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3,79

sur 1186 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Chien-Loup.
Animal ami de l'homme ou prédateur ?
« Cette ambiguïté fondatrice [...]. Dans la vie il ne s'agit pas d'être le bon ou le méchant, tout comme dans les affaires il ne s'agit pas de prêter le flanc ou de mordre, il convient plutôt de toujours maîtriser les deux registres, en fonction des circonstances. Tout animal est fondé sur cette ambivalence. »
Et tout homme, par définition...

Voilà qui résume parfaitement l'esprit de cet ouvrage qui invite à réfléchir sur l'homme, l'animal, leurs rapports - domination/soumission, complicité...
Sujets qui font écho à des préoccupations écologiques qui déchaînent les passions depuis quelque temps : chasse, condition animale, végétarisme et veganisme, respect de la nature en général.
Mais aussi aux guerres de territoire, aux frontières farouchement gardées, à la peur de l'autre, de l'étranger (bouc émissaire vite trouvé).

Serge Joncour nous raconte ici deux histoires, distantes d'un siècle mais évidemment liées, notamment par un lieu : les Orcières.
Monde sauvage, isolé, troublant, aussi préservé et apaisant que terrifiant. Où la cruauté peut s'exprimer librement et impunément, à l'abri des regards, tandis qu'ailleurs des hommes doivent s'entre-tuer pour la patrie, ou se bouffent pour de l'argent, du pouvoir...
Ce conte pour adultes, captivant et angoissant, nous renvoie également à nos peurs primitives de la forêt, du loup et autres bêtes sauvages, de l'ogre, de la solitude, des rivalités meurtrières entre pairs...

Il y a les livres que je dévore.
Celui-là fait partie de ceux que j'aurai savouré, comme la plupart des textes de Serge Joncour, d'ailleurs, dont la sensibilité, la pertinence et les talents de conteur me charment depuis longtemps.
____

Deux extraits parmi des dizaines cochés :

• « L'homme c'est cette créature de Dieu qui corrompt et dilapide, qui se fait un devoir de tout salir et d'abîmer. Sans qu'il soit question de malveillance ou de jalousie, de frustration ou de colère, par sa seule présence un homme peut tout détruire. »

• « Et même si vivre à l'écart, vivre pleinement à l'abri des autres ne se peut pas, parce qu'il n'y a plus la moindre zone sacrée, plus la moindre zone blanche sur les cartes, pas le moindre territoire où la vie sorte toujours victorieuse, il existe au moins des zones d'accalmie coincées entre deux combats, des zones à l'écart. »
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Merci à Jeanfrançoislemoine dont la critique m'a donné envie de lire ce livre ! Je me souviens l'avoir vu sur la table "rentrée littéraire" de ma bibliothèque préférée. Je l'avais manipulé, mais le 4e couverture ne m'avait pas tentée. Petit tour sur mon site préféré (Babelio !) et là je lis cette critique élogieuse. J'en profite pour regarder les autres commentaires.... Et je me dis que je n'aurais pas du me limiter au 4e de couverture.

Bilan j'ai emprunté ce roman. J'ai bien fait !
J'ai aimé son atmosphère. Ca faisait longtemps que l'ambiance d'un livre ne m'avait pas autant collé à la peau !
Un exemple : je profite d'en rendez-vous chez mon médecin pour avancer la lecture de ce texte. J'ai mis un temps pour me rappeler où j'étais et ce que je faisais là quand mon médecin m'a appelée ! Impossible de quitter les Causses....

Un beau roman, une lecture que j'ai appréciée et que j'ai failli rater....
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Chien-Loup est un roman à feuilles très dense et en même temps lumineux, les branches nous claquent à la figure car la tension monte jusqu'aux trois-quarts du roman et au final, sans qu'il y ait véritablement de fin, nous nous retrouvons dans une prairie illimitée à ne plus savoir trop quoi faire de la liberté des personnages, mais l'important c'est qu'eux vont le découvrir. L'écriture est une merveille de sensualité, celle d'un été sauvage se tenant toujours à la limite des cassures et où les fauves se mélangent et se confondent. Il y a une question dans ce conte moderne où l'on mange pour de vrai et où l'on vit pour de faux : Qui de l'homme et de l'animal est le plus cruel ? Nous connaissons la réponse … Je pense que les lecteurs et lectrices resteront longtemps dans cette maison de mémoire. Car c'est des lieux, des objets, des pierres de la terre et des arbres qui retiennent la mémoire dont il est question. Les lieux ont vu et se taisent longtemps pour un jour murmurer la vérité. Dans ce silence alléchant et féroce tout se dit, il suffit d'entendre, réapprendre à écouter.



