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4,12

sur 4353 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Force m'est de constater en refermant ce troisième et dernier tome de la trilogie de l'entre-deux-guerres, que ma lecture a été un peu laborieuse.

Je me faisais pourtant une joie de retrouver la plume de l'auteur : quel personnage allait être développé ? Quel rocambolesque sort attendait les personnage ? de quoi l'auteur allait me parler ?

Il est vrai que j'ai déjà beaucoup lu sur La ligne Maginot, et je n'ai pas retrouvé au début du roman l'idée que je m'en faisais.

L'enquête de Louise m'a paru à la fois longue et rapidement réglée. Avec un happy end déroutant.

J'ai aimé le personnage de M. Jules, patron de bistrot avec le coeur sur la main.

A ce propos, en ces temps incertains et troublés, beaucoup de personnages, certes secondaires, du roman ont le coeur sur la main. Je n'aurai pas parié la dessus – mon côté optimiste, sans doute.

J'ai aimé le trublion caméléon à la verve toujours à propos. Je me demandais à chaque fois dans quel situation j'allais le retrouver.

Des personnages attachants, il est vrai, mais un roman qui manque de concision, et qui m'a donné l'impression que l'auteur tirait à la ligne.

J'ai toutefois apprécié d'apprendre certains détails de cette fameuse débâcle : la Banque de France qui brûle ses billets ; la déroute de l'armée qui ne sait pas où envoyer ses hommes.

J'ai souris avec les maximes de l'Armée reprise par Raoul pour se donner du coeur à l'ouvrage.

J'ai aimé le parallèle entre les réfugiés de la débâcle et les réfugiés actuels. « Il prétend que ces gens ont des droits ! En pleine guerre, quel con ! p.501

J'ai aimé que Ferdinand transporte avec lui le troisième tome des Mille et une Nuits : des histoires rocambolesques pour tenir le sultan éveillé.

Toutefois, j'ai connu l'auteur plus percutant.

L'image que je retiendrai :

Celle très visuelle des files de fuyards sur les petites routes de France.
Lien : https://alexmotamots.fr/miro..
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Aie aie aie ! Avec le troisième tome de la trilogie « Les enfants du désastre » j'ai perdu mes illusions (vous l'avez ?). Après l'immédiate après-guerre et ses deux héros inoubliables que sont Édouard Péricourt et Albert Maillard qui se lancent dans une rocambolesque arnaque aux monuments aux morts, après la fresque vengeresse et jubilatoire de Madeleine Péricourt qui nous plongeait dans les temps troubles des années 30, nous voilà, avec Miroir de nos peines, dans la « drôle de guerre » et la débâcle suivie de son long exode vers le sud. de quoi clôturer efficacement cette période de l'entre-deux-guerres. Mais quelle déception ! Alors que les deux précédents opus réussissaient avec maestria à mêler Histoire et destin personnel, ici, tout paraît plus laborieux et forcé, comme si Pierre Lemaitre avait fait entrer à grand coups de marteau ses personnages dans quelques événements – bien réels – de la débâcle. Et même l'humour noir, le ton caustique et l'ironie sont plus fades, voire même oubliés sur le bord de la route, sans doute abandonnés dans une fuite désordonnée ou tués par l'aviation allemande.

