Demain j'arrête !

Je dois avouer avoir eu du mal à finir ce livre. le début n'est pas mal, quelques touches d'humour, le personnage central attachant. Et puis on a l'impression qu'il ne se passe rien, on suit ce personnage sans trop savoir où il va, bien qu'on se doute de comment ça va finir.
Quelques invraissemblances sur la fin...
Un livra à lire pour se détendre...

Gilles Legardinier aime les chats ! ( moi aussi ) : ce qui explique que la première de couverture avec un "minou" sympa coiffé d'un bonnet péruvien..plus le titre accrocheur aient suffi à me lancer dans la lecture de ce roman "cool" de l'été !
C'est l'histoire d'une jeune femme moderne complétement "déjantée " qui va rencontrer l'homme de sa vie ou pas ? et tout au long du récit, elle va se poser des questions, se lancer des challenges " farfelus", s'imaginer des "scenari" "improbables...entre le coeur et la raison, entre le réel et l'imaginaire, l'héroïne nous embarque dans toutes les contradictions des femmes de sa génération et dans sa quête du bonheur !
Opération réussie car le livre est un vrai moment de détente, d'optimisme et d'humour !
Enfin, Gilles Legardinier rend un superbe hommage à toutes les femmes ( celles qui l'ont aidé et à nous, lectrices ! ).

Sur la foi de tout un tas de critiques élogieuses, à la faveur aussi des longs trajets en train qui m'attendaient, je me suis laissée tenter par ce livre, que j'avais jusqu'alors prudemment mis de côté (le titre, la couverture, le résumé... Bof).
Bon, commençons par le positif : ça se lit très vite, sans se prendre la tête (parfait pour le train, on n'a pas besoin d'être au top de sa concentration !), et il y a des formules rigolotes qui m'ont fait sourire. Voilà.
Du côté du négatif, je m'attendais à quelque chose d'assez drôle et enlevé dans le genre "Bridget Jones" ; en fait, le style m'a plutôt fait penser aux magazines pour ados ; au début c'est sympa, mais vite lassant et, surtout, cette héroïne un peu bêtasse, prête à tout quitter et prendre tous les risques pour un homme qu'elle a à peine croisé... Euh ? C'est ça la psychologie féminine ? Elle aurait 15 ans, on se dirait, bon, OK (et encore), mais elle en a presque 30 ! du côté des bonnes copines (inévitables), on accumule les clichés, de la tarée aux seins siliconés à la foldingue accro aux pompiers qui, miracle !, en rencontre un en Australie (et bien sûr, le superbe pompier australien décide de tout quitter pour elle du jour au lendemain et vient l'épouser en France ; ben voyons !). Il y a aussi, naturellement, la nana amoureuse d'un homme marié qui la mène en bateau, les vieilles dames adorables (dont une en phase terminale de cancer) pour le côté émouvant... Rien ou presque ne nous est épargné. J'ai l'air un peu sévère, mais j'avoue que les cinquante dernières pages, je les ai juste survolées, espérant que j'avais raté le second degré et que la fin viendrait atténuer le côté rose bonbon un peu bêta. Eh bien pas du tout ! La fin est encore plus rose bonbon que le reste ; en fait de Bridget Jones, on lorgne plutôt vers Barbara Cartland. Cela n'a rien d'infamant, mais ce n'est vraiment pas ma tasse de thé.

Deux étoiles et c'est plutot1 et 1/2.
C'est de la chick-lit, déjà, il ne faut pas demander trop, parait-il.
Commençons avec les qualités: cela se lit facilement et quelques personnages sont sympathiques et crédibles,(d'ou mes deux étoiles).
Mais qu'est-ce qu'on a du mal a croire à l'histoire et que des clichées (les banquiers sont méchants et font des choses qui ne servent à personne, les boulangers sont gentils et utiles; les riches sont méchants aussi et tentent tout le temps de arnaquer les pauvres)
Ouf!!!

Déçue, malgré une très bonne critique et les conseils d'un libraire. Genre le journal de Bridget Jones en moins bon. Un peu drôle, un peu léger. Ferait peut-être une bonne comédie pour le cinéma. Pourtant s'annonçait prometteur dans le début avec la scène de la boîte aux lettres.

Comme beaucoup j'ai acheté ce livre pour sa couverture "chaton avec bonnet péruvien".

les 398 pages ont été lues en 2 jours.

