aussi dans ses cases joliment dessinées, pleines de détails qui font du bien à l'oeil, avec leurs jolies couleurs où les gris-bleu-vert dominent, raconte donc comment en ce XX° siècle il était vain de chercher à fuir les folies meurtrières.
En tournant le dos aux atrocités de 39-45, Magloire (pas la mienne. C'est le prénom d'un des personnages) allait affronter le génocide cambodgien.

Le massacre, avec ses loufoqueries, ses personnages échevelés, son histoire réinventée, est hommage aux espaces animales qui s'éteignent par pure bêtise humaine. C'est aussi la disparition des mythes, les temps qui changent.

Bref, cette bande dessinée aux allures carnavalesques frôle le déraisonnable pour mieux effeuiller avec délicatesse trois époques et peut-être davantage.
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Limul Goma, lors d'une petite vente aux enchères de province, achète, contre toutes attentes et pour un prix faramineux, un massacre de buffle (trophée de chasse constitué des cornes de l'animal). Pour ce mystérieux collectionneur d'objets morbides et de petites histoires personnelles, éclairant d'un jour nouveau la Grande, celle de l'Humanité, ce « massacre » est une pièce rare qui trouvera une place de choix dans son « musée insolite ». Tour à tour, les récits, les documents, qu'il collecte auprès des différents protagonistes ayant eu entre leurs mains le trophée, nous permettent de comprendre sa satisfaction à posséder ce nouvel objet. En effet, « ce massacre CONTIENT, synthétise, par son histoire, le destin d'un pays emblématique des grandes tragédies du vingtième siècle ! ».

A l'instar de Hautes-Oeuvres, Simon Hureau construit une nouvelle fois un récit où sont entrecroisées la petite histoire de la pièce de collection (et surtout de ses différents propriétaires) et la Grande Histoire de l'Humanité. L'auteur nous invite à suivre son enquête qui débute dans une salle de ventes aux enchères de Tours et se termine dans la jungle cambodgienne. On y croisera un ancien commissaire-priseur, le jeune Simon qui ne manque pas de ressemblance avec l'auteur, son amie Louise qui vient d'hériter de bien plus que quelques vieilleries de son grand père, un ancien boy devenu officier, et plusieurs personnages célèbres… On suivra surtout Magloire Desgravières, ancien soldat français de 14-18 qui crut pouvoir fuir la barbarie humaine en partant loin. Mais le récit autobiographique qu'il fait à Limul Goma, prouve que même au coeur de la jungle, les petites anecdotes personnelles font l'Histoire.

Tous ces récits, de la brève à la biographie s'étalant sur des décennies, constituent les pièces d'un puzzle. le choix de leur agencement les unes avec les autres, l'utilisation du personnage de Limul Goma comme « fil rouge » et un sens du suspens certain, permettent à l'auteur de nous tenir en haleine… et de ne pas nous perdre en route !

... La suite à cette adresse :
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Ouvrez cet ouvrage et partez pour un voyage dans le temps …
La guerre de 14 était finie et dans les années 30, l'aventure s'appelait les colonies …
C'était le temps où existait ce qu'on appelait l'Indochine française, voisine des royaumes de Siam, du Cambodge, du Laos, des protectorats français du Tonkin et d'Annam (1) et de la colonie de Cochinchine (2).
C'était le temps où régnait au Cambodge le roi Monivong (3), dont nous croiserons dans cette histoire que la progéniture, et un curieux animal mythique le Kouprey(4).
On redécouvre de façon ludique l'histoire d'un pays, le Cambodge dont les habitants furent maltraités pendant si longtemps.
Un scénario intelligent où se mêle la folie du monde des grands collectionneurs.
Le croquis toujours très alerte, dynamique et très travaillé est plaisant et instructif.
La mise en couleur est très réussie et donne vie aux paysages foisonnants.
Une bonne pioche pour cette BD originale.

(1)
L'Annam est à l'origine le nom du protectorat chinois établi par la dynastie Tang sur une partie du territoire formant aujourd'hui le Vietnam de 618 à 939. Annam est la forme vietnamienne du nom chinois Annan, qui signifie Sud pacifié, ce qui est un diminutif du nom officiel du protectorat, qui est « Protectorat Général pour Pacifier le Sud ». C'est l'un des six grands protectorats de ce type créés par les Tang pour gérer les territoires qui étaient sous leur domination sans pour autant être intégré directement à la Chine.