Et pourtant, ça commençait plutôt bien. Il ne faut pas enlever une chose à Pierre Lemaitre : il a indubitablement le don d'écrire des premiers chapitres aux images fracassantes. Ici, on suit Louise Belmont, rappelez-vous, c'est la petite fille de la logeuse d'Édouard Péricourt dans le premier tome. Louise, comme tous les enfants de ce monde, a bien grandi et est devenue une adulte. Institutrice, elle est aussi serveuse dans un petit restaurant tenu par le pittoresque M. Jules – sans doute le personnage que j'ai préféré, qui a conservé un peu de truculence. Louise vient de perdre sa mère, une mère qu'elle a toujours connue dépressive, n'ayant jamais surmonté la mort de son mari. Quand elle songe à elle, ce n'est pas en tant que « maman » mais en tant que « Jeanne » : les liens mère-fille, s'ils ne sont pas inexistants, sont ténus. le grand drame de la vie de Louise, c'est sa stérilité. Elle est belle Louise ! Elle attire tous les regards, elle n'a pas manqué de soupirants, elle a même été fiancée. Mais elle n'est jamais tombée enceinte, et ça, ça la ronge, ça la rend triste et mélancolique. Alors, quand un habitué de vingt ans du restaurant de M. Jules lui propose un jour de la payer pour se mettre nue devant lui, Louise n'hésite pas trop longtemps. Elle tergiverse un peu, mais finit par accepter. Elle se rend à l'hôtel qu'il lui a désigné, se déshabille lentement, un peu retenue par sa pudeur, lui tourne le dos pour lui montrer ses fesses. Et puis, soudain, la déflagration. le vieux docteur vient de se tirer une balle dans la tête. Sous le choc, Louise, nue, sort de la chambre et s'enfuit en courant dans les rues de Paris.

Cet événement est le début d'une quête dont, personnellement, je me fiche : Louise découvre que le vieux docteur a été l'amant de sa mère. Et qu'ils ont eu ensemble un enfant. Enfant qu'elle décide de retrouver. Pourquoi ? Parce qu'il faut résoudre les secrets de famille, parce que Louise n'a rien d'autre à faire ? Parce qu'il faut un prétexte bien commode pour la jeter sur les routes pendant l'exode ? Je penche pour cette dernière solution – bien que, très honnêtement, quand l'armée allemande s'apprête à envahir Paris, n'a-t-on pas d'autres préoccupations ? Mais soit, c'est un roman.

En parallèle, nous suivons deux soldats sur la ligne Maginot : Gabriel et Raoul Landrade. le premier est un professeur de mathématiques, inquiet, ne supportant pas d'être enfermé dans ce blockhaus géant. Il a une peur bleue d'une attaque au gaz qui le verrait suffoquer comme un rat dans cet espace confiné. le second est un de ces hommes qui fleurissent en temps de guerre : volontiers « aventurier », prêt à saisir toutes les occasions pour s'enrichir. Raoul organise très vite des petits trafics, flanqué de ses deux acolytes. Violent, sans foi ni loi, Landrade est particulièrement antipathique et semble avoir pris en grippe le fade Gabriel, qui se voit embarquer malgré lui dans les combines de son compagnon d'armes. Avec eux, le lecteur subit l'attente interminable de cette « drôle de guerre » où personne ne bouge, où rien ne se passe, où l'ennui est maître. L'absurdité de leur encadrement, l'inutilité de leur présence ressortent parfaitement de ces pages. Jusqu'à ce que l'Allemagne entre en guerre et avance comme dans du beurre dans les défenses françaises. L'aveuglement de l'état-major, les ordres stupides et contradictoires envahissent tout. J'ai eu le sentiment étrange et pénétrant de me retrouver devant Mais où est donc passée la septième compagnie ?

La guerre aidant, il se passe enfin quelque chose : Gabriel accomplit le seul acte héroïque – et complètement inutile – de ce roman : il fait sauter un pont (ce qui n'empêchera pas l'armée allemande de contourner facilement l'obstacle) et s'enfuit avec l'aide de Raoul. L'un veut retrouver son unité, l'autre le mène sur le chemin de la désertion et du pillage. Ils se feront prendre : et quand on perd une guerre aussi facilement, ce n'est pas la faute à l'impréparation de l'état-major, mais aux traîtres, communistes, anarchistes, cagoulards ou déserteurs, qui ne manifestent pas une grande volonté de combattre et de lutter contre l'envahisseur. Gabriel et Raoul sont dans de mauvais draps et sont envoyés à la prison du Cherche Midi.

