Tous les classiques ne se valent pas. Et pourtant, il avait tout pour me plaire, ce grand texte du 20 eme siècle.
Dans le centre d'incubation et de conditionnement de Londres-Central, toute une société est fabriquée. Les êtres humains sont crées en laboratoire, seuls quelques sauvages subsistent. Les Epsilons, la caste inférieure, sont produits en série, alors que les Alphas, les blonds de
Florence Foresti, sont finalisés au pinceau ! La crème de la crème ! Toute cette société consomme du soma, qu
i les fait planer. Lorsqu'un sauvage est propulsé dans ce monde merveilleux, c'est le choc, jusqu'au drame final. Il ne pouvait pas en être autrement.
Je me suis ennuyée. J'ai aimé les 3 premiers chapitres, même si la scène de conditionnement des bébés est insoutenable. L'auteur plante le decor, et malgré le soma, c'est pas Disneyland.
J'ai aimé toutes les références à
Shakespeare, tellement inattendues ! le titre lui-même en est une.
Et pour le reste, mon esprit a batifolé, pensé a mille choses. Impossible de m'intéresser à cette histoire de sauvage au milieux de ces robots shootés. Pardon Aldous. Heureusement, il y a avait les copains du #cafeduclassique !