(2)
Cochinchine est une région historique au sud de l'actuel Vietnam.
Le nom de Cochinchine dérive de l'usage par les Portugais de la ville de Cochin pour désigner l'Inde (d'où, plus tard, la dénomination Indochine). La dénomination se rattache ensuite à toute la partie méridionale de l'actuel Viêt Nam. En 1862, la partie méridionale de la Cochinchine est colonisée par les Français : dès lors, le nom de Cochinchine désigne exclusivement la Cochinchine française (jusque-là appelée Basse-Cochinchine), qui devient ensuite l'une des composantes de l'Indochine française.

(3)
Preah Bat Sisowath Monivong (1875-1941) est roi du Cambodge de 1927 à sa mort.
C'est sous son règne que le Cambodge s'ouvrit aux influences communistes extérieures.

(4)
Le Kouprey est un bovidé sauvage apparenté au banteng et au gaur, nommé en l'honneur de René Sauvel, un vétérinaire français opérant au Cambodge. Aucun animal vivant n'a été vu depuis 1988, et l'espèce est peut-être éteinte.
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Surprenant, ce nouvel album de Simon Hureau l'est, tant par le sujet que par le dessin, assez exubérant, limite rococo, se perdant un peu dans les détails, à l'instar du monde moderne.

Rien que l'effet de surprise mérite l'éloge, car parmi la pléthore d'albums parus ou à paraître, beaucoup de titres sont en double, voire triple, si ce n'est quintuple ; ils se répètent, extrêmement prévisibles, au détriment du lecteur, du libraire et, en définitive, c'est ce qui fera que les gros éditeurs se casseront la gueule bientôt.

Bien sûr le ministère du Culte ne pourra rien contre ça; quand il y a du changement dans l'air, le ministère du Culte en est toujours le dernier averti. Il est probable que, si les dirigeants de la Ligue de football devaient s'occuper de bande-dessinée, ils le feraient mieux que les PDG qui s'en chargent actuellement, qui ont dû passer par l'ENA ou Sciences-po. Prenez Bastien Vivès, par exemple, un jeune type qui a un peu plus de personnalité que la moyenne : qu'est-ce que les éditeurs en font ? Ils le paient grassement à faire des mangas, le genre le plus ringard qui existe, pour des gosses qui ne font que rêver de gros nibards, dans un pays où les gonzesses n'ont pas de poitrine. C'est dément !

Le scénario de Simon Hureau combine effet papillon et massacre de couprey (désolé de vous remettre dans la tête la chanson de Bénabar, si elle en était sortie), déclencheur d'un des plus importants génocides des guerres coloniales, au Cambodge, patrie de Pol Pot.

Si vous n'avez rien compris à ma dernière phrase, rien de plus normal, c'était fait exprès. Seuls les Cambodgiens savent ce qu'est un «couprey». le «massacre» est un trophée de chasse. L'énigme est voulue, tout le sel de cette intrigue.

La théorie de «l'effet papillon», émises par certains météorologues, c'est-à-dire des répercussions éventuellement cataclysmiques d'un événement aussi insignifiant que le battement d'ailes d'un papillon : cette théorie est-elle applicable à l'espèce humaine et aux massacres réguliers entre ethnies, idéologies ou cultures antagonistes ? Une chasse au couprey peut-elle être l'étincelle qui met le feu à la mèche du tonneau de poudre d'une révolte sanglante ? Les masses humaines seraient ainsi soumises comme la mer à une alchimie, ou une phénoménologie, sur laquelle l'homme serait sans prise ?

Le personnage principal de « Massacre », ancien combattant de 14-18, comme Hélène de Sparte, porte donc à lui tout seul sur ses épaules le poids de la guerre. Il est envahi d'une culpabilité extraordinaire. Pratiquement cette culpabilité, à elle seule, suffit à infirmer la thèse du déterminisme biologique absolu et du choc des cultures, animant des hommes seulement doués de la volonté de puissance.

On aimerait que les philosophes modernes se penchent plus souvent sur de tels sujets, et laissent les questions de grammaire pure ou la psychologie de couple aux mangakas (esclaves qui fabriquent des mangas à la chaîne au Japon).

