Tu me donnes envie de te secouer comme un prunier pour te sortir de ta foutue routine : On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même quand il est dans al pièce à côté, parce que ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités, parce que lorsque le soir en s'endormant on a peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer son regard, la chaleur de ses mains. Voilà pourquoi on construit sa vie avec quelqu'un, et si ce quelqu'un est gentil, alors tant mieux, c'est un plus, mais seulement un plus !
Lutte pour un idéal, et quand bien même tu mènerais des combats de Don Quichotte, cela en vaudrait toujours la peine.
Si tu croises la route de quelqu'un qui souffre, ne passe pas ton chemin,si tu rencontres quelqu'un qui a faim dans la rue, c'est à toi qu'il incombe de mettre un terme à cette abomination, si tu vois un homme se faire malmener parce que sa peau est d'une autre couleur que la tienne, deviens caméléon, quant à ceux qui te diront qu'il n'existe de dieu que le leur, rappelle-leur que c'est lui qui à créé le monde en couleurs et l'a paré de tant de diversité.
Sois gardienne de ta dignité autant que de celle des autres.
L'injustice et le mal se propagent dès que les gens de bien renoncent. La vraie laideur consiste à faire semblant, et à tolérer l'ignoble.
Les gens médiocres se réfugient dans une ferveur religieuse qui leur donne le sentiment que tout ce qu'ils font est normal, puisque Dieu est de leur côté.
Elle respira l'odeur des pins qui se mêlait aux senteurs de terre humide et pensa que la vie qui s'offrait à elle commençait à ressembler à cette autre idée du bonheur qu'elle avait imaginée, et Dieu que cette idée était belle.
Ce sont de tout petits détails qui vous rappellent cruellement que la personne que vous aimiez n'est plus là...
Toute mon enfance avait été bercée par des beaux discours sur la démocratie, sur l'égalité entre les hommes, la grandeur du pays. Au quotidien, je ne voyais que pauvreté, sexisme, ségrégation, et répression policière. Lorsque j'accompagnais ma sœur dans les meetings des mouvements de droits civiques, j'y voyais plus d'humanité que dans les rues du quartier blanc où nous vivions. De spectatrice je suis devenue militante.
Il suffit parfois d'une étincelle pour embraser une vie.
On vit avec quelqu'un, on s'invente un avenir commun, on dort dans le même lit, on partage ce qu'il y a de plus intime, et une fois séparés, on se recroise un jour dans une rue, l'air gêné, échangeant des banalités comme deux étrangers.
- Et puis un jour, j'en ai eu assez. J'ai accepté la vie pour ce qu'elle m'offrait au lieu de la détester pour ce qu'elle n'avait pas voulu me donner. Reste un manque que je ne comblerai pas, et une question : est-ce qu'il m'aurait aimé ?
On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même lorsqu'il est dans la pièce à côté, parce ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités.