Le dindon sauvage est une espèce disparue depuis au moins trente ans du comté de Moose. Et pourtant, Qwill, Koko et Yom Yom en ont vu apparaitre devant eux, devant le belvédère de la propriété de Qwill.Rêve? Mauvaise digestion?
En parallèle, Qwil s'investit dans les commémorations historiques de Pickax et de Brrr.
Mais il tombe encore une fois sur une affaire louche. Une histoire de famille, d'héritage, et quelques morts en plus à la clé...
L'auteure prévoit-elle la fin de la série?
Avec un peu de recul, oui, on peut le dire. Car il ne reste après ce titre que trois romans dans cette série féline. Ainsi que deux suppléments exploitant les productions de Qwill.
C'est probablement pourquoi elle remercie, avant le prologue, ses proches, son mari, et ses chats qui l'ont inspirée pendant cinquante ans.
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James Qwilleran est un journaliste qui après avoir hérité d'une immense fortune s'est installé dans un petit village, loin de la grande ville, où il vit désormais une vie tranquille, écrivant une chronique hebdomadaire pour le journal local et partageant son temps entre une immense grange et un chalet au gré des saisons dans lesquels il vit avec deux chats siamois, Koko un mâle et Yom Yom une femelle. A chaque aventure (une petite trentaine de romans en tout) Qwill et ses chats se retrouvent confrontés à un mystère, souvent un meurtre qui se trouve finalement élucidé grâce aux talents d'enquêteur du journaliste et aux capacités particulières de Koko.
Les intrigues sont souvent, à quelques exceptions près, assez peu développées et sont surtout prétexte à faire vivre et évoluer les protagonistes et la petite ville de Pickax qui se transforme au fil des romans. Pour les amateurs de chats, ce sont des romans sympathiques à lire car le comportement félin est très bien décrit et de manière subtile et humoristique. Vite lus, ce sont des romans qui offrent un moment agréable de détente (à lire de préférence dans l'ordre pour suivre l'évolution des personnages)
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Qwill est invité à se produire sur scène pour le 200ème anniversaire de la ville de Brrr : il compte raconter la "Grande Tempête de 1913", après le succès obtenu par sa mise en scène du "Grand Incendie". Son amie Polly est très occupée par l'ouverture prochaine de la nouvelle librairie dont elle sera responsable. Et, bien entendu, il y a aussi quelques meurtres et manigances : sinon, on s'ennuierait ferme au Pays-d'en'Haut !
Il est (comme souvent) question d'une riche et vieille dame dont un parent cherche à soutirer le maximum d'argent, et même si cette ficelle est récurrente, ce n'est pas grave : j'aime cette saga et déplore arriver au bout.
J'ai lu ce roman d'une traite, l'écriture est dynamique.Ce n'est pas le tome qui me laissera le plus de souvenirs, mais je l'ai trouvé sa lecture très agréable.
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On était jeudi. Le moment était venu d'écrire ses mille mots pour "La Plume de Qwill" et la tête de Qwilleran était vide d'idée. Ce qui signifiait qu'il fallait recourir au système Koko. Il cria "Livre !" et le chat arriva en courant, bondit sur une étagère, renifla les reliures et choisit un titre qu'il fit tomber de l'étagère. Cela devint le thème de la chronique.
Comme Kool Coco l'aurait dit : Quand l'homme n'est pas là, les chats s'amusent.