AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,8

sur 2570 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce que j'ai ressenti…Une furieuse envie de mordre…

Comme vous le savez surement, les fées sont très proches des animaux. J'ai du peut être m'en approcher de trop près, car Cujo a bien du me mordre, mais pas forcement de la manière que vous croyez. La rage a dû passer….Ce n'est pas possible sans ça, si je prends carrément au livre du King. Une fée enragée, vient de déferler sur la toile….

Mon défi personnel: lire tous les livres de Stephen King (et les lire avec ma binôme, ça rajoute un certain cachet!!!). J'adooooooooooooooooooore vraiment cet auteur qui sait me faire frissonner dans ses pages, m'envoler vers d'autres contrées, me faire voir les « qualités » du Maine.

Oui mais voilà, sur celui ci, ça n'a pas fonctionné. Voyons donc le pourquoi du comment:
•Déjà, je n'ai pas peur des chiens. L'angoisse ne pouvait pas m'asphyxier. Sachant que le King aime nous faire ressortir toutes nos peurs les plus profondes et les mettre ainsi en lumière, il ne pouvait pas me toucher avec ce thème là.
•Ensuite, tout c'est beaucoup tenu à ses personnages. Je n'ai pas du tout accroché à ses familles et leurs relations. J'ai du mal avec l'infidélité et la violence conjugale, mais alors les suivre et vivre leurs petites vies minables et leurs petits soucis pathétiques, et bien j'avais du mal à garder mon intérêt éveillé.

Après bien sur, l'écriture du King est toujours aussi efficace, j'ai eu droit à mon « petit frisson » sur la dernière scène. Cet enfermement, on le ressent, il nous parle, il nous submerge. Deux êtres démunis dans une voiture, condamnés, coincés dans un espace réduit, c'était flippant et délicieusement bien mené!!!!!

Là, ou j'ai senti une certaine connexion, c'était avec Tad, cet enfant de 4 ans tiraillé par ses peurs infantiles. Ma fille ayant le même âge, on sent que Stephen King s'inspire de son rôle de père soumis à ce problème récurrent, et j'étais curieuse de voir comment il gère cette phase. Sa « Formule contre les Monstres » va peut être me souffler LA solution dans ma vie quotidienne. C'est vraiment la partie qui m'a le plus plue en fait: ce placard et cette porte mystérieuse qui s'ouvre. La peur irrationnelle, les bruits nocturnes et l'imagination fertile. J'aurai aimé que ça soit plus accentué sur ça que sur ce pauvre chien, ou même le tueur qui frappa le Maine (d'ailleurs lui, j'ai pas compris ce qu'il foutait dans l'histoire!!!)……

En bref ce n'est pas la première fois que les histoires du King ne fonctionne pas avec moi,( j'ai abandonné Plein Gaz et Mr Mercedes) , mais là, bien que je sois arrivée à la fin, je ne me suis pas autant éclatée que d'habitude en ouvrant un livre du Maitre. L'horreur n'a pas été au rendez vous, ni l'émotion fulgurante. Une prochaine fois, sans doute, je n'en doute pas….

Lecture faite en binôme avec Belette2911, passez voir sur le blog ;)

Lien : https://fairystelphique.word..
Commenter  J’apprécie          543
Je n'aime pas les romans mettant en scène des animaux. Je déteste les livres qui parlent d'animaux malades, blessés, tués. Je refuse de lire une histoire dans laquelle des animaux meurent.
Bizarrement, je n'ai pas de problèmes en ce qui concerne les thrillers assez gores où des humains endurent les pires souffrances avant de se faire achever par leurs semblables, mais le même genre d'histoire mettant en scène des animaux plutôt que des humains me remplit d'effroi avant même d'ouvrir le bouquin (allez comprendre... Un jour, je me ferai psychanalyser pour comprendre mes drôles de manies littéraires).

