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Citations sur Millénium, tome 4 : Ce qui ne me tue pas (131)

En réalité c’est très simple : celui qui surveille le peuple finit à son tour par être surveillé par le peuple. Il y a là une logique démocratique fondamentale.
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L'oeuvre d'art se trouve dans le regard de celui qui observe.
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Les femmes étaient attirées par Andrei, mais elles finissaient toujours par le quitter. Son désir éperdu de vivre une grande histoire, l'intensité de ses émotions les effrayaient sans doute. Et puis il avait tendance à évoquer bien trop ouvertement ses propres défauts et faiblesses. Il était trop ouvert, trop transparent, ou comme disait Mikael : trop bon.
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Même si elle faisait parfois des efforts, les formules de politesse n’étaient toujours pas son truc. Elle ne l’ouvrait que pour asséner quelques vérités, et préférait se taire le reste du temps.
(p. 95)
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Elle percevait plus d'harmonie dans une équation différentielle que dans un morceau de Beethoven.
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Elle revient à la réalité. Comme après un orgasme avec le mauvais partenaire.
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Elle tardait cependant à débarquer chez lui et, n'ayant rien de mieux à faire, il se planta devant le miroir de la salle de bains. Il avait connu des jours meilleurs. Ses cheveux en pagaille auraient mérité un bon coup de ciseaux et il avait des valoches sous les yeux. " Tout ça à cause d'Elizabeth George ", maugréa-t-il avant de quitter la salle de bains et de ranger un peu l'appartement.
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Blomkvist et lui avaient été pigistes à la même époque à "Expressen". Ils couvraient alors les faits divers et les chiens écrasés. Mais, autour d'une table, à la fin de la journée, ils rêvaient de grandes en quêtes et de révélations chocs. Ils avaient passé des heures à discuter, jurant de ne jamais se contenter du du conventionnel ni du consensuel, et de fouiller toujours plus profond. Ils étaient jeunes et ambitieux et voulaient tout en même temps. Ove regrettait parfois cette époque. Pas le salaire, évidemment, ni les horaires, ni même la vie de patachon, les tournées dans les bars, les femmes. Mais les rêves, leur force - oui il les regrettait. Ce désir fervent de changer la société et le journalisme, d'être capable de transformer le monde, de faire plier les pouvoirs. Et bien sûr, c'était inévitable, même pour un gros bonnet comme lui, il lui arrivait de se demander : Que s'est-il passé ? Que sont devenus mes rêves ?
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Que ce sont les toujours les mauvaises personnes qui culpabilisent. Ceux qui engendrent de la souffrance dans le monde s'en foutent. Ceux qui luttent pour les bonnes causes sont rongés par le remords.
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Personne ne lâche des informations sans avoir ses propres motivations. Parfois, le mobile est tout à fait noble: le désir de justice, la volonté de dénoncer la corruption, les abus. Mais la plupart du temps, ce n'est qu'une manoeuvre dans un jeu de pouvoir, visant à couler l'ennemi et à asseoir sa propre position. Un reporter doit toujours se poser cette question fondamentale: pourquoi me donne-t-on cette information?
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