Les personnages sont attachants, avec pour ma part une préférence pour Joséphine, je l'aurais voulue moins belle au fond et en apparence dans la description, parce que de nature, à l'intérieur et de parce qu'elle dégage de fort, elle l'était naturellement. Il y a des moments intenses surtout dans la description des animaux, leur langage, leurs caractères … avec cette vérité que si nous les observons avec bienveillance et sagesse, ils nous apprennent beaucoup sur nous-mêmes. le livre se lit doucement, je pense que dès le départ j'ai su que j'aurais du mal à le quitter. Bonne lecture à tous.
Lien : https://www.catherineecolebo..
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Retrouver Serge Joncour, grâce à Pauline que je remercie, c'est toujours un grand plaisir car cet écrivain emmène son lecteur dans des lieux qu'il connaît ; il conte une histoire captivante de bout en bout tout en cernant bien la psychologie de ses personnages : voir L'amour sans le faire, L'écrivain national et, Repose-toi sur moi, les trois romans que j'ai lus avant Chien-Loup.

Ici, il mène en parallèle deux époques séparées par un bon siècle : 1914 et 2017. C'est habilement construit, bien articulé et toujours très instructif comme cette constatation à la veille de la Première guerre mondiale : « Même là, au plus profond de la campagne la plus reculée, on voyait bien que le monde était soumis à l'inconséquence d'une poignée de régnants, tous cousins qui plus est, plus ou moins de la même famille. »
Ce « là » dont il parle, est le village d'Orcières, perdu aux confins du Massif Central, dans le Lot. Il est surplombé par une colline pas facile d'accès sur laquelle trône une maison dont l'histoire est agitée. C'est justement cette maison isolée que Lise trouve sur internet, en 2017 : un gîte où passer trois semaines, au soleil, en pleine nature, et dans une zone épargnée par les ondes. Franck, son compagnon, producteur de films, n'est pas d'accord mais il accepte et loue un 4 x 4 pour se rendre là-bas.
3 août 1914 : la guerre est déclarée. Les hommes partent mais aussi des millions d'animaux, des centaines de milliers de chevaux sont réquisitionnés plus des boeufs, des chiens, des moutons, des mules, des pigeons, des ânes, des chèvres, etc… Contrairement à ce qu'on a prétendu, les hommes sont partis tête basse, dans les larmes car les femmes allaient devoir moissonner sans eux.
Serge Joncour, tout en conservant l'intérêt de son récit, réussit à rappeler ce que fut la vie de toute une population frappée par la guerre, particulièrement à la campagne, rendant un hommage émouvant aux femmes : « Chaque bataille, chaque journée de combats abolissait des couples, les robes noires n'en finissaient pas d'éclore chaque jour elles fleurissaient par milliers. ».
Il a pensé aussi aux cirques qui sillonnaient le pays avec des animaux sauvages en captivité et qui se sont trouvés immobilisés. Il fallait nourrir les bêtes ou les voir confisquées pour l'effort de guerre. Justement, à Orcières, un dompteur allemand, Wolfgang Hollzenmaier demande au maire un coin tranquille où se réfugier avec lions et tigres. Je vous laisse le plaisir de découvrir l'endroit.
Sur place, en août 2017, Lise connaît le bonheur absolu mais c'est Franck qui joue le premier rôle avec un chien-loup qui fait même oublier à Franck que ça ne capte pas ! « Franck passa la main sur le dos de cette bête puissante, comme pour en prendre la mesure, ou l'amadouer, c'était un genre de chien-loup, son poil était long, à la fois rêche et doux, plein de vigueur, il affichait l'attitude altière, la souveraine indifférence de ceux qui se savent domestiqués par rien. »

Une fois le décor planté, je me suis laissé entraîner jusqu'au bout d'une double histoire pleine de surprises, d'enseignements et d'amour – Lise et Franck mais aussi Joséphine et … - en immersion complète dans une nature foisonnante et sauvage, un régal !
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Rien au fond ne se dénoue comme on le pense au début. L'écrivain joue avec le lecteur, avec le temps, il passe du présent au passé et inversement en tissant un lien que le lecteur voudra bien faire. On est pris dans ces deux mondes... l'un sans l'autre serait peut-être un peu ennuyeux, mais découvrir ainsi un passé incongru et un futur incertain est un véritable plaisir.
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Alternance entre 2 époques dans un lieu perdu dans le Lot. le début de la première guerre mondiale et l'époque actuelle. 2 époques finalement assez semblables par leur difficulté de vivre. L'horreur de la guerre d'un côté qui a vidé un village de ses hommes, ne laissant que les femmes et les invalides pour cultiver la terre, et la recherche d'un lieu perdu, ce même village, par un couple de parisiens cherchant un retour à l'essentiel, délivré de l'agressivité de notre société contemporaine. Les intrigues des 2 époques vont se rejoindre à la fin.
C'est une réflexion sur la société, sur l'humain, la nature, L Histoire
L'écriture est très riche, précise.
Un très grand livre.
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Imaginons nous nous déconnecter du monde, nous isoler des autres, du bruit, du stress, ne plus consulter nos messages, faire le vide et vivre. Envisageons de partir sur un site perdu, au coeur du lot, une petite maison de pierre rudimentaire sur un flanc de montagne, entourée de végétation. Un désert silencieux, presque oppressant qui porte une histoire – celle de 1914, quand les femmes restaient seules, privées des hommes vaillants partis à la guerre alors qu'un allemand dresseur de fauves se réfugiait dans les hauteurs. L'histoire est sordide. La guerre, les fauves, les rugissements qui emplissent la nuit, la tension et les questions qui demeurent en suspens. Et Si …

