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World's end harem tome 1 sur 16
EAN : 9782756098951
180 pages
Delcourt (04/04/2018)
3.14/5   22 notes
Résumé :
Nous sommes en 2040.

Un jeune homme, Reito, victime d'une maladie rare est plongé dans un long sommeil cryogénique le temps qu'un remède soit trouvé. Il promet à sa copine d'enfance, Erisa, qu'ils se retrouveront à son réveil. Au bout de son long sommeil, il découvre un monde dans lequel 99,9 % des hommes ont disparu et est peuplé quasi uniquement des 5 milliards de femmes restantes !
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Reito Mizuhara est un jeune étudiant en médecine. Son amie d'enfance Elisa Tachibana aussi. Mais Reito voit son avenir boulversé, il souffre d'une maladie rare et mortelle, la sclérose des cellules. Nous sommes en 2040 et il peut être sauvé par un traitement. Mais ce traitement n'est pas encore au point alors pour l'attendre, il doit se faire cryogéner pendant cinq ans. Avant de plonger dans un long sommeil artificiel, il déclare son amour à Elisa. Cinq année plus tard, on le réveille. Il est guéri mais bizarrement, aucun membre de sa famille n'est là pour l'accueillir. Il est juste entouré de femmes. Mira Suô, très jolie, lui apprend que lors de son sommeil, un nouveau virus, appelé MK, a décimé presque tous les hommes de la planète. le monde est plongé dans un cahot et la population est féminine. Seuls les mâles qui furent plongés dans un sommeil artificiel parce qu'ils souffraient de la même maladie que notre héros sont capables de résister au virus MK (Male Killer virus). Un premier homme a été réveillé, appelé par les femmes numéro 1. C'est Kyôji Hino qui semble bien profité de la situation. Cinq hommes seulement ont subit e même sort que Reito et il est le deuxième à être réveillé. Cinq hommes pour cinq millard de femmes. Ils sont l'espoir que l'humanité ne va pas disparaître. Une femme est attribuée pour s'occuper de Reito, Mira Suô. Elle est très jolie et un de ses devoir est de réveiller la libido de Reito pour que celui-ci devienne un reproducteur et sauve le monde. Mais ce dernier résiste à la tentation car il veut retrouver Elisa qui lui avait promis de l'attendre. Cette dernière est devenue chercheuse et travaillait sur le virus avant de mystérieusement disparaître. Plutôt que de profiter de sa situation, Reito refuse toute copulation malgré le nombre impressionnât de jolie femmes qu'on lui propose. Il se donne un mois pour retrouver Elisa avant de prendre d'autres décisions. Il se voit aussi attribuer une infirmière très jolie : Akane Ryûzôji et un grade du corps qui ressemble à une petite fille : Sui. Il a aussi retrouvé sa soeur Mahiru. Son grand frère fait partie des mâles sauvés par la cryogénie avant d'avoir été contaminé. Seulement, si les cinq mille hommes ainsi endormi sont réveillés, ils muets instantanément tout comme les enfants mâles qui ont été conçus grâce à l'insémination artificielle…

J'espérais que ce manga sorte en version numérique. La version papier compte déjà trois tomes. En numérique, seul le premier opus été édité. Je ne sais pas pour la version papier mais ici, le manga se voit agrémenté de quelques pages en couleur. Ces pages ne sont as choisies au hasard car chaque fois que nous sommes en présence de couleurs, c‘ est quand il y a des scènes avec des femmes dénudées. Même si ce n'est pas pour me déplaire, je pense que c'est juste une manoeuvre aguicheuse et que cela n'apporte rien au manga. Maintenant, que penser du scénario. Évidemment ce premier tome est une amorce pour la série. J'ai d'abord eu le sentiment que le scénario part d'un fantasme masculin qui est de se retrouver le seul mâle permis des centaines de femmes. Si le numéro 1 confirme ce dire, parce qu'il prétend être au paradis et choisi ses femelles sur catalogue, numéro 2, soit Reito est plus moraliste et préfère retrouver son amour pour consommer. Malgré tous les stratagèmes de séduction des quelques femmes qui l'entoure, il résiste et se met en tête deux objectifs : retrouver son amour en la personne d'Elisa et se mettre à travailler en cherchant un remède contre le virus MK pour sauver les cinq mille hommes congelés. le scénario n'est pas très profond, nous sommes dans la légèreté mais les tomes suivant annoncés devraient être plus profonds, avec du suspens car je suppose que la disparition d'Elsa ainsi que le vol de ces travaux de recherche sur le virus entraînerons d'autre objectifs que la copulation. Les dessins sont très bons, les femmes sont merveilleuses, à croire qu'il ne reste comme survivantes que des bombasses. Bref, c'est aussi rempli d'humour malgré une situation on ne peut plus dramatique (l'espèce humaine en voie de disparition, tout de même). Vu le niveau technologique en 2040, on peut aussi s'étonner que les recherches ne s'appuient pas sur le clonage d'êtres humains, alors qu'à notre époque, on sait déjà le pratiquer sur des moutons. Ca confirme clairement que se manga se veut surtout érotique et je ne vous cacherai pas que ce n'est pas pour me déplaire. Donc, vivement les opus suivants. J'attendrai patiemment leur publication en numérique. Lu sur KINDLE avec une très belle numérisation.