Ce genre de réaction explique que, malgré que j'aime Stephen King d'amour (de façon toute platonique et littéraire, je vous rassure) depuis ma première lecture d'un de ses romans (à l'âge de 12 ans, encore une manie étrange), j'ai toujours promis, juré de ne jamais lire Cujo ou Simetierre. Car, à quoi bon se faire souffrir pour rien ?
Et puis, il y a quelques jours, alors que le Covid m'a finalement attrapée après 2 ans de résistance et 3 doses de vaccin, ma mère m'a offert Cujo, histoire de me permettre de lire pendant que j'étais à l'agonie dans mon lit... Que faire dans un cas pareil, à part lire le roman offert pour ne pas offenser celui qui l'offre ? N'empêche, je me doutais bien que ce serait une lecture désastreuse.

Je dois d'ailleurs avoué avoir craqué à environ 80 pages de la fin, lorsque Donna claque sa portière de voiture sur la tête du chien en train de l'attaquer et qu'on a droit à tous les détails sur le sang coulant de la tête de Cujo, sur son museau très abîmé et sur l'une de ses oreilles presque arrachée de sa tête. Merci bien, j'aime encore mieux lire des détails concernant le régime cannibale d'Hannibal Lecter !

J'attribue toutefois la note de deux étoiles à cette lecture, car la plume de King est aussi efficace et, par moments, humoristique que d'habitude.
Et j'admire sincèrement tous les lecteurs qui ont été capables de venir à bout de cette lecture, et l'ayant noté 4 ou 5 étoiles.

Sur ce, je m'en vais pleurer sur le triste sort de ce pauvre saint-bernard sorti de l'imagination d'un auteur américain.
Commenter  J’apprécie          142
Castle Rock - USA - un chien Saint-Bernard enragé - son nom : CUJO !
Décidément, Castle Rock est maintenant connu puisque quelques années plus tard un étrange magasin, un Bazaar, va ouvrir ses portes et une fois de plus, la petite ville Américaine va se retrouver en sang !
Concernant ce roman, Cujo, de Stephen King, j'ai un avis très mitigé et on va dire que je ne me suis pas régaler comme d'habitude avec le maître du suspense.
Je me suis prise d'affection pour ce pauvre chien, qui, délaissé, va tomber malade suite à une morsure d'une chauve souris. Et, je me suis mise dans la tête que si il avait eu des maîtres plus responsables, on aurait pu éviter la catastrophe ! Oui, je l'avoue j'ai une extrême sensibilité concernant les animaux ...
De même, l'histoire des personnages et surtout des familles ne m'ont pas interpellée et je ne me suis pas attachée ni à l'un, ni à l'autre ... sauf à Cujo !
Je suis finalement contente d'avoir terminé ce roman qui ne va pas me laisser un souvenir mémorable contrairement à d'autres oeuvres du Monsieur King.
Commenter  J’apprécie          135
C'est le premier roman que j'ai lu de Stephen King. A l'époque le roman m'avait paru ni bon ni mauvais, mais je crois que je ne l'avait pas comprit en entier.
Récapitulons, une femme et son jeune fils se retrouvent seul dans une voiture, en pleine chaleur et au milieu d'une ferme isolé. Jusque là tout va bien mais un chien ayant la rage tourne autour de la voiture et les deux individus ne peuvent pas sortir de la voiture.
L'auteur construit son roman en mettant l'histoire dans le désordre, ajoutant des épisodes à la vie de cette femme qui n'a déjà pas de chance de se retrouvait dans cette voiture et cela alourdi le récit. C'est cela que je n'ai pas apprécier dans le roman.
On ne comprend pas non plus l'intérêt de l'homme qui l'a poursuit.
Je retenterai peut-être ma chance avec un autre Stephen King, on verra bien ...
Commenter  J’apprécie          81
On dirait que Stephen King lui-même ne trouvait pas son histoire intéressante, d'où des disgressions constantes. Une grande galerie de personnages et de destins, pas mal ébauchés, mais quant à ce qui est censé être l'histoire... Même le fantastique n'est pas au RV.
Ce roman n'est pas mauvais, il ne faut pas exagérer, mais franchement décevant.
Commenter  J’apprécie          71
La plus grande force de Stephen King est de faire intervenir l'horreur dans le quotidien : des voitures tueuses, des hôtels qui rendent fou, des adolescentes télékinésistes, etc. Avec Cujo, Stephen King nous raconte l'histoire d'un chien qui a... la rage. Bon. Dans le genre, on a vu mieux.
Donc le chien a la rage, devient de plus en plus fou, s'en prend à une mère et son enfant qui sont piégés dans leur voiture. Il ne se passe pas grand chose et j'ai vraiment trouvé le temps long.
Vu les critiques élogieuses sur Babelio, je crois que quelque chose a dû m'échapper parce que je n'ai ressenti ni angoisse ni sympathie pour les personnages.
Encore une fois, tant pis pour moi !
Commenter  J’apprécie          51
J'ai lu ce livre pour poursuivre la bibliographie du grand Maître King. Une amie qui l'a lu m'a dit qu'il faisait peur mais elle avait déjà peur des chiens avant la lecture.