Il manque seulement à cet album d'être un peu plus simple, tant sur le plan du dessin que du scénario, afin de mieux faire ressortir la dimension tragique des mouvements de masse modernes, où la liberté individuelle n'a peut-être jamais parue aussi hypothétique. Aux yeux d'Homère, la guerre et le choc des guerriers sont certainement les effets du destin ; non seulement ils font partie du mouvement social, qu'on ne peut arrêter à la paix, mais les hommes à la guerre tombent le masque habituel . Cependant la société est loin pour Homère d'être tout. D'où « l'Odyssée ».
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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Il y a quelques auteurs comme ça qui ont une langue et un ton bien à eux. Hureau fait partie du groupe, il sait raconter une histoire, parfois dans des circonvolutions compliquées (c'est ici le cas) mais toujours avec cette légèreté caractéristique.
Au passage si certaines planches me plaisent énormément, d'autres manquent selon moi d'application et donnent un faux côté vite lâché, ce qui n'est évidemment pas le cas. Pour dire vite, Hureau pourrait selon moi être un Tardi jeune.
Et ouais, ça me plairait assez.
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Cet album nous fait découvrir le musée insolite d'un collectionneur hors pair nommé Limul Goma. Il a toujours le chic pour découvrir des perles rares, des trésors dont personne ne soupçonnait la vraie valeur. Et ces choses, il les trouve essentiellement dans les petites ventes aux enchères de province.
Et le récit nous emmène donc dans une vente, apparemment banale, lorsque soudain, pour un trophée dont le nom est incertain, qui semble abimé, les prix s'envolent, jusqu'à attendre un achat pour 1.700.000 euros (chiffre symbolique dans les pages suivantes…) !!
Au fil de l'histoire nous découvrons le passé de ce « massacre », racontée par celui qui a tué la bête nommée kouprey en Indochine, dans les années 1930, et qui serait à l'origine d'un autre massacre, celui des khmers rouges.
Le point de vue est celui de Limul Goma, qui interpelle le lecteur en lui parlant directement.
L'histoire de ce trophée se présente comme la description d'une des innombrables pièces de sa collection, dont chacune pourrait faire l'objet d'un livre à part entière (j'attends de voir si ça va être le cas !).
Un album très drôle, sortant des sentiers battus par son vocabulaire un peu désuet comme « Sapignotte de jarnicoton !! » ou « Bon sang de nom de dieu de tourte ! ». Un retour en Asie avec la découverte d'une partie historique du Cambodge des années 1970.
Un vrai régal qui donne envie d'écouter d'autres récits des trésors de la collection de Monsieur Goma !
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Limul Goma est un collectionneur hors pair, féru de la petite histoire, celle qui se confronte à la grande et qui donne du sens à la vie et du corps aux objets. Chacune des pièces de sa collection personnelle, d'une incroyable richesse, a une histoire qui lui est propre (et dont on pourrait faire d'autres livres) et qui vaut la peine d'être racontée... C'est le cas de ce massacre de Kouprey qu'il vient d'acquérir aux enchères pour l'extraordinaire somme de 1.700.000 euros (un chiffre pas si anodin que ça). Un beau pactole pour un simple trophée de chasse... mais quel secret impalpable peut bien se terrer derrière son mètre dix d'envergure ?


Limul Goma, certains d'entre vous le connaissent peut-être pour son Musée de l'insolite, premier du nom. Car en effet, le massacre est bel et bien un tome 2. Que ceux qui n'ont pas lu Hautes Oeuvres – Petit traité d'humanisme à la française (le titre du tome précédent donc) se rassurent, chaque affaire est indépendante et totalement compréhensible. Ouf !

Dans cet album, Limul Goma nous emmène sur la trace de l'un des derniers Kouprey encore vivants... une sorte de boeuf sauvage entre le Gaur et le Banteng (si vous trouvez que je vous en bouche un coin, Wikipedia est votre ami) que l'on rencontrait au Cambodge. Une espère malheureusement éteinte de nos jours (ce n'est encore pas officiel, mais cet animal n'a plus été vu depuis 1983) mais qui à l'époque des faits, dans les années 30, comptait encore quelques spécimens vivants. Malheur à eux car les colons n'ont aucune pitié, prêts à épingler une nouvelle créature à leur tableau de chasse pour le simple plaisir de briller en société.

[...]