Personnage :

Reito Mizuhara : Personnage principal. Étudiant en médecine, il souffre d'une maladie mortelle, la sclérose des cellules. Un traitement est sur le point d'être créé mais l'espérance de vie de Reito n'est pas suffisante pour l'attendre. Pour éviter la mort, Reito doit être plonger dans un sommeil cryogénique de quatre à cinq ans pour survivre le temps que le médicament soit au point.

Elisa Tachibana : Jeune étudiante en médecine. Reito lui a déclaré son amour avant d'être plonger dans un sommeil pour cinq ans.

Mahiru Mizuhara : c'est la petite soeur de Reito. Avant le sommeil de celui-ci, elle est encore une petite fille.

Ryû Mizuhara : c'est le grand frère de Reito.

Mira Suô : jeune femme qui est la responsable attitrée de Reito.

Virus MK : virus qui est responsable de la pandémie qui tua presque tous les mâles humains pendant le sommeil de Reito. MK pour Male Killer Virus.

UW : United Women est une organisation internationale créée pour gouverner le monde face à la pandémie qui risque de faire disparaître l'humanité.

Kyôji Hino : il était cryogéné comme Reito et pour la même maladie. Il est donc le premier survivant mâle à survivre au virus. Les femmes l'appelle Numéro 1 et attribue le numéro 2 à Reito. Lui ne se pose pas de question d'éthique et profite de la profusion de femme pour son plaisir et tenter de sauver le monde en se reproduisant.

Akane Ryûzôji : c'est l'infirmière attitrée aux formes opulentes de Reito.

Sui : elle est encore une petite fille à moins que ce soit une lilliputienne. Elle ne connaît pas son nom de famille et est bizarrement la garde du corps de Reito.








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World's end harem est un shonen manga qui a fait énormément parler de lui dans son pays natal. En effet, au Japon, ce titre est un véritable best-seller dont chaque volume sorti a fini pratiquement en top des ventes devant des titres renommés comme Fire punch ou My hero Academia (!). Il faut préciser que c'est avant tout un best seller numérique. World's end harem fait a priori partie d'un tout premier catalogue de titre numérique proposé par l'éditeur original Shueisha. Personnellement, pour le coup, je suis resté fidèle à la version papier mais pour celle et ceux qui seraient intéressés par le numérique, sachez que cette édition contiendrait 30 pages couleurs en plus d'après les avis de mes collègues babyloniens...
Au passage, mes sources concernant la renommée de ce manga "numérique" provient tout simplement du site Manga News.

Bref, World's end harem est une comédie de science-fiction érotique plutôt bien fichue et assez attachante. Nous sommes dans un monde ravagée par un virus qui s'est attaqué uniquement aux hommes. 5 ans plus tard après l'épidémie, un jeune homme se réveille de son statut cryogénique pour se rendre qu'il l'un des rares gugusse encore en vie dans un monde peuplé à 90 % de femmes et quelles femmes !!! Bref, notre personnage a pour ordre de repeupler la Terre mais comme de bien entendu , notre héros est avant tout un romantique bien décidé à retrouver son unique amour disparue depuis l'épidémie... mais c'est sans compter les nombreux de séductions ultra-sensuelles de la part des autorités féminines qui comptent bien avoir un enfant de lui. Après tout, l'avenir de la planète est en jeu !

