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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un grand merci à Babelio et aux éditions Marabout...

Paris, Jeudi Saint. le corps d'un homme est retrouvé dans les toilettes d'un bar irlandais. Un certain John Murphy, salement refroidi, une balle dans les genoux et une autre dans le front. Mehrlicht est appelé sur les lieux du crime. Avec le médecin légiste, Carrel, ils font la découverte de bien étranges choses : un bonhomme bâton, un rond en guise de tête et une bouche en dents de scie, est dessiné non loin du corps. « NÁ DEAN MAGGADH FUM » écrit au-dessus, en lettres de sang. L'autopsie révélera de nombreuses blessures profondes, des brûlures, des cicatrices et surtout une peau recouverte de tatouages, notamment des entrelacs celtiques et IRA écrit entre les omoplates. Une bien sombre affaire attend Mehrlicht et ses lieutenants, Dossantos et Latour. Une enquête menée dans un climat tendu, quelques jours seulement après les attentats de Bruxelles, et qui va les plonger dans un passé qu'ils pensaient révolu...

Quatrième opus des enquêtes de Mehrlicht et sa clique et le plaisir est toujours là. L'on retrouve le capitaine Daniel Mehrlicht empêtré dans une sombre affaire de vengeance avec ce crime tout droit venu du passé. Il devra composer avec un climat plus que jamais électrique, dû aux attentats, une équipe réduite, le week-end pascal ayant fait déserter les bureaux du commissariat, et une nouvelle stagiaire, qui saura être accueillie selon les méthodes habituelles du capitaine. Ce quatrième volet est profondément plus sombre mais aussi plus abouti. L'auteur alterne habilement passé et présent, des années 70 à nos jours, de l'Irlande à Paris. Il nous immerge au coeur d'un groupe d'amis, attachés à leurs racines et origines, qui, au cours des longues années du conflit irlandais opposant catholiques et protestants, devront faire des choix et défendre leurs intérêts et leur territoire. Un passé qui, visiblement, refait surface des années plus tard. Nicolas Lebel nous offre un roman travaillé, tant que sur le fond que sur la forme, fouillé, intense et passionnant. Les personnages sont toujours aussi sympathiques et attachants et prennent de la consistance au fil des enquêtes. Un roman ancré dans le présent mais qui nous rappelle que le passé n'est pas si loin...
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« Ecoute, Kojak ! Quand je voudrai savoir ce que t'as dans le carafon, j'aurai qu'à secouer, mais à mon avis, y'aura comme un bruit de grelot. Alors tu m'oublies sinon va y avoir un os dans le fromage... »
Ça vous parle ce genre de réplique ? C'est signé Mehrlicht bien sûr, ce capitaine créé par Nicolas Lebel pour le plus grand plaisir de ses lecteurs. J'avais lu « l'heure des fous » de cet auteur, cela fait un moment déjà, plusieurs années. Mais dès les premières pages, je me suis trouvée projetée aux côtés de Mehrlicht et son équipe avec l'impression de les avoir quittés la veille, alors que je ne parvenais pas à me les remémorer avant d'ouvrir le livre. Un vrai bonheur. D'emblée je me suis dit que j'allais passer un bon moment et sitôt la première réplique de ce personnage haut en couleurs, j'ai ri de bon coeur. Et pas qu'une fois au cours de ma lecture, car il dégaine ses bons mots, ses sarcasmes et ses jurons bien plus souvent que son arme de service. Alors cela peut ne pas plaire à tout le monde, mais je suis une très bonne cliente, j'en redemande et je suis servie, on en a à la pelle !

L'enquête servie dans ce tome est très intéressante, tissée de fils qui s'entrecroisent entre des faits se déroulant à Paris et les conflits en Irlande dans les années 70. L'IRA s'invite dans l'intrigue et donne lieu à deux histoires qui se rejoignent. La partie consacrée au conflit irlandais est dense, intense et sombre. On lit un roman noir doublé d'un roman policier. C'est passionnant. Mais il m'a tout de même fallu m'accrocher un peu pour y entrer en Irlande. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi fouillé, c'est presque un docu-polar !

« Patron, je veux pas tourner le Carambar dans la carie ! Ni faire un caprice ! Je veux pouvoir bosser ! ». Laissons donc 'Mehr Licht' faire la lumière sur cette affaire et se dépêtrer avec les lettres qui figurent sur le dos de la victime : IRA.

