Un monde inconnu s'étendait de l'autre côté d'un mur infranchissable. Il avait, comme son père, conscience d'en être complément coupé. Ce monde ne le concernait pas. Le monde appartenait aux autres, pas à lui. (p. 65)
Je vivais depuis longtemps déjà, avec au cœur le sentiment panique d'être condamné à roder aux confins de l'univers (p74)
Comment appeler liberté l'errance de celui qui n'a nulle part où aller ?
Une libraire de Mollat présente La vie rêvée des plantes