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sur 566 notes
Quatre amis (on se demande bien ce qui les réunit, ces quatre là, tant les ressentiments et les tensions entre eux sont forts...) partent en week-end dans l'endroit le plus sauvage d'Islande. Au programme : nuit en refuge, crapahutage dans la neige et partie de chasse pour dégommer d'innocentes perdrix… Pris dans la tempête, ils se réfugient dans un relais de chasse où commence un huis-clos prétendument angoissant. Survivront-ils tous à cette nuit ? s'interroge la quatrième de couverture, jamais avare de punchlines survitaminées pour attirer le lecteur. Accablé par l'ennui, je me suis en fait rapidement totalement désintéressé du sort de ces quatre quidams. L'intrigue (si on peut appeler intrigue cette succession de révélations tirées par les cheveux) est truffée d'invraisemblances et les personnages sont caricaturaux. Et je ne parle même pas du cinquième, celui qui les attend sur place, mutique et armé, et qui perfore à lui tout seul le plafond du ridicule. Cela m'a parfois fait penser à ces films de série Z pour ados où les héros, prisonniers dans un lieu clos où rôde un serial killer, décident de se séparer pour partir à sa recherche. Quant au style de narration choisi, un enchaînement de chapitres ultra-courts (2 à 3 pages maximum) adoptant alternativement le point de vue de chacun des personnages et donnant ainsi son titre au chapitre (Daniel, Gunnlaugur, Helena, Armann, Daniel, Gunnlaugur, Helena, Armann… en boucle jusqu'à épuisement du lecteur), ce n'est rien de dire qu'il ne m'a pas convaincu. Cela hache inutilement le récit et entraîne des répétitions d'actions qui n'ont, au final, que peu d'intérêt. Ou comment avancer en faisant du surplace. Sans parler de la cinquantaine de pages blanches que cela entraîne... Bonjour le gaspillage !
Reste, pour se tenir éveillé, le caractère sauvage de l'Islande reculée, bien que n'importe quel endroit isolé du monde avec neige et blizzard aurait pu faire l'affaire.
Après « La dame de Reikjavik » et « Sott », que j'avais très appréciés, le décalage est rude. J'en suis même à me demander si c'est bien le même auteur qui a commis ce « À qui la faute » non pas glaçant mais totalement insipide...
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Ragnar Jonasson est, parait il, un auteur de polar islandais fort connu et apprécié. Soit.

Il n'empêche que mon premier contact avec son oeuvre sera certainement la dernière car A qui la faute (sans point d'interrogation ?!) est certainement le plus mauvais mauvais roman qu'il m'ait été donné (enfin... donné est un grand mot, car j'ai perdu 8.50 € dans l'histoire !) de lire depuis un sacré paquet d'années.

Histoire ridicule et invraisemblable, tout en étant parfaitement inintéressante (pas facile, je vous assure, de rassembler ces trois adjectifs sur le même texte), A qui la faute parvient, en ouvre, à abolir toute notion d'écriture romanesque.

L'auteur a, en effet, décidé d'éclater son récit en une infinité de minuscules monologues (deux ou trois pages, maximum) ou récitatifs se rapportant à chacun des quatre personnages (pas un de plus) qui exposent, tour à tour, leur vision de l'histoire.

Pas de chance pour le lecteur, les quatre "héros" s'expriment exactement de la même façon et leurs récits sont si mal écrits que, pas une seconde, le lecteur ne perçoit la moindre tension dans ce qui est pourtant présenté comme un "thriller glacé". A éviter, absolument !
Lien : https://www.letournepage.com..
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À qui la faute de Ragnar Jonasson raconte un week-end entre amis qui vire au cauchemar à cause d'une tempête. Un mystère effrayant se cache à l'intérieur du refuge ; de rebondissement en rebondissement, une vérité glaçante émerge lentement.

Armann, voyagiste à succès, a organisé un week-end dans la montagne pour ses amis d'enfance, Daniel, Gunnlaugur et Helena. le samedi et le dimanche matin, ils arpenteront la lande et chasseront la perdrix des neiges. L'après-midi, ils rentreront à Reykjavik. Mais rien ne se déroule comme prévu, le samedi matin, alors qu'ils n'ont pris des provisions que pour la journée, une tempête s'abat sur eux. Armann parvient à les conduire à un refuge et là…

Je croyais avoir deviné ce qu'ils avaient trouvé (ah les 4e de couverture, parfois), mais en fait non, c'est bien plus surprenant, angoissant aussi, que ce que j'avais envisagé. À partir de là, la tension monte, d'autant plus dense, que la situation est mystérieuse. Mais que se passe-t-il donc dans ce refuge ? Je n'ai commencé à comprendre qu'à la fin.