Ce livre parle davantage des relations possibles positives ou négatives au sein d'une famille, à travers deux exemples : la famille Trenton et la famille Camber. Les sujets évoqués par Stephen king sont plutôt négatifs puisque ce sont l'infidélité, l'alcoolisme, la violence conjugale. Et Cujo, ce bon vieux gentil Saint-Bernard est relégué au second plan. L'histoire est longue à se mettre en place du coup, on sait avec le résumé et des les premières pages que le pauvre Cujo attrape la rage à cause d'une morsure de chauve-souris. Donc pas de surprise côté scénario. Malgré tout, Stephen King arrive à faire monter l'angoisse au fur et à mesure de la lecture. le summum est atteint quand Donna et Tad sont prisonniers de leur voiture et que Cujo veut les tuer.

J'ai aussi eu de la tristesse pour ce pauvre Tad ainsi que pour Cujo car au final il est malade, ce n'est pas une bête sanguinaire de nature. Il souffre ce toutou... Je vais faire une petite parenthèse : si ce livre (ou le film) permettait de rappeler aux propriétaires de chiens que les vaccins sont important et ne servent pas à juste embêter, ce serait bien.

Je n'ai pas été effrayée comme je le pensais au début de la lecture, peut-être est-ce parce que j'adore les chiens mais l'angoisse est bien présente. Ce ne sera pas mon livre préféré du Maître mais c'est un bon livre quand même. A lire quand on se penche sur la bibliographie de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          45
Le roman inclut à un moment donné un huis-clos qui fonctionne très bien. On ressent l'angoisse des personnages montée et leur sentiment de désespoir. J'ai été très surprise par la fin que je n'ai pas vue venir. Je reste quand même sur ma faim, car même si l'histoire se termine de manière originale, j'en attendais plus.

Chronique entière sur le blog
Lien : https://leslecturessucrees.c..
Commenter  J’apprécie          30
Soyons fou, parlons de Stephen King sans fêter l'anniversaire du compte. Ce qui est dommage c'est que, pour la première fois, je vais en parler en mal.

Cela faisait un moment que je voulais lire "Cujo". L'image d'un Saint-Bernard enragé terrifiant une bourgade du Maine était quand même très alléchante. Quelle désillusion ! le livre est d'un ennui mortel.

Au final, on passe un tier du livre à découvrir des personnages dont on se fout, un autre tiers sur un duo de publicitaire qui cherche à sauver leur agence et le reste, ce n'est qu'une mère et son fils coincés dans une voiture à cause du fameux Cujo. Donc au lieu de suivre la traque d'un monstre enragé, on suit des personnages inintéressants aux enjeux tout aussi inintéressants.

Grosse déception, "Cujo" n'est clairement pas le livre que je pensais. Sa réputation restera un mystère pour moi.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          30
À la limite de l'horreur. Moyen
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (6452) Voir plus



Quiz Voir plus

Le quiz Stephen King !

Quel est le premier livre de King a avoir été publié ?

Shining
Dead Zone
Carrie
Le dôme

10 questions
1720 lecteurs ont répondu
Thème : Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..