OUI, cette bande dessinée parle d'une époque peu glorieuse du passé des hommes : la colonisation. Mais elle en parle avec une certaine fascination et non avec un dédain certain. Car il n'est finalement pas tant question de « sous hommes » que de connerie humaine, tout simplement. Mais là encore, l'animal n'est qu'un prétexte à l'histoire, plus vaste encore, et surtout en lien avec la grande Histoire, celle du non moins célèbre dictateur Pol Pot... dont on évalue le nombre de ses victimes à l'assourdissant total d'1.700.000 (tiens tiens...) !

[...]


Venez lire la chronique en intégralité sur BenDis... !
Lien : http://bendis.uldosphere.org..
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Une histoire à tiroirs, où les narrateurs se succèdent pour évoquer le destin d'un trophée de chasse (le « massacre » du titre) au travers des différents protagonistes qui l'ont croisé. de la France de nos jours au Cambodge du début du siècle dernier, Hureau nous promène au gré des tribulations de personnages hauts en couleurs, faisant se croiser avec talent sa petite histoire et la Grande. La comédie et le drame parcourent main dans la main le scénario de ce Massacre. le trait du dessinateur est plus approprié à ce genre qu'à celui de Crève Saucisse (qui nous fait une petite apparition en début d'album) et il sait faire vivre ses paysages de nature de fort belle façon. Une réussite.
http://bobd.over-blog.com/
Lien : http://bobd.over-blog.com/
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L'histoire débute par une vente aux enchères un peu particulière puisqu'on y vend un massacre. Un trophée de chasse d'un kouprey, animal mythique cambodgien dont la race est aujourd'hui éteinte. Mais qu'à t'il de spécial pour enflammer les ventes?
Simon assiste à une vente aux enchères où il a mis en vente les affaires du grand-père de son amie Louise. Les enchères augmentent de façon impressionnante et sont remportées par un étrange homme, Limul Goma. Ce dernier va d'ailleurs rentrer en contact avec Simon pour connaître l'histoire de ce trophée assez particulier. Il cherche à connaître un morceau d'histoire qui donne toute sa valeur à l'objet. Cette rencontre va l'amener à une autre, celle de l'ancien possesseur de ce fameux trophée. Dans sa jeunesse, il a tué ce fameux kouprey, animal mythique qui fonçait sur un jeune garçon. Mais le jeune garçon ne lui a jamais été reconnaissant de cela. Une culpabilité va le toucher surtout lorsqu'il va comprendre qu'il a sauvé le dictateur Pol-Poth.
Ce collectionneur va rencontrer différentes personnes qui vont donner une vraie valeur à ces objets qu'il collectionne. L'histoire du Cambodge et des khmers rouges se profilent en fond d'histoire, jusqu'à la soi-disant vraie mort de Pol-Poth en séjour en France, le jour de cette fameuse mis en vente de cette tête qui lui tenait vraiment à coeur. Cet homme est vraiment particulier, un amoureux des objets et des gens. Un tome 2 qui laisse attendre d'autres enquêtes de ce personnage assez étrange et énigmatique.

Une histoire étrange avec un graphisme assez particulier, qui se rapproche d'une certaine manière de Fred. L'histoire aborde un sujet assez rarement abordé avec les khmers rouges au Cambodge et ces milliers de morts. La folie de l'homme est le fil conducteur que cela soit la destruction d'une espèce animal, d'une ethnie, d'un pays... Les objets sont là pour nous rappelez des histoires qu'on oublie ou que l'on n'attache pas à ces objets qui peuvent nous entourer. Un bon moment de lecture, malgré que j'en ressors assez triste.
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Avec le Massacre, Simon Hureau signe une drôle de bête.
Pour moi, c'est mon premier tome ce qui semble être la série du Musée insolité de Limul Goma. Je ne connaissais pas du tout.
Vous serez ici plongés au coeur du Vietnam du XXe siècle, au tournant de la décolonisation, vous allez croiser Pol-Pot et une bête légendaire : le Kouprey !
Un peu bavarde, cet album met en place un récit très complexe et très bien mené. On peut regretter les larges phylactères d'explication mais il n'en reste pas moins qu'ils dévoilent un récit puissant, ancrer dans l'Histoire de l'Asie du Sud-Est.
Le trait assez simple, se fait oublier pour laisser place à une histoire chargé. La colorisation met bien en balance les périodes de flash-backs et l'actualité.
En bref, une belle lecture !
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