[...]D'un bout à l'autre du livre on nous raconte à quel point les chien blanc (comprendre propriétaires terriens, riches commerçants et autres capitalistes) sont d'horribles créatures et combien l'Armée rouge et le peuple opprimé sont vertueux. Ce récit est tellement manichéen qu'il me donne la nausée. Les riches sont tous des ordures, les pauvres tous des saints !
Je n'ai eu cesse de me révolter contre cet aspect du livre pourtant je ne l'ai pas abandonné. Au delà de la propagande,
Han Suyin disait vrai : « un vrai livre d'aventures ! ».
Enfant de l'Hiver traverse de nombreuses épreuves et on souffre avec lui, on espère avec lui, on voyage avec lui.[...]
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