Alors ? Ira ou ira pas ? Lire cet ouvrage, je vous y encourage.
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Je suis :
Top !
Auteur français né à Paris.
Mes romans ont pour héros un commissaire de police parisien, au nom inėcrivable, et son équipe.
Dans mon dernier opus, mon flic et sa brigade traquent l'assassin de ressortissants britanniques dans le Paris d'aujourd'hui et me donne l'occasion, par des flash-back, de relater une partie du dramatique conflit anglo-nord-irlandais de la fin des années 60 au début des seventies.
Mon policier atypique me donne l'occasion, par son comportement et une pointe d'humour sarcastique,   de détendre l'atmosphère d'un polar que le lecteur a du mal à quitter.
Je suis ?
Nicolas Lebel  ?
Oui, oui, ouiiiiii........

Ne soyez pas dérouté par cette drôle de chronique,  les aficionados de cet auteur comprendront. J'invite les autres, tous les autres, à le découvrir sans tarder.
Pour ma part, ayant découvert le style Lebel avec cet ouvrage, je jure devant le tout-puissant (là encore, clin d'oeil) que ce n'est que le début de notre collaboration auteur/lecteur.
Je termine sur une sincère poignée de main, et là,  c'est Nicolas qui comprendra...





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Qui a dit que la lecture n'élevait pas l'esprit ? Et bien, j'invite tous ceux-là à ouvrir un roman de Nicolas Lebel afin de comprendre qu'il existe des lectures qui volent plus haut que certaines !

Mais pas sûr que ces gens-là comprendront… Ou alors, ça leur donnera mal à leurs petites pensées étriquées…

Lire un roman de Nicolas Lebel leur collera une migraine de puissance 10 sur l'échelle de Richter. Moi, j'adore et il ne me donne pas mal au crâne avec ses réflexions.

Son commissaire Mehrlicht n'est pas ce que l'on peut appeler un dieu grec (private joke) niveau physique. Il en est même l'opposé, lui qui ressemble à une grenouille qui se serait faite écrasée pas un camion, puis dessécher au soleil et enfin, mâchouillée ensuite par un renard…

Pourtant, c'est toujours un plaisir de retrouver ma petite grenouille fumeuse de Gitane et adepte de bons mots, ainsi que ses deux lieutenants, Latour, la jolie rousse et Dossantos, le bodybuildé adepte de séries et qui connait, pas coeur, le code pénal.

En découvrant un assassiné dans les chiottes d'un pub tenu par un irlandais à Paris, avec deux balles dans chacun des genoux, notre capitaine à la gueule chiffonnée ne pensait pas mettre les pieds dans un bordel pareil et suivre un tueur fou à la trace, suivant les cadavres, ses curieux dessins et ses inscriptions, écrites dans un sabir inconnu de notre flic de choc.

Non, "Na dean maggadh fum" n'est pas une future inscription sur les paquets de clopes. C'est du gaélique et si le conflit irlandais était loin dans votre mémoire, après lecture de ces pages hautement addictives, vous pourrez aller devant Julien Lepers et répondre à ses questions pour un champion tout en fredonnant "Ah ça IRA, ça IRA".

Nicolas Lebel a cette fois-ci choisi de nous entraîner dans le passé, dans les années 60-70, dans une Irlande séparée, dans une Irlande déchirée, dans une Irlande du Nord en proie à l'envahisseur protestant qui n'est pas un tendre et qui a tout d'un criminel en puissance. La résistance s'organise et elle ne fera pas dans la dentelle non plus.

Alternant les sauts dans le passé et dans le temps, passant de l'Irlande d'hier au Paris d'aujourd'hui, l'auteur, avec sa verve habituelle, nous en donne pour nos sous niveau tension et les réflexions profondes de ses personnages sont aussi douces à l'esprit qu'un cappuccino crémeux l'est pour la gorge en souffrance.

Ça glisse tout seul dans ton cerveau non formaté par les médias et tu te dis qu'il y a encore des personnes qui ont un cerveau et qui savent mettre en page leurs pensées, leurs vérités, la réalité.

Du capitaine Mehrlicht pur jus, sans filtre, sans additifs, sans édulcorant et autres saloperies. Et du capitaine Mehrlicht, tu peux en fumer tant que tu veux, c'est bon pour la santé mentale ! Sauf si t'as pas de cerveau…

