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Je découvre l'auteur , à travers, ce roman. Une histoire menée tambour battant, nous rentrons directement dans l'univers littéraire de l'auteur. Un thriller à multiples rebondissements, aucun temps mort une enquête et un suspense omniprésents. Un thriller psychologique où nos neurones sont mis à rude épreuve.et sans aucun ménagement. L'auteur plante le décor de son histoire dans la quatrième couverture. Je vous ferais ressentir mes sentiments de ce roman. Cet univers machiavélique, démoniaque , qui nous poursuivra tout le long de la lecture. L'auteur nous ballade, sans effort , un jeu avec ses lecteurs, il les perd facilement, des faux indices, faussent preuves. Une lecture angoissante, terrifiante, et totalement addictive. Cet univers oppressant, suffocant qui nous fait froid dans le dos, nous donnant la chair de poule, une peur c'est diffusée en moi, cauchemars assurés. La psychologie des protagonistes est travaillée , disséquée avec minutie ,amplifiant ce sentiment oppressant. l'auteur nous tient en haleine du début jusqu'au final, une fin explosive, détonante et totalement inattendue. Un thriller psychologique efficace, captivant, impossible interrompe la lecture .


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Merci beaucoup à Babelio pour cette masse critique privilégiée et aux Éditions Belfond de m'avoir permis de découvrir ce livre.
Dans cette histoire, nous allons faire la connaissance de la Commandante Sorel qui est négociatrice au Raid, une des seules femmes employées au Raid.
Suite à la disparition de deux cars avec soixante-six enfants à bord. La police va être mise sous des charbons ardents. le kidnappeur, car oui c'est un homme, libérera un enfant et le conducteur ainsi que les accompagnants. Ils seront retrouvés avec les bus à Montpellier.
Donc, le kidnappeur, Gérald Mansour, va désigner la Commandante Sorel pour les négociations. le premier négociateur a été refusé par Gérald Mansour. Celui-ci est un manipulateur né. Un jeu de dupe va commencer.

Comment la Commandante Sorel va-t-elle déjouer les plans de Gérald Mansour ?
Y Réussira-t-elle ?
Un beau duel va les opposer à distance.
Franck Leduc nous entraîne dans un polar de haute voltige, très cinématographique. Grâce à de courts chapitres qui alternent entre la police et le kidnappeur, on assiste à un roman très rythmé et dynamique.
La psychologie des personnages est superbement analysée et extrêmement bien décrite, et l'on voit apparaître la dualité qui les habite.
Dans ce policier, on est happé par l'histoire et les pages se tournent toutes seules. C'est un roman qui nous captive et que l'on n'a pas envie de lâcher.

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Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un polar aussi prenant ! Il est vrai que ces derniers mois j'en lis beaucoup moins, la faute à cette foutue sensation de toujours lire la même chose mais surtout, à écrire le même genre de chronique. Depuis l'an dernier, j'ai amorcé un petit virage et suis revenue à des genres qui m'ont toujours plu, mais que j'avais délaissés au profit des polars.

Du coup, lorsque je lis un polar aujourd'hui, je me dirige souvent vers des valeurs sûres et surtout, je cherche cette sensation de renouveau.

J'avais bon espoir avec Duel, car franchement, le pitch m'a carrément accroché et je me suis même demandé s'il n'y avait pas une pointe de fantastique, ce que j'apprécie particulièrement dans le mélange des genres. Et même s'il n'y a point de fantastique, Duel a été une excellente lecture !

L'intrigue impose son rythme dès les premières pages, avec une tension palpable, donnant de suite un souffle plein de suspense. L'auteur ne s'embarrasse pas de fioritures avec des phrases trop longues, c'est cash, direct, descriptif, rythmé et je dirais même plus que prenant ! La plume est fluide, ciselée, les chapitres sont courts et percutants. Tout est savamment dosé pour former un équilibre parfait entre intrigue, dialogues et enquête.

L'auteur mêle à la fois une enquête pour trouver le coupable, mais aussi une course contre la montre, que le ravisseur impose. Il construit un scénario très visuel, sonore où le lecteur prend part intégralement à son histoire. Il est à la fois spectateur du déroulé de l'intrigue, mais aussi acteur, puisqu'il a la sensation de participer aux événements qui mettent à mal toute une équipe.