L'histoire de Julie, de Ric ainsi que celle des nombreux autres personnages est amusante : j'ai souris, j'ai même parfois été émue (la consolation de la petite Lola, la mort de la voisine Mme Roudan, celle du chien).

L'ambiance de ce roman m'a fait penser à celle des romans d'Anne Gavalda : un monde où, à quelques exceptions près, " tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil".



ce livre est une jolie lecture pour les vacances.... lecture distrayante et pas "prise de tête".

J ai essayé ce roman anti-déprime et je n ai pas vraiment aimé. le style est trop pauvre pour mes goûts. Les personnages trop caricaturaux et naïfs.
Ceci dit je comprends que cela plaise beaucoup, c est drôle et rythmé.

"Quoi? t'as jamais lu Legardinier? Mais c'est suuuuuper!"

"Legardinier? Pffff, c'est du roman de gare, oublie!"

Et oui, cher lecteur, comme une fois de plus j'étais la seule à ne pas avoir découvert LE phénomène littéraire (et surtout financier) de ces dernières années, j'ai fini par me lancer dans la lecture de ce roman, séduite par la jolie couverture fuschia et le joli chat-chat à chapeau. Ou pas. Ok, en vrai j'en ai pioché un dans la pile (de toute façon y'avait toujours des chats) et c'est tombé sur celui-ci.

L'histoire est celle de Julie, une jeune femme fascinée par son voisin, et prête à tout pour le séduire. Une intrigue novatrice et prometteuse s'il en est.

Bon, j'arrête d'être vilaine. le ton est enjoué et plutôt sympathique et la lecture de ce livre est très facile. Julie, bien qu'un peu (beaucoup,) godiche, a un côté attachant, et certaines scènes sont franchement amusantes. Pour être tout à fait honnête, au début, c'est vraiment agréable, on sourit à pas de situations qui sentent le vécu, et la découverte du personnage et de son petit univers est réjouissante. Bref, pendant les 100, 150 premières pages, on s'amuse et on passe un bon moment. Puis, ça devient un peu répétitif, cette idylle qui ne démarre pas, cette intrigue qui n'en est pas une, cette Julie aussi, qui finit par nous énerver... C'est assez lassant, et vaguement ennuyeux. Et là on s'aperçoit qu'il reste 200 pages.
Ce sont 200 pages de trop. J'ai terminé ma lecture (parce que je pensais à ma chronique, oui, lecteur, j'ai fait tout ça pour toi, ne me remercie pas!) mais...
Lien : http://mademoisellemalenia.o..

Aie Aie Aie Aie... Air qui manque.
Le truc marketing par excellence.
Et dire que le monde de l'édition est un territoire de femmes depuis deux décennies...
Donc, nous, la gente féminine nous DEVONS acheter ce bouquin. Passe ke la guimauve et les clichés c'est bon pour NOUS.
Vive nous, les bimbos tcharbées ou insupportables, ou les deux.
Et puis vive nous passe kon fait bien rire, n'est-ce pas. Mon Dieu....
Je suis heureuse. Je devrais l'être. Cet auteur a trouvé LE créneau.
Si au début ça prête à sourire, j'ai eu l'intuition d'être prise pour une imbécile par un système éditorial.
Désolée. Pas pour moi.
Mais d'autres sont heureuses. Certainement.

J'avais hâte de finir ce livre. Quel soulagement d'arriver à la dernière page !
Cette histoire m'a ennuyée, mais comme je suis têtue, je l'ai terminée. Ça manquait de peps. J'ai trouvé l'héroïne fadasse, cruche et cinglée aussi. J'étais pareille à 16 ans ( elle fête ses 29 ans dans le livre ! ). C'est un roman feel-good et pourtant je ne l'ai pas trouvé vraiment réjouissant. Je n'ai pas ri quand j'étais supposée le faire. En fait, à aucun moment je n'ai ri. Tous les personnages m'ont laissé indifférente, je n'ai pas compris leur personnalité. J'ai trouvé son pote et la construction de son bolide terriblement ennuyeux. Bon j'avoue, j'ai quand même versé une petite larmichette, mais je ne compte pas le nombre de fois où j'ai levé les yeux au ciel !
J'espère que les autres livres de cet auteur sont meilleurs, car j'en possède plusieurs !