Une fois ce bel objet entre mes doigts, je l'examinais sous toutes coutures.
Le parfum qui s'en dégage, l'aspect lisse, les dessins qui en relief accentuent ce qu'il a à me livrer, tout dans ce bel objet m'incite à en profiter.
Son propriétaire m'en assure un moment inoubliable, voir tordu et même coquin.
Je ne me laisserai pas abuser, et je jure devant vous lecteurs, donner mon avis, que dis-je mon ressenti en toute impartialité.
Dès les prémices, j'ai l'oeil qui frise et la narine palpitante. Je commence à être très détendue des zygomatiques.
Ah j'aime les nouvelles et celles-ci sont bonnes, par ces temps moroses et la conjoncture économique qui s'effondre sur certains plus que sur d'autres, j'ai l'impression d'être une privilégiée.
Rassurez-vous, je ne suis pas égoïste, je partage surtout les bonnes choses.
Et puis nous les femmes nous aimons échanger nos recettes, nos lectures, et bien d'autres choses et je vais vous dire, faites un beau cadeau pour la fête des pères, n'hésitez pas mais ensuite assumez...
Vous rencontrerez, Angélique, Alice, Aline... (on dirait une pub pour la véritable Andouillette AAAAA!) et bien d'autres, plus vivant et amusant que votre télé et ses séries en série.
Notre Isidore, excusez-moi pour cette familiarité, mais ce moment de vie en rose partagé, m'y autorise ; notre Isidore disais-je a été allaité aux biberons de
San-Antonio et de
René Fallet dont il est un digne héritier.
Remerciements à l'auteur de la part de mon apophyse qui présente l'écaille de mon temporal qui s'articule avec le bord postérieur de mon os malaire.
Remerciements à la dessinatrice,
Isa Python, dont le réalisme du trait en dit long sur le sujet, sans aucune vulgarité, juste du talent .
Pour plus de renseignements ; c-angledroit.publibook.com