Citations sur Petit traité de l'abandon : Pensées pour accueillir la vi.. (244)
La vie est purement gratuite. Il faut simplement se demander comment je peux donner le maximum de tout ce que je suis aujourd'hui.
Quand on commence à considérer la vie comme un dû on se prépare à beaucoup de souffrances.
La détermination c'est la persévérance. Je continue coûte que coûte à avancer. Je progresse tel que je suis. Ce qui compte c'est faire un pas, juste celui-ci, demain on verra.
Rencontrer l'autre, c'est mettre à bas nos préjugés.
On ne se prépare pas à la rencontre, il n'y a pas de protocole. (p.99)
L’humilité, c’est être juste à sa place.
Le « ce n’est pas compliqué » m’aide à m’abandonner à la vie en trouvant une solution..., je n’en ai plus marre d’en avoir marre.
Tant que nous n’avons pas rejoint ce que nous sommes véritablement, la détente n’est qu’une apparence.
Le dépouillement démarre par des petits gestes quotidiens et qui nous conduisent peut-être vers le gros dépouillement : se dépouiller du gros moi, bien installé, que je crois être, mais qui m’étouffe, qui m’empêche d’être libre et joyeux, d’avancer nu.
Peut-être que la grande patience commence là, en étant patient face à son impatience.
Je continue coûte que coûte à avancer, je progresse tel que je suis. Ce qui compte, c'est faire ce pas, juste celui-ci. Demain, on verra. Hier, c'est du passé.