Deux personnages racontent.
Le premier, Dodo, s'exprime dans un mélange de français et de dialecte africain. Ses propos sont signalés en italiques dans le texte. Pour bien restituer ses pensées, l'auteur adopte délibérément une orthographe souvent phonétique, et une grammaire approximative : il a dû faire pas mal d'effort pour arriver à un résultat aussi crédible !
Malheureusement, quant à moi, j'aime les écritures fluides. J'ai abandonné l'ouvrage après une demi douzaine de page laborieusement déchiffrées (dans le livre, le nombre de pages en italiques, correspondant au témoignage de Dodo, semble dépasser la centaine).
Le second personnage, Jérémie, est présenté en 4ème de couverture, et je m'en tiendrai à ce résumé, même si c'est peut-être passionnant.
J'essaierai de découvrir
Jean-Marie LE CLEZIO (Nobel de littérature en 2008) à travers une autre de ses ouvrages. Et je remettrai rapidement celui-ci dans une boite à livre, celle où je l'ai trouvé ou une autre.