À Paris, la désinformation s'organise, à défaut de pouvoir organiser une stratégie militaire réellement efficace. On fera alors la rencontre de Désiré, un escroc aux dents longues, qui endosse de nouvelles identités comme je change de vestes. Désiré avait l'étoffe d'un personnage machiavélique, il ne sera qu'un personnage secondaire, intéressant mais sous-exploité. Désiré s'est introduit à l'hôtel Continental, a gravi les échelons avec une facilité déconcertante – il faut dire qu'en cette période trouble, toutes les bonnes volontés à servir un gouvernement en déroute sont les bienvenus – jusqu'à parvenir au Graal : il est chargé de communiquer des nouvelles rassurantes aux journalistes de presse. La France ne recule pas, elle avance en marche arrière ! L'hypocrisie est à son comble, les nouvelles désinformées atteignent des sommets d'aveuglement et de bêtise. C'est drôle, et en même très triste quand on sait que Pierre Lemaitre n'a rien inventé…. Désiré, en passe d'être découvert, s'enfuira. de toute façon, la guerre est déjà perdue, sa tâche était accomplie. On le retrouvera plus tard, sous les traits d'un prêtre accueillant les réfugiés, avec le même bagou.

On fera aussi la connaissance, bien plus tard dans le roman, d'un garde mobile, Fernand. Celui-ci est bien conscient que la guerre est perdue. Il constate que l'administration française, prise de court, applique la politique de la terre brûlée : en hâte, elle se débarrasse de tout ce qui ne doit pas tomber entre les mains de l'ennemi. Et voilà le brave homme, qui n'a jamais fait la moindre vague, soumis à une tentation à laquelle il ne résiste pas. C'était attendu par le lecteur, et l'épisode ne sera rien de plus qu'anecdotique et décevant. Après son larcin, Fernand est chargé d'évacuer les prisonniers du camp du Cherche Midi vers Orléans.

À ce moment-là, on est à plus de la moitié du roman, et enfin, nos différents personnages commencent à se rejoindre. Jusqu'à présent, il n'y avait aucune interaction entre eux ! Leurs histoires ne se regroupaient pas, le lecteur ne voyait absolument pas comment tout pouvait s'imbriquer. Et c'est bien là où le bât blesse : nous ne sommes pas devant un roman-feuilleton à la Dumas comme pour les précédents ouvrages, en somme, pas de romanesque et de grandes péripéties : le lecteur a l'impression de se retrouver devant une succession d'épisodes anecdotiques, comme si Pierre Lemaitre avait pioché quelques événements historiques que ses personnages illustrent sans se soucier de créer une unité entre eux. Conséquence : l'ennui.

Ça m'attriste vraiment, mais Miroir de nos peines est une déception. Pierre Lemaitre a visiblement oublié de créer une histoire romanesque dans l'Histoire. Pour être tout à fait franche, sa ligne principale est dirigée par la résolution d'un secret de famille. Or, je l'avoue bien volontiers, je ne suis pas du tout friande de ce genre de roman. Bien souvent, c'est un soufflé qui ne monte pas et qui laisse un goût d'inachevé assez amer. C'est le cas ici où tout me semble anecdotique et plat, je n'ai pas retrouvé la tension qui menait Au revoir là-haut et Couleurs de l'incendie (parce qu'il n'y a pas de suspens quant à la résolution de l'énigme qui n'en est pas une). Les personnages ne m'ont pas transportée, certains sont franchement antipathiques et caricaturaux (ici pas de personnages que l'on aime détester), ils n'ont soit pas la nuance soit pas l'extravagance des autres ouvrages. Et ils n'ont pas vraiment de motivations : ils sont jetés sur le papier comme les Français ont été jetés sur les routes, perdus et hagards, désespérés et sans but.