Bref, avec World's end harem, ne vous attendez pas une histoire réellement profonde. Honnêtement, même si il y a un début d'intrigue de SF assez sérieux, je pense que ce manga finira par basculer définitement dans le coquin et à enchaîner les situations graveleuses pour le grand plaisir des lecteurs et lectrices adeptes du manga érotique.
Je n'ai pas détesté ce titre, le dessin Kotarô Shouno est , comme on peu s'y attendre, des plus FORMels pour ce type de manga. L'auteur s'amuse à souligner les sculpturales corps féminins, un trait caractéristiques des mangas érotiques ou fan service qui ravira les plus coquins d'entre nous. Mention spéciale pour l'infirmière ... En dehors de ça, les auteurs ont crée un petit univers de SF propice au cadre de l'intrigue mais honnêtement, on s'en moque pas mal...
Même si j'ai été séduit par ce manga, je dois bien avouer qu'on a affaire à un titre plutôt léger qui oscille entre une petite intrigue SF pas franchement palpitante et des situations graveleuses dont on connait par avance le schéma ( ahhh la figure du jeune homme déboussolé dans cet harem...) .

Pour moi, WEH est un petit shonen érotique à prendre au second degrés. Nous verrons comment se profilent les autres tomes mais pour l'instant ce manga me fait l'effet d'un petit bain tiède, sympa à lire malgré l'absence d'intensité et d'humour décapant.

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Résumé :

Etudiant en médecine, Reito Mizuhara n'a d'autre choix que le sommeil cryogénique en attendant que les Intelligences Artificielles trouvent le remède à la sclérose en plaques dont il souffre.

Malgré tout, le jeune homme décide de déclarer sa flamme à Elisa qu'il connaît depuis la primaire et lui offre un médaillon avant d'être endormi.

Lorsqu'il reprend conscience comme prévu cinq ans plus tard, Reito est guéri.

Son bonheur est de courte durée, car il découvre que peu de temps après sa mise en suspension en 2040, le monde a été dépeuplé par un virus pathogène très puissant.

Le « Male Killer » a été contracté par 99,9 % des hommes. Sa semence est devenue une ressource inestimable pour permettre la reproduction du genre humain et il découvre aussi la disparition d' Elisa.

Notre avis :

Manga le plus populaire du magazine de prépublication de Shüeisha, maison d'édition japonaise associée à des séries incontournables telles One pièce ou plus récemment My hero academia. World's end Harem, devenu un des porte-flambeaux de la lecture en ligne du groupe nippon, se présente comme, à ce jour, l'oeuvre la plus abordable de Kotarô Shouno, dessinateur qui vient du hentai (mangas à caractère pornographique) et dont c'est la première production chez un professionnel.

Le scénario signé Link n'est pas sans rappeler le remarquable et jamais réédité roman de Virgilio Martini « Un monde sans femmes » (Denoël – 1970), « Un gars et son chien » d'Harlan Ellison (qui a donné l'occasion d'une adaptation cinématographique – Apocalypse 2024) ou plus récemment le comics,« Y, le dernier homme » de Brian K. Vaughan, qu'il reprend d'une certaine façon au travers ce récit d'anticipation mettant en scène un futur sans mâles où la fécondation in vitro échoue à repeupler la planète dont un genre a été quasi décimé par un virus.

Le résultat, quoique réservé à des adultes avertis, a le mérite d'associer érotisme et humour, sans être dénué d'un peu de réflexion.

Ce premier tome et ces six premiers chapitres n'ont guère l'occasion de trop développer l'intrigue, il ressort que l'union internationale mondiale mise en place n'est pas reconnue par tous et sans encore parler de conflits.

Il est évident que des rivalités existent : pour preuves quelques échanges « vachards » entre les agentes responsables de Reito (renommé Numéro deux) et Kyôji Hino, premier homme a avoir été sorti du coma. Ce dernier profite beaucoup plus de la situation que notre sentimental héros qui se voit néanmoins régulièrement harcelé et qui n'a pas d'autre choix que d'accepter les conditions que lui impose Mira Suô pour qu'elle accepte son choix de se réserver pour Elisa.

Les personnages plus jeunes, telles Sui ou bien encore Mahiru, la soeur de Reito, au-delà d'une certaine ambiguïté (ce sont des petites filles dans un univers très sexué) sont l'occasion de situations drôles qui changent des quiproquos avec les femmes adultes à fortes poitrines qui veulent être fécondées aux allures interchangeables : c'est la principale critique que l'on peut faire en ce qui concerne le trait du mangaka sur ce seinen.

Deux premiers recueils de World's end harem ont déjà été édités chez Delcourt/ Tonkam

Le troisième est annoncé pour le 17 octobre.

Si vous êtes amateur de science-fiction et de mangas cocasses et légers (il n'est pas question ici de perversion comme dans Dead Tube par exemple), cette série est pour vous !