Maintenant, je me demande ce que le prochain opus nous réserve parce que notre "rebel" Lebel vient encore de placer la barre très haute avec une enquête qui était très bien menée, travaillée, addictive, intrigante, intéressante et qui, contrairement à ce que je pensais, n'était pas aussi simpliste que je le pensais !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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De cauchemar et de feu est un roman découvert grâce à Babelio car je l'ai gagné sur leur page facebook il y a quelques mois.
Je me suis enfin décidée à prendre le temps de le lire, et j'en suis ravie même si je regrette un peu de ne pas avoir commencé par la première aventure du capitaine Mehrlicht !
De cauchemar et de feu est le quatrième tome des aventures du capitaine, et je l'ai trouvé vraiment passionnant.
Nous avons un policier qui a un sacré caractère, très atypique. J'avoue que je ne m'attendait pas du tout à un tel personnage !
L'histoire est très bien ficelée. Nous naviguons des années 70 à nos jours. Nous sommes en plein week-end pascal, et les policiers vont se retrouver confronter à des attentats perpétués par l'IRA, groupe terroriste irlandais.
Tout m'a plu dans ce livre, l'ambiance, les personnages, l'histoire. Un très bon roman noir, qui mérite bien quatre étoiles et demie.
J'ai beaucoup aimé la plume de Nicolas Lebel, va falloir que je trouve les premières enquêtes du capitaine :)
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J'ai découvet cet auteur avec son roman le Gibier, et j'avais passé un très bon moment de lecture, donc quand j'ai découvert ce roman dans une boîte à livres j'ai eu envie de le lire.
Il s'agit de la 4ème enquête du capitaine Daniel Mehrlicht.
L'histoire débute quelques jours avant Pâques, le Jeudi Saint, le 24 mars 2016,par la découverte d'un corps dans un pub. Cet homme a été assasiné. Mais l'autopsie révèle que le mort: John Murphy serait lié à l'IRA. La liste des morts s'allongent. L'équipe de Mehrlicht traque l'assasin de ressortissants britanniques dans un Paris qui est en alerte maximale suite aux attentats. En tant que lecteur nous avancons pas à pas avec Mehrlicht dans l'enquête. La capitaine Mehrlicht est un personnage atypique. Il est à la fois détestable et attachant. Il a un humour noir et très cynique. Les autres personnages sont très bien décrits. L'auteur a su leur donner une humanité.
Par cette enquête, l'auteur entraîne le lecteur dans les heures sombres de l'Irlande. Il y a un vrai travail de recherche sur le conflit irlandais, les explosifs, les légendes, le fanatisme religieux.
Le style d'écriture est clair et fluide. L'intrigue est très bien construite entre passé et présent. L'humour et le cynisme sont bien maniés. Les jeux de mots m'ont fait sourire. Il y a du rythme, des rebondissements.
Une lecture addictive
Un roman très noir
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Après le décevant "Sans pitié ni remords", dont le titre emprunté à Baudelaire (" Depuis tant de siècles innombrables/ Que vous vous combattez sans pitié ni remords/ Tellement vous aimez le carnage et la mort/ O lutteurs éternels, o frères impitoyables ") aurait pourtant beaucoup mieux convenu au présent ouvrage, nous avons sans doute là le meilleur titre de la série Mehrlicht.
O lutteurs éternels o frères impitoyables...Lebel traite ici de la guerre civile qui ensanglanta l'Irlande du Nord dans les années soixante à quatre vingt dix du siècle dernier, et n'est qu'un épisode de l'interminable guerre livrée depuis huit siècles pour la terre martyr d'Irlande. Selon Pierre Conesa in La fabrication de l'ennemi, ce conflit aurait fait plus de 4500 morts en 40 ans. La famine.d'Irlande a tué le tiers de la popularité de l'île sans que les Britanniques fassent quoi que ce soit pour y remédier


Mehrlicht et son équipe y sont mêlés à l'occasion d'une enquête sur les meurtres commis par un ancien tueur de l'IRA venu solder quelques derniers comptes à Paris.
Et on les retrouve avec le même plaisir tant on s'y est attaché.
Disons encore que l'on apprend énormément de choses sur cette guerre civile d'Ulster finalement mal connue chez nous.
Entre les deux parties, Lebel ne tient pas la balance égale. Il n'a pas tort, S'il n'occulte pas les crimes de l'IRA, ils ne semblent pas peser très lourd en face des atrocités britanniques que je vous laisse découvrir, et dont nous n'avons pas idée
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Avec Sans pitié ni remords, Nicolas LEBEL m'a précédemment conquis et il récidive pour mon plus grand plaisir avec de cauchemar et de feu. le policier Mehrlicht est toujours égal à lui-même, atypique, cynique et cassant avec une stagiaire, dans une enquête avec en toile de fond historique le conflit irlandais et les légendes celtiques. Ce roman constitue un remarquable travail de restitution de la genèse de l'IRA, de la guerre civile au sein de la société irlandaise d'il y a quelques décennies et l'on ne peut que féliciter l'auteur d'avoir traité au travers d'une histoire captivante, dotée d'une intrigue excellente de la question du fanatisme religieux à l'aune de l'état d'urgence sous un angle nouveau. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce polar qui reste un livre drôle et agréable.
Mais pourquoi tant de haine envers Julien Lepers ? ;+D
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Encore une fois excellent!!! Je dirai même encore meilleur que le précédent, qui était déjà meilleur que celui d'avant... etc. Alors que le tout premier était déjà vraiment très bon. C'est pour vous dire le niveau! Nicolas Lebel joue dans la cours des grands, des très grands!
J'ai enchainé la lecture de 2 de ses romans et c'est avec un pincement au coeur que je quitte Mehrlicht et son équipe. J'ai adoré suivre leurs enquêtes et les aléas plus privés de leur quotidien. Ça va être long avant de pouvoir les retrouver.
En cette période de psychose sociétale, il fallait oser prendre des actes terroristes pour thème. Voilà qui est fait avec un réel brio. J'avoue ne m'être jamais vraiment intéressée à l'histoire sanglante de l'Irlande. Habitude acquise de fuir les horreurs et autres informations du 20h. Mais pour le coup, maintenant, j'ai envie de comprendre ces décennies de violence à notre porte.
Un livre qui m'apprend des choses et qui sait éveiller ma curiosité est un livre qui restera dans ma mémoire.
Et un auteur qui me séduit à chaque roman gagne des galons dans ma bibliothèque.
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C'était de saison de fêter Pâques. Moi je l'ai fait avec le Capitaine Mehrlicht ! de toute façon, confinement oblige, mes projets de chasse aux oeufs avaient fondu, alors quoi de mieux que de répondre à l'appel de mon Capitaine préféré pour palier l'absence de ma famille ?