Même le style n'est pas au rendez-vous. Il est fade et ne fait plus mouche. Les traits d'humour noir sont quasiment absents, les outrances ont disparu, les dialogues n'ont plus ni sel ni piquant. Ni romanesque ni rocambolesque, ni grandeur ni décadence, ni caustique ni ironique, ni tragique ni comique. Aucun souffle épique. Rien. C'est creux, vide et sans vie. Une vraie déroute.
Lien : https://enquetelitteraire.wo..
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Je viens de commencer ce roman. Et déjà, page 16, je me régale.
Je retrouve la gouaille de Pierre LEMAITRE, sa belle et tonique écriture ! Son goût pour l'histoire, celle des Gens.
Avec cet Ecrivain, pas besoin de patienter 100 pages pour que l'histoire démarre. Pierre LEMAITRE= le Romancier.
Alors, désolé, mais je replonge dans ce Roman!
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Re-trouvaille… Pierre Lemaitre nous offre un ultime volet qui n'a rien pour nous surprendre mais, dès lors que l'on sait s'abandonner à ce conte des mille et une vies pendant l'exode, a tout ou presque pour nous plaire : humour, imagination débordante, personnages attachants, rigueur historique. On passe un très bon moment à lire, non pas Miroir de nos peines mais Pierre Lemaître : car il affleure à toutes les pages cet auteur qu'on aime pourtant, il fait du Lemaître, il le fait bien (et pour cause) mais on peine parfois, presque, à se perdre dans le récit, pour se voir lire Pierre Lemaître.
Il était peut-être temps que l'aventure se terminât, pour ne pas tomber, rester sur une bonne sensation, tout en ayant, à l'idée quand même, que l'on est content d'arriver.
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Pour être honnête, j'y suis allé plutôt à reculons tant les récits autour de période de guerre me sont pénible à lire.
Mais bien sûr, Pierre Lemaitre n'est pas n'importe qui et je dois dire que tout dans ce récit m'a plu.
Les personnages tous très bien trouvés et surtout ce couple de bidasse improbable que tout oppose mais que l'on suit tout du long sans jamais imaginer comment cela pourra finir.
Les personnages féminins aussi ne laissent pas indifférents et qui dire de Désiré, génial acteur qui se fond dans ses rôles à merveilles.
Enfin le contexte de la grande débâcle du début de la seconde guerre mondiale est très bien transcrit, cette période de grande panique, en sauf qui peu général, l'attente dans la ligne Maginot pendant que les Allemands la contourne, les convois de civils qui quittent Paris, cela aurait pu être plombant, heureusement le récit est presque éclairant et jamais ennuyeux.
On regrette presque que ca se termine si vite !
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On retrouve Louise qui était une enfant dans "aurevoir là haut "
Nous sommes en 1940 en pleine exode
On suit Louise qui aidee de Jules son patron fait une recherche familiale puis Gabriel et Raoul deux soldats et Désiré un arnaqueur aux multiples personnalités
Et bien sûr leurs destins vont se rejoindre
Je finis donc cette trilogie avec qui j'ai passé un bon moment de lecture
Pierre Lemaitre sait mêlé histoire et fiction avec une écriture agréable
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Ecouté en livre audio.

Pierre Lemaitre, le retour. Troisième volet assez prenant, même si un peu moins réussi je trouve que les deux premiers. Quelques longueurs et une fin un peu trop téléphonée, ce qui ne retire rien au plaisir que l'on ressent alors. Mais un "air du temps" plutôt bien restituée, et l'on sent que les recherches historiques ont été nombreuses, ce que confirme Lemaitre dans le traditionnel entretien (fort instructif d'ailleurs) de fin d'ouvrage.

Lu par l'auteur, à l'aise dans la diction et la maitrise de son texte, donnant un vrai rythme au récit. Un régal.
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Avec Miroir de nos peinesPierre Lemaitre conclu magistralement cette trilogie commencée en 2013 avec le splendide Au revoir là-haut auréolé d'un prix Goncourt bien mérité.