Franck accepte. Il ira. Parce qu'il l'aime. Il loue le 4X4. Lise veut se ressourcer.

C'est vraiment le vide. le silence. L'absence de civilisation. le néant. Il faut s'adapter. Mais n'est-ce pas le propre de l'homme de savoir s'adapter ?

Franck parcourt les lieux et apprivoise le loup … où est-ce le loup qui l'apprivoise ?

Serge Joncour offre un nouveau roman passionnant qui interroge. Quel animal est l'homme ? Qu'a fait de lui la civilisation ? Quelle part reste-t-il de nos instincts ? le loup – L'Homme, la métaphore nous interpelle. Et si l'animal n'était pas celui que l'on croit ?

Le récit décortique, dévoile, pas à pas tels les pas du loup qui observe et inquiète. La tension monte et nous oppresse. C'est fin, subtil et surtout clairvoyant. Que sommes-nous ?

Un roman époustouflant.




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Êtes-vous plutot chasse et chair fraîche?  Ou cueillette d'  herbes sauvages et salades de fleurs? Plutôt  traque et  piège , façon Jack London ou back to the trees , façon baba cool des sixties ?

 Si un chien loup vous le demandait gentiment, l'appelleriez vous Alpha ou Bambi?

Retrouvez votre moitié "nature" , absolument fauve ou  gentiment bab' en suivant Franck le geek et Lise la peintre dans une expérience assez extrême  de solitude qui va révéler  radicalement leur moi profond...

Le révélateur sera la Maison d'Orcières, qu'ils louent  pour les vacances, en plein Causse, dans le Quercy "noir"...

Nichée en haut d'un raidillon, on la trouve , enfouie dans les bois,  après une demi heure de grimpette acrobatique. Elle est hors tout : hors ondes, hors route, hors GPS, hors hameau, hors monde, hors temps même, puisqu'y subsistent encore les traces d'un drame vécu un siècle plus tôt, en pleine grande guerre, du temps où les femmes restaient seules maîtres à bord, dans les villages désertés par les hommes, partis à la guerre, une autre sauvagerie, celle-là, bien plus féroce et sanglante que les carnages des grands fauves affamés..

Deux récits se croisent et s' exaltent l'un l'autre: l'ensauvagement progressif du couple de citadins rendu à la nature par l'aura du lieu et la présence mystérieuse d'un grand chien-loup qui s'attache à eux et exerce sur Franck en particulier son pouvoir magnétique- et la chronique d'un passé redoutable, entre légende et malédiction, qui a fait de cet endroit un lieu à jamais hanté et marqué. 

Très lentement, sensuellement, Serge Joncour entrelace ces deux fils, tisse sa toile, tend son piège,  en même temps que monte la tension, la menace, presque la fusion de ces deux époques si différentes.

Une cage aux lions abandonnée dans un aven, seul havre de fraîcheur dans la touffeur caniculaire du plateau, est le maillon barbare et inquiétant qui relie les deux époques,  comme la trace indurée d'une sauvagerie sanguinaire jamais cicatrisée. ..

J'ai adoré me faire doucement happer par ce double récit, j'aurais voulu que ni l'un ni l'autre jamais ne finisse, ni ne reçoive l'explication mettant inévitablement  les points sur les i et traçant rationnellement  la marge entre histoire locale et fantasme collectif, entre vengeance carnivore et menace subtilement distillée.

Tellement captivée par la magie du lieu, les silences du chien, la métamorphose surprenante de Franck, les fauves du dompteur, que j'ai presque regretté la fin qui a interrompu ce tissage patient des deux époques et  mis un terme  à tout un questionnement troublant sur la bête qui sommeille en nous...

Un écrivain plein de talent que je lis pour la première fois: une vraie révélation!
 