C'est une intrigue menée tambour battant et sans temps mort, où la loi du plus fort impose son rythme, mais où l'intelligence, le travail d'équipe donne le ton d'une densité palpable.

C'est aussi l'occasion pour lui, d'évoquer les contraintes d'un métier aussi secret que contraignant, en le mettant au coeur de son récit, il valorise ainsi un métier évoqué seulement lors de faits divers. Ce qui permet de se rendre compte que derrière ces fonctions se trouvent des femmes et des hommes dont le travail a tout son sens.

C'est un livre qu'on lit avec plaisir, un vrai page turner que j'ai eu du mal à lâcher et dont l'auteur détricote les fils tout au long du récit, donnant le sentiment au lecteur de participer activement à une enquête rythmée, dense, où la mort est présente et palpable. le final est d'ailleurs digne du grand banditisme, et on en redemande ! Un duel entre le bien et le mal, mais surtout entre la justice et le profit. Tout est une question de dualité…
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Quand on m'a proposé de recevoir ce livre pour la masse critique, je n'ai pas hésité une seconde. le résumé était déjà très prometteur. Et puis, je trouve que suivre le raid change des livres habituels. Ça donne une autre vision des choses et j'ai adoré.

Cette plongée dans le raid, cette angoisse de savoir des enfants disparus ont fini de me conquérir. J'ai frôlé le coup de coeur. Ce thriller implacable nous plonge dans cette enquête hors norme où quasiment tout se joue dans les négociations que Talia doit assurer à la demande du preneur d'otages.

Les chapitres courts m'ont poussés au fameux chapitre de plus et j'ai donc mis moins de 24 heures à le lire. Quand on commence à se plonger dans ce thriller, il est quasiment impossible de le reposer. J'ai lutté contre le sommeil car il ne metait pas possible d'être raisonnable.

C'est brillamment écrit, et l'auteur sait nous tenir en haleine jusqu'à la dernière page. le final est brillant et j'avoue que j'avais hâte de connaître le dénouement. Il est haletant, surprenant et complètement addictif.

Je ne peux que vous conseiller de découvrir l'auteur et ce thriller!!! Foncez sans hésiter.
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Talia est une négociatrice réputée au sein du Raid. Lorsque la jeune femme est appelée en urgence dans une affaire des plus mystérieuses, elle n'hésite pas à répondre présente. Un kidnappeur tient en otage deux bus scolaires avec à leur bord soixante-six enfants, et il est formel. Il ne veut négocier qu'avec Talia. Pour la jeune femme, c'est l'une des missions les plus compliquées de sa carrière qui va commencer.

Ce roman va à toute vitesse et j'ai passé un excellent moment de lecture, sans jamais jamais m'ennuyer. Je ressors bluffée par le talent de l'auteur qui a su garder un rythme effréné tout au long de son intrigue et sans jamais faiblir.

Dès le début, j'ai été happée par cette histoire et j'ai tourné les pages rapidement afin de savoir ce qu'il en était. Il m'a semblé qu'il y avait deux parties assez distinctes dans l'intrigue, et même si j'ai quelque peu préféré la première moitié du roman, la seconde n'est tout de même pas en reste.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Talia, qui est une femme battante et affirmée, et ce n'est pas toujours facile, puisqu'elle travaille dans un milieu essentiellement masculin. Pourtant, elle sait s'imposer. J'ai trouvé ce personnage remarquablement dépeint et elle réussit à porter l'intrigue presque à elle seule.

Le suspense est maintenu du début à la fin. le dénouement est surprenant, et j'ai trouvé la fin ouverte, ce qui pourrait éventuellement laisser présager d'une suite.

Un roman dont le rythme effréné ne faiblit pas tout au fil des pages. L'intrigue est très bien menée et le suspense présent constamment. À découvrir.

Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Merci tout d'abord à Babelio et aux éditions Belfond Noir pour l'envoi de ce livre que j'ai lu avec un certain plaisir.
le début du livre est en effet plaisant et prenant avec deux personnages principaux intéressants, une négociatrice du RAID et un preneur d'otage manipulateur. Et puis cette prise d'otage mystérieuse constitue un bon début.
Un certain plaisir donc, mais sans excès cependant. J'ai trouvé que l'intrigue était un peu plus confuse en deuxième partie et tous les personnages ne sont pas inégalement crédibles. Je n'en dis pas trop bien sûr pour ne pas divulgâcher !
Quoi qu'il en soit, une lecture plaisante pour la plage cet été !
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Les forces de l'ordre françaises sont confrontées à un fait divers inédit: deux cars scolaires transportant soixante-six enfants en classe de neige ont disparu depuis une semaine, évaporés sur une route des Alpes. Pour le commissaire Sheperd de la cellule antiterroriste interarmée, il s'agit d'une affaire hors-norme qui n'est pas sans rappeler l'énigme du vol MH370 de la Malaysia Airlines. La comparaison est de taille. Avec sa collègue Eve Melville, le commissaire a mené l'enquête la plus démentielle de sa carrière, sans aucun succès. Jusqu'au coup de fil d'un certain Gérald Mansour, qui se prétend être le ravisseur et souhaite monnayer la libération des enfants. Mais il ne veut parler qu'à une seule personne, la négociatrice Talia Sorel, officier de liaison du RAID, qu'il semble vouloir séduire. Sheperd se méfie de Sorel, serait-elle une taupe dans cette affaire qui dépasse la raison ?

Voici un thriller dont le pitch de départ m'a tout de suite interpellée: la disparition de deux cars bondés d'enfants, sur une route de montagne. Pas un mais deux. Pas de panne, pas d'accident, le néant auquel se heurtent les parents, les forces de l'ordre, le pays entier. Qu'a donc pu inventer cet auteur que je ne connaissais pas pour venir à bout de cette proposition terriblement osée. Je ne le cache pas, celle-ci m'a semblée à la fois très intéressante mais également tirée par les cheveux…

Et bien, mon impression est celle-ci : au fur et à mesure que l'on avance dans cette intrigue diabolique, le réalisme semble prendre le dessus. Etonnamment, l'explication donnée à la disparition de ces deux bus scolaires est cohérente. L'auteur puise les racines de cet acte dans l'exemple donné par un fait divers issu des conflits somaliens, il l'applique en France et ajuste habilement le dénouement de son intrigue en faisant la part belle à Talia, la négociatrice du RAID, animée d'un courage et d'une intelligence exceptionnels. Il faut dire qu'elle doit faire face à un être doué d'un réel talent pour la manipulation mentale… le coup de maitre de l'auteur est de traiter le sujet des négociations entre terroristes et forces de l'ordre avec une parfaite maitrise. Je ne m'attendais pas à la tournure prise par le récit, mais je n'ai pas été déçue, loin de là. le suspense est présent du début à la fin, l'intérêt ne faiblit jamais pour cette intrigue machiavélique à souhait !
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
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Déjà deux semaines que deux cars scolaires ont disparu de la circulation avec soixante-six enfants partis en classe de neige. Un fait divers qui inquiète la France toute entière. Une aubaine pour les médias mais une énigme insensée pour l'unité d'élites. Pervers narcissique, le coupable leur donne du fil à retordre et d'autant plus quand il impose ses volontés. Il décide de communiquer uniquement avec Talia Sorel mais pour quelles raisons et surtout, comment connait-il son identité ?

Aucune trace, pas de piste le néant complet jusqu'à cet appel du ravisseur. Un homme qui ne veut parler qu'à la négociatrice Talia Sorel la nouvelle recrue du RAID. Une exigence qui ne plaît pas forcément au commandant Shepherd chargé de l'enquête
Avec ce quatrième roman, Frank Leduc éclaire une unité méconnue des forces de l'ordre : le RAID.

Entre cette négociatrice surqualifiée et ce ravisseur, un duel d'intelligence se crée et c'est ce qui rend l'enquête aussi intéressante

Analyse psychologique de techniques de manipulation et de négociation ,
flashbacks qui rajoutent du piment à l'enquête, une écriture qui nous donne l'impression de faire partie de l'équipe du raid..

. À la manière d'un puzzle dont les pièces se sont dispersées entre le passé et le présent, Frank Leduc suscite le suspense avec de courts chapitres. Un thriller palpitant.
Lien : http://www.baz-art.org/2024/..
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Huitième livre de Frank Leduc, Duel s'impose comme un thriller particulièrement palpitant où la personnalité démente du cerveau d'un kidnapping, hors norme, va donner pas mal de fil à retordre aux services de police et notamment à Talia Sorel, négociatrice du RAID, aguerrie aux situations de manipulation. L'intrigue est comme montée au millimètre. Impossible d'anticiper, tant le lecteur est propulsé au coeur d'une situation diabolique, tortueuse et machiavélique.