Lien : https://dequoilire.com/a-qui..
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L'histoire mets du temps a démarrer mais l'histoire du point de vue de chaque personnage est originale. nous sommes vite attiré pour connaître le dénouement de ce week end entre amis dans le paysage froid et dur de l'Islande . Bonne lecture à tous .
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Tout le monde le sait, les polars scandinaves ne sont pas ce qu'on fait de plus palpitant. Et c'est aussi le cas des romans de Ragnar Jónasson, mais cet auteur a d'autres points forts, mais on ne les retrouve pas dans ce roman. C'était long (alors que le livre fait 300 pages), il ne se passe rien, l'intrigue n'a aucun sens et la conclusion est catastrophique. Première déception, j'espère que se sera la dernière !
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Plongez dans une expérience immersive au coeur de l'Islande, où quatre amis s'embarquent pour un week-end qui prendra rapidement une tournure inattendue. Au fur et à mesure que le quatuor se retrouve confronté à leur passé le plus sombre, isolé dans un environnement désertique et dépourvu de réseau, l'histoire se dévoile comme un voyage introspectif plutôt qu'une course à l'action. Comment réagiriez-vous si votre passé refaisait surface et vous obligeait à affronter vos démons ? Pouvez-vous vraiment faire confiance à vos amis lorsque les souvenirs douloureux émergent et que les tensions s'exacerbent ? Dans ce roman, les conflits montent en intensité jusqu'à ce que le drame éclate, offrant une plongée fascinante dans les méandres de l'esprit humain.
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Un livre qui se lit facilement, les chapitres sont assez court ce qui permet de rythmer malgré les longueurs qui se présente dans les événements. On a envie de savoir ce qui se passe.
Mais malgré ça je ne suis pas séduite. Je ne m'attache pas du tout aux personnages. Je n'ai aucune compassion à leur égards. L'histoire est un peu tiré par les cheveux. Il y a beaucoup de répétition ce qui fait monter le malaise quand même mais on relis les mêmes phrases plusieurs fois. Je termine le livre sur un « ah d'accord c'était ça » et on passe à autre chose.
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2e livre que je lis de cet auteur et j apprécié. On a hâte de connaître l issu et la raison de la situation.
Quatre amis, le froid le blizzard l isolement, tout pour mettre une ambiance glaciale. Ils vont se découvrir ou se redecouvrir le temps d un week end. Très bonne lecture.
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J'ai lu les premiers romans de Ragnar JONASSON qui mettaient en scène le policier Ari THOR et je n'avais pas été enthousiasmé par ces lectures, le personnage du policier me paraissant bien fade et un peu niais, et le style de l'auteur trop simpliste, bien loin des maîtres du polar scandinave que sont INDRIDASON, MANKELL ou NESBO, pour ne citer qu'eux.
Le "pitch" de ce thriller m'ayant accroché, je l'ai emprunté et lu en trois petites heures, tellement le style est dépouillé. Les personnages ne sont pas du tout attachants, l'histoire très peu crédible et le dénouement bâclé.
Pourtant la lecture ne fut ni ennuyeuse, ni désagréable, mais je pense que je l'aurai vite oubliée.
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Dans le domaine des " huis-clos étouffants " n'est pas Stephen King ou David Vann qui veut.
Cette histoire est aussi peu crédible qu'ennuyeuse.
L'idée n'était pas mauvaise quoique peu originale : 4 amis lors d'un week-end de chasse en Islande se perdent dans une terrible tempête de neige et se réfugient dans une cabane.
C'est le point de départ d'un récit à quatre voix dans lequel rien n'est vraisemblable.
Je me suis accroché en espérant une accélération de l'intrigue, un twist final réussi mais...pchiittt... ce fut un pétard mouillé.
Inutile, à mon avis, de l'allumer, il y a tellement d'auteurs de talent qui font frissonner avec encore moins de moyens..
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