Lien : http://www.khimairaworld.com..
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Un scénario de SF un peu classique : notre héros sort de sa cryogénisation et découvre qu'un virus a éradiqué tous les hommes de la planète sauf cinq.

Et à partir de là, la qualité du manga sombre dangereusement ; la mission du personnage devient celle de repeupler la terre mais pas de panique, les plus jolies femmes de la Terre sont à ses pieds, toutes plus sublimes les unes que les autres et toutes avec des seins aussi gros que des pastèques transgéniques.

Bref, un prétexte pour dessiner des seins et des femmes nues pleines de désir pour un seul homme. le récit m'a fait penser à "et on tuera tous les affreux" de Boris Vian (même si l'univers est très différent et la fin bien plus intéressante).

Une petite scène insolite : un ours qui rentre dans un complexe/hôpital de recherche gardé par des robots. Mais apparemment c'est normal pour tout le monde. Mouais.

Le manga aurait pu exploiter le côté scientifique ou philosophique de la chose voire le côté survie éventuellement mais non on reste dans le sexe à outrance et surtout des seins.

C'est lassant et inintéressant. A la fin du tome 1 il y a un petit teaser qui annonce que le tome 2 sera encore plus érotique, on voit bien le public visé.

Il plaira surement aux 12/15 ans, au-delà j'ai de sérieux doutes...
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Le premier tome de World's End Harem est arrivé en numérique, avec une édition spéciale contenant 30 pages en couleurs. C'était donc le moment idéal pour découvrir ce titre et voir ce qu'il avait à proposer, hormis la belle plastique des demoiselles.

Nous sommes ici dans un titre futuriste, puisque l'histoire se place en 2040 et que tout est automatisé par des IA. Les gens n'ont plus besoin de travailler et dès qu'il y a un soucis, une IA s'en occupe. C'est ce qui arrive à Reito, qui découvre qu'il est atteint d'une maladie incurable. En attendant qu'un remède soit trouvé par les IA, il va passer 5 ans en caisson Cryogénique.

À son réveil, les IA ont trouvé un remède à sa maladie, et Reito est donc en parfaite santé. Sauf qu'entre-temps, un terrible virus a frappé la planète et a décime 99,9% des hommes. La société s'est donc écroulée, et même si les femmes ont pris le relais, l'avenir s'annonce trouble puisque sans les hommes, impossible de se reproduire.

C'est là que Reito et 4 autres hommes interviennent. Ils sont pour l'instant les seuls à être immunisés contre le virus, puisqu'ils étaient cryogénisés. Ils ont donc la lourde tache de répandre leur ADN avec un maximum de femmes.

L'idée est plutôt bonne, et même si le titre est un peu hot par moment, cela n'est pas vraiment dérageant. Je ne trouve pas que c'est du fan service gratuit, puisque contrairement à certains titres, le sexe est ici la thématique principale. D'ailleurs Reito ne veut pas copuler avec n'importe qui, puisqu'il est amoureux d'une fille qui a disparue durant ses années de stase.

Les scènes osées ne sont pas très osées justement, bien que le titre soit marqué en moins de 16 ans, il est bien plus soft que certains yaoi que j'ai pu lire car rien n'est vraiment montré, alors que sur certains yaoi c'est censuré, mais les détails sont bien là.

Une bonne découverte, même si l'aspect érotique du titre pourra en rebuter certains, mais au moins, ça ne tombe pas comme un cheveux sur la soupe et cela sert le propos du manga. À voir comment tout cela va évoluer, mais ça démarre très bien.
Lien : https://chezxander.wordpress..
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critiques presse (3)
Sceneario
23 janvier 2020
L'idée du "dernier homme" n'est pas très neuve, et d'autre l'ont exploitée avec beaucoup plus d'adresse, mais cette nouvelle série rajoute un filtre assez léger plutôt sympathique.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDZoom
12 novembre 2018
Manga événement des éditions Delcourt/Tonkam, « World’s End Harem » ne brille pas spécialement par son originalité, mais le scénario à peu près crédible et le dessin très plaisant en plus d’avoir de nombreuses pages travaillées en couleur dans son édition numérique est indéniablement divertissant.
Lire la critique sur le site : BDZoom
ActuaBD
22 mai 2018
Joliment dessiné, malin et coquin, un premier tome sympathique qui fonctionne bien et sans temps mort.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
De tout temps, les guerres ont toujours été des excuses pour mettre la main sur des ressources. Provisions, eau, sel... métaux, pétrole...
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