On retrouve donc un jeudi saint avec notre petit capitaine grenouille-grossier-potache-fumeur-et-j-en-passe en charge du meurtre d'un Irlandais dont on soupçonne une ancienne appartenance à l'IRA. Et pour accompagner sa victime, un message à l'encre de sang : un bonhomme allumette et une phrase énigmatique dans une langue pas directement identifiable…

Tout en n'oubliant pas de chambrer sa nouvelle stagiaire, Mehrlicht, flanqué de ses fidèles Latour et Dossantos, se retrouve sur les traces de l'énigmatique Far Darrig, une créature « de cauchemar et de feu ». Tandis que les policiers poursuivent leur quête, les lecteurs sont amenés, petit à petit, à découvrir l'histoire de ce Croquefeu effrayant. Ceux qui me connaissent savent à quel point j'adore découvrir des morceaux d'histoire à travers mes lectures. Et j'avoue plutôt humblement que ma seule connaissance de l'IRA provenait du film « Ennemis rapprochés » (vu et revu ! Faut dire que, si Brad Pitt n'a pas l'humour de Mehrlicht, il a d'autres arguments pour me convaincre…) Oups, digression ! Revenons à l'IRA et au conflit en Irlande du Nord, trop vieux pour avoir marqué mon adolescence. Nicolas Lebel nous livre cette page d'histoire au travers la vie d'un groupe d'amis dont les personnalités seront façonnées par les événements tragiques et historiques qu'ils vivent, en revenant notamment sur le fameux « bloody sunday » de Derry. D'un point de vue personnel, je reste médusée du nombre de morts occasionnées par, entre autres, des problématiques de respect de droits civiques entre majorité protestante et minorité catholique et ce, il n'y a que cinquante ans ! Loin de moi l'idée de polémiquer ou même de prendre parti ! Je dis juste que je suis sidérée des ravages passés et présents liés aux religions…

Et lorsque le Far Darrig de notre histoire, qui se déroule en 2016 peu après les tragiques événements de Bruxelles, continue de faire couler le sang, les policiers craignent une nouvelle vague d'attentats et sont sur les dents.

Il m'a semblé que ce tome marquait un virage dans la vie de notre équipe de flics et dans l'écriture de Nicolas Lebel. D'abord, Mehrlicht soigne son vocabulaire pour des raisons que je préfère vous laisser découvrir, sous le regard attentif (et intéressé) de ses fidèles comparses. Latour songe à se marier et Dossantos vit son chagrin d'amour en silence. Mais c'est sans compter sur l'intervention de ses vieilles connaissances qui vont se rappeler à son bon souvenir d'une tragique manière. Ce que j'aime dans la plume de Nicolas Lebel était au rendez-vous : de l'humour, de l'action, des sentiments, des diatribes succulentes. J'ai eu la touche historique qui m'a appris beaucoup. Mais il y avait autre chose… Un sentiment indéfinissable d'un vent de changement par rapport aux tomes précédents : une histoire plus sombre, une atmosphère plus étouffante, des émotions plus écrasantes, qui se sont confirmées à la lecture du tome suivant, dont je vous parlerai bientôt et qui fut responsable d'un putain de spleen que j'ai traîné pendant deux jours ! (Ok, 5 € dans la boîte !)

Conclusion ? La puissance de frappe de Nicolas Lebel gagne en intensité avec une histoire fouillée, travaillée, précise et percutante. J'ai donc forcément adoré, mais vous vous en doutiez !
Lien : https://lecturesdudimanche.c..
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