Soixante-six enfants ont disparu. Pas un, mais deux cars volatilisés, sans laisser aucune trace. Un départ en colonie stoppait net. Seulement, aucune revendication n'est parvenue depuis une semaine. L'émotion du pays est à son comble. La police est ridiculisée, car, au bout de six jours, pas la moindre piste, aucune image, aucune nouvelle des enfants, de leurs encadrants et des deux chauffeurs !

Un forcené, Edouart Journel, vient de tuer sa femme et s'est enfermé avec Alice et Nicolas, ses enfants, qui vont assister à sa mort. le Raid est commandé par Talia Sorel. Elle est aussi négociatrice. Et c'est Julien, un de ses collègues, psychologue, qui sauve les enfants en enfreignant la règle !

Deux ans plus tôt, Gérald Mansour, un téléopérateur au talent hors norme, est licencié au Maroc par le chef d'exploitation Patrice Esteban.

Voilà de ses trois situations complètement distinctes, Franck Leduc va dérouler son intrigue, dévoilant petit à petit, la personnalité de l'organisateur de l'enlèvement, ses intentions, ses talents, sa méthode et son mode opératoire.

Côté police, en plus de Talia et Julien, il y aura Thomas Shepherd, qui possède la rigueur due au commandement de la cellule antiterroriste interarmées, épaulé d'Eve Melville, capitaine qui mélange méthode et instinct.

Duel entre deux spécialistes de la manipulation
Franchement, à la lecture de la quatrième de couverture, je ne voyais pas comment Franck Leduc allait tenir pendant plus de 370 pages, avec son histoire d'otages de colonies de vacances et sa négociatrice du Raid.

Seulement, le suspense se construit pas à pas en dévoilant petit à petit des éléments de ce qui a amené le manipulateur, hors norme, a accepté une « mission », extrêmement plus complexe qu'il n'y paraît.

Cet engrenage, en forme de toile d'araignée, se déploie en laissant le lecteur, envahi de peur et d'inquiétude (les victimes sont des enfants). À chaque fois, des suites possibles sont anticipées, mais s'effondrent, tel un château de cartes à l'équilibre incertain.

L'imagination diabolique de Franck Leduc sidère, tant elle nous manipule. Tout y est parfaitement orchestré par un soin littéraire méticuleux. Ce thriller est éprouvant, non par l'épouvante qu'il décrit, mais l'état d'ascenseur émotionnel ressenti à sa lecture.

Nous assistons au combat de deux intelligences, l'une au service d'une satisfaction malsaine et personnelle et l'autre, à la protection d'une population mineure. Duel est intense, pas du tout tranquille, aux rebondissements savamment distillés par le combat de deux cerveaux aiguisés.

Aucun temps mort sur cette mise en lumière du service méconnu d'intervention, d'assistance et de recherche qu'est le RAID, créé en 1985, au sein de la police nationale. Loin d'une affaire de terrorisme, trop traumatisante depuis les attentats du 13 novembre, Franck Leduc choisit d'imaginer un fait divers, qui ne deviendra pas un bain de sang, pour mettre en situation ce corps d'élite dont la devise est « Servir sans faillir ».

Peu de sang, peu de violences, mais de la réflexion dans ce thriller où la pensée malsaine de l'un devra être déjouée par l'expérience, le savoir et l'intuition de l'autre. Un vrai régal !
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Bonsoir les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 382 pages sur ma liseuse.
Un thriller psychologique mené de main de maître. Un rythme qui ne faiblit pas du début à la fin. L'auteur divulgue les informations au compte gouttes pour maintenir le suspense.
J'ai adoré la négociatrice Talia face au ravisseur intelligent et manipulateur.
Des rebondissements inattendus font que l'on ne s'ennuie jamais.
Dommage pour la fin un peu prévisible et quelques ficelles un peu grosses mais ça passe sans problème.
Merci à Mad75 qui m'a fait lire ce livre avant ce qui était prévu et franchement sans aucun regret.
Toutefois, comme je le précise toujours, ceci est purement personnel.
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