Sans passer par la case départ

L'idée de départ est bonne, une bande de gosses de riches qui décident de passer le réveillon ensemble autour d'un plateau de Monopoly dont ils transforment quelque peu les règles pendant que les parents font la fête dans la maison d'à côté.
Si l'autrice ne s'était pas contentée de coucher la trame de son histoire sur le papier ça aurait même pu être bien.

Sauf que c'est presque resté à l'état d'ébauche. On dirait qu'elle nous a refilé son brouillon. Aucun personnage n'est construit, certains détails tombent comme un cheveu sur la soupe, il n'y a pas de suspense parce qu'il n'y a pas d'atmosphère... Alors que tout est là, ce n'est juste pas travaillé du tout.

C'est vraiment le bouquin tiroir-caisse aussi bien pour l'autrice que pour son éditeur qui a quand même osé mettre ça sur le marché et le vendre à presque 12 €. On n'est pas loin de la malhonnêteté là...

Je n'ai pas l'habitude d'écrire des critiques, mais cette fois je me lance, car je ne comprends pas.
Espérant à chaque fois retrouver les sentiments de mes premières lectures de cette autrice avec cette héroïne sympathique, eh bien... depuis 3 livres... je passe de déception en déception.
À la fin de cette nouvelle que j'estime être celle d'un collégien ratant sa dissertation de début d'année, je me demande si les 3 dernières histoires/nouvelles de cette autrice aurait passé l'examen d'entrée d'une maison d'édition.
Je suis surpris de lire des critiques très enthousiastes pour certaine, mais les goûts sont la nature ou alors je n'ai rien compris.
Bonne lecture à vous si vous insistez vraiment.

Madame Läckberg a voulu se faire un peu d'argent de poche avec cette lecture insipide que j'ai continué jusqu'au bout dans l'espoir que ça allait s'améliorer, mais que nenni. et encore une fois, j'ai vraiment perdu mon temps (et mon argent) et je désapprouve les éditeurs d'accepter de publier des textes qui ne le méritent pas. Un peu de déontologie, Messieurs : vous savez très bien que vous vous ferez de l'argent sur un nom, sans que la qualité du texte et de l'histoire soient au rendez-vous.

J'avais déjà été consterné il y a quelques années par la lecture de "Cyanure", j'ai là la confirmation que Camilla Lackberg peut désormais tout se permettre. Comment ne pas voir dans cette publication insipide au possible une absence totale d'éthique de la part de l' éditeur ?
Intrigue simpliste, personnages sans profondeur, redondances, dénouement grotesque ... Camilla Lackberg fait ici preuve d'une audace (ou d'une inconscience ?) rare !

Le pitch : Quatre jeunes bourgeois se retrouvent pour la soirée du Nouvel An et jouent au Monopoly en modifiant les règles pour le transformer en un simple action ou vérité (alors pourquoi avoir sorti un plateau de Monopoly ?). Bien sûr, leur vie de "gosses de riches" n'est pas si rose et la soirée tourne au vinaigre...

C'est plein de clichés, extrêmement manichéen, les personnages n'ont pas de profondeur, l'intrigue non plus. Je ne peux malheureusement pas étayer mon propos sans trop en dévoiler sachant que le livre est très (beaucoup trop) court. J'ai l'impression qu'à chaque nouvelle sortie, Camilla Läckberg s'offre davantage de facilités alors que par le passé elle a écrit de bons romans. C'est très rare que je sois à ce point déçue d'un livre qui a eu l'air de plaire à beaucoup d'autres lecteurs vu sa note moyenne, mais là vraiment je ne comprends pas l'enthousiasme général.

Bof bof, j'ai envie de dire. Des personnages clichés, un monde si à part qu'on n'a pas envie d'y participer, des gens bien pourris et par le fric et par leur vie d'inculture et de paraître, sinon quoi ? Il y a tant de beaux ouvrages dans notre littérature, celui-là, que je ne qualifierais même pas d'ouvrage, ne mérite pas qu'on s'y arrête les quelques heures nécessaires à sa lecture.

Depuis quelques années, je suis toujours déçue par cet auteur, mais je persiste car je pense à chaque fois à tort, que je vais retrouver la Camilla Läckberg des débuts, celle qui m'a tant plu en mettant en scène la gentille famille de Patrik et d'Erica. Je me suis encore fait avoir car cette novella est vraiment affligeante. L'idée de départ était plutôt bonne, mais j'ai le sentiment d'avoir perdu mon temps et mon argent. Cette histoire, en plus de n'être pas crédible, est tirée par les cheveux et invraisemblable. Pour moi, il s'agit carrément d'un appel au meurtre, l'auteur encourageant les enfants de parents défaillants à les supprimer. Minable.

On m'a offert cet ouvrage à Noël, je n'avais aucun préjugé sur l'auteur, ne la connaissant pas. Et bien outre que ce soit très facile d'accès et que ça se lise en une heure, je ne vois absolument aucun intérêt à cette « oeuvre ». Vide, plat, moderne, sur la forme c'est digne d'un magazine ou d'un téléfilm m6. Je ne sais pas si c'est révélateur du reste de la biblio de Lackberg mais ça ne donne pas envie d'en lire un autre.

SANS PASSER PAR LA CASE DÉPART, Camilla Läckberg.

Petit huis-clos de 100 pages (et pas une de plus). 4 jeunes se retrouvent à une soirée du nouvel an, l'alcool coule à flot, ils décident de pimenter leur soirée avec un jeu de monopoly dont ils changent les régles en y ajoutant des actions et des vérités.

Pour l'instant j'ai l'impression que les synopsis de Camilla Lackberg donnent envie mais je suis toujours un peu déçue du rendu. C'est mon deuxième huis clos de l'auteur que je n'apprécie pas particulièrement.
Je ne conseille pas. En fait la lecture laisse un peu sans avis particulier...
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La précipitation de la fin. En 1 page et demie, une fin est-ce possible ? Non du tout mais c'est ce qui s'est passé dans ce livre. C'est un gros raté voire je me suis demandé s'il n'y avait pas une suite. Non du tout ! Fin trop rapide, fin qui n'a ni queue ni tête même si je pouvais comprendre l'appel au secours de certains personnages. Je reste sur ma fin qui est bien amère, dommage !
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