Dublinois de
James Joyce traduit par Jacques Aubert.
De courtes histoires, 15 exactement, qui racontent Dublin, son histoire, ses habitants. Des histoires qui se déroulent de façon chronologique dans les faits et pour les personnages.
Elles ne m'ont pas vraiment passionnée car aucune n'a de grande finalité mais elles m'ont fait penser à ces photographies dites de rue, ces photographes comme Cartier Bresson et quelques autres qui arrivaient à saisir un instant fugitif, une situation dans un contexte et un lieu précis. Des photos qui racontaient une histoire. Et c'est à ça que j'ai pensé tout en lisant ce livre.
A chaque histoire, une situation extrêmement bien décrite, au détail près. Des personnages simples à la vie ordinaire, bien plantés dans leur époque, dans leur ville.
Un épisode de leur vie.
Et le lecteur, observateur en retrait.