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Août 2017. Franck la cinquantaine, producteur de cinéma, est en couple depuis vingt-cinq ans avec Lise, une ancienne actrice. Lise veut passer trois semaines d'été dans le Quercy sur le mont d'Orcières, elle a loué une maison au beau milieu de nulle part. Elle veut passer du temps dans un lieu au plus près de la nature à la recherche du calme et de l'isolement dont elle a besoin après le cancer qu'elle vient d'affronter, elle veut peindre et s'adonner à la méditation et au yoga. Franck accepte par amour mais il est angoissé car cette maison au sommet d'une colline, cette bâtisse qui ressemble à une île entourée de verdure, est privée de tout réseau. Comment vivre sans téléphone et sans Internet quand on a besoin en permanence d'être connecté? D'autant plus qu'il a de sérieux soucis professionnels depuis qu'il s'est associé à deux jeunes loups qui ne rêvent que de coproduire avec Netflix, des associés qu'il voit comme des prédateurs prêts à tout pour l'évincer.

Dès le premier jour un chien sans collier, entre chien et loup, s'impose à eux, il semble vouloir leur dire quelque chose, peut-être les avertir d'un danger... Quel type de relation, quel jeu le chien demeuré à l'état sauvage cherche-t-il à instaurer avec eux? Qui a habité dans cette maison qui semble inoccupée depuis des années? Franck et Lise ne savent pas que la maison a abrité un siècle plus tôt, au début de la première guerre mondiale, un dompteur allemand et ses huit fauves.

Serge Joncour nous raconte l'histoire de ce village à un siècle d'intervalle. En août 1914, c'est la mobilisation, les hommes partent au front, ne restent plus au village que les vieux, les réformés, les femmes et les enfants. Un dompteur allemand, de passage dans le village avec son cirque, obtient du maire de se réfugier dans la maison sur la colline qui domine le village. Serge Joncour nous raconte la vie de ces femmes qui doivent remplacer les hommes, assurer les récoltes, travailler la terre avec l'angoisse constante d'apprendre la mort de leur mari, leur frère ou leur fils. le tout dans un village dominé par les rugissements des fauves dans leurs cages, avec la crainte qu'affamés, ils n'en viennent à dévorer leurs enfants. A la peur s'ajoutent croyances et superstitions, elles sont persuadées que le Mont d'Orcières est maudit.

Parallèlement, avec une alternance régulière de courts chapitres, l'auteur nous montre comment Franck s'adapte à ce lieu qui l'aide à se retrouver, qui l'aide à retrouver la force du lien qui l'unit à sa femme, le tout avec la complicité du chien-loup.

Serge Joncour surprend avec ce roman bien différent de ses précédents. Il restitue à merveille la vie de ce village pendant la guerre, montre le rôle que les femmes ont joué pendant l'absence des hommes, assurant le travail de la terre avec des outils usés, sans engrais ni bête de trait car les animaux avaient été réquisitionnés pour le front. Il décrit l'ambivalence de leurs sentiments car elles se sentent fautives de continuer à vivre sans les hommes et de constater que leur monde peut tourner sans eux.
Il y a peu de personnages dans ce roman mais ils sont tous très forts, la nature sauvage à la violence totale et les animaux sont omniprésents, la relation entre l'homme et l'animal est superbement décrite. L'histoire que Serge Joncour nous conte avec une parfaite maîtrise est originale et captivante, il sait faire monter la tension et entretenir le suspense. Il nous montre que l'histoire parfois se reproduit, que la sauvagerie qui sévit dans notre monde moderne n'est pas bien différente de celle qui a marqué les années de guerre. Dans ce roman qui aborde de multiples thèmes, Serge Joncour met également en scène deux très belles histoires d'amour. J'ai tellement aimé ce roman que j'en ai ralenti la lecture à la fin pour le faire durer un peu plus.

Ce roman est finaliste du prix Landerneau.
Lien : http://leslivresdejoelle.blo..
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Lorsque nous commençons une nouvelle année de lecture, nous savons que nous allons trouver des petites pépites!! Parfois en nombre, parfois non! C'est cette recherche qui me pousse à lire de nombreux auteurs et genres différents durant l'annee. Joncour, je n'avais rien lu de lui. La rentrée littéraire, pour y avoir baigné de nombreuses années.... je laisse passer cette période de frénésie d'avis et de prix.
Alors lorsque ma libraire a « recommandé chaudement » pour ne pas dire imposé aux membres de notre club de lecture de lire Chien Loup.... j'y suis allée (elle n'impose jamais mais la....)
Que dire, tout nous emporte dans cette lecture. L'histoire, le rythme, le suspens, la fragilité des personnages, la beauté des paysage, la durete de la vie durant la guerre en 1914 ou sans réseau en 2017.
J'ai eu la chance de rencontrer l'auteur la semaine dernière. Pourquoi n'est il sur aucune liste de prix??? L'histoire d'un dompteur n'est pas forcément correcte! Voilà pourquoi les dissous des prix littéraires sont toujours à garder en tête et moi, je lui décerne le prix de mon meilleur roman de l'annee!!
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Les événements du roman se déroulent entre 1976 et 1999

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