À l'instar de ses deux précédents opus, Pierre Lemaitre est également le narrateur de son roman. le ton est juste pour une lecture simplement sublime qui nous entraîne dans cette France des années 40, avec en toile de fond la Deuxième Guerre Mondiale. le ton est juste pour une lecture simplement sublime qui nous entraîne dans cette France des années 40, avec en toile de fond la Deuxième Guerre Mondiale. Un véritable roman feuilleton.

Du premier au dernier opus, l'oeuvre de Pierre Lemaitre est tout simplement magnifique. Après Au revoir là-haut, on avait peu d'une petite baisse de régime avec Couleurs de l'incendie et pourtant l'on finit avec une oeuvre magistrale en lisant et écoutant Miroir de nos peines.

Il est difficile de parler du Miroir de nos peines sans faire allusion a la trilogie des enfants du désastre auquel ce titre fait partie intégrante et ferme le cycle avec brio.

La petite Louise d'Au revoir Là-haut est devenue cette jeune femme que la vie ne va pas épargner.

Ce dessin d'enfant qui fait office de couverture n'est pas sans rappeler l'exode des Français échappant a l'avancée Allemande.

Comme vous pouvez le noter, mon avis n'est pas des plus impartial ayant était séduit dès Au revoir là-haut. Ce n'est pas un, mais bien trois romans exceptionnels que nous à offert Pierre Lemaitre.
Lien : http://www.bouquinovore.com/..
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Pierre Lemaitre nous livre la fin de son récit commencé à la fin de la première guerre mondiale avec l'histoire d'Edouard et d'Albert.
Cette fois cela commence avec Louise que nous avons croisée petite fille dans Au-revoir là-haut. Au travers son histoire, et celles de Raoul, que l'on connaît aussi et sur qui on va en apprendre plus, Gabriel et Désiré, on va découvrir la France lors de la débâcle du printemps 1940.
Des personnages très attachants, même Raoul, tous plus forts qu'on aurait pu le penser, qui vont trouver la force d'affronter les aléas de leurs vies privées embarquées dans un épisode difficile de l'histoire de France.
L'auteur a su, une fois de plus, me captiver avec ses différentes histoires. L'atmosphère reste légère ce qui aide la lecture.
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Paris, 1940. Y'aura-t-il guerre, y'aura-t-il pas guerre ? Alors que la question commence à tourmenter la ville, le pays, le monde entier, Louise vient de vivre une expérience traumatisante qui va l'obliger à remettre en question son passé et à déterrer de vieux secrets de famille. Gabriel est quant à lui sur la ligne Maginot, en compagnie de Raoul Landrade un petit filou qui s'en sort toujours, souvent de façon peu honorable. Et Désiré joue les caméléons changeant de travail au gré de ses envies, s'inventant avocat, médecin, et des tonnes de diplômes et compétences qu'il est bien loin d'avoir !

Contrairement au tome précédent (si l'on peut dire, puisque nul besoin d'avoir lu Couleurs de l'incendie pour comprendre celui-ci, ni même Au revoir là-haut, même s'il y a quelques références), si l'histoire avec Louise commence rapidement et très fort, j'ai été moins happée par l'histoire des autres personnages. Faute peut-être aussi à la fatigue, mais si ma lecture a été moins fluide que la dernière fois, ça s'est rapidement arrangé et j'ai plongé tête baissée dans ce roman avec un grand R.

L'écriture du Pierre Lemaître nous fait vivre avec ses personnages et nous plonge vraiment dans une époque, loin d'être la plus représentée dans la littérature concernant la 2nde guerre mondiale.

Les personnages sont attachants, même Raoul que j'avais quand même bien envie de « tarter » une bonne partie du roman, j'ai beaucoup aimé le fantasque Désirée, sans oublier tous les personnages secondaires, importants à leur manière.

Donc si vous hésitez encore devant ce bon pavé, n'hésitez plus !
Lien : https://girlkissedbyfire.wor..
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