Le mystère Fulcanelli

Un livre génial, voilà comment on peut résumer "le mystère Fulcanelli".
J'ai retrouvé avec plaisir le personnage d'Ari Mckenzie et, bien sûr, de Lola, Iris, Krysztof dans un livre plein de suspens, de rebondissement qui m'a tenu en haleine jusqu'à la dernière ligne.
Mais bien au delàs d'une histoire policière, il y a un véritable mystère, on se prend à chercher qui est Fulcanelli, à chercher sur le net des infos sur les hérétiques et à vérifier toute les infos données par Henri Loevenbruck, tout est exact. le livre est très bien documenté, l'auteur a réalisé un véritable travail de recherche pour documenter ce roman. Et les amateurs d'ésothérisme et d'histoire apprécieront autant que les auteurs de romans policiers
Il y avait Dan Brown, il faut désormais compter avec Henri Loevenbruck.

Qui est vraiment Fulcanelli, a t'il existé? C'est précisément l'objet de ce roman.On alterne entre réalité et fiction, un bon roman plein de rebondissements, un flic bourru et attachant, une histoire d'amour à laquelle on veut croire, de l'humour...j'ai beaucoup aimé

Un bon thriller, bien écrit. Par contre une fois commencé, j'avais hâte de connaître la suite et de poursuivre ma lecture. J'ai trouvé les carnets de moleskine parfois un peu long à lire et les recherches de Lola car je pense que j'étais pressée de connaître la suite de l'intrigue. Un livre bien documenté, il est clair que l'auteur s'est passionné pour le sujet.

C'est pas mal, mais, de mon point de vue, moins bien que les précédents. Quelques longueurs, le héros est un peu fatigué, et cette fatigue rejaillit sur le lecteur, enfin, c'est l'effet que ça m'a fait.

Je partais sur l'idée de passer un très bon moment entre ces pages, alors, je finis sur une petite déception, pour un livre qui mérite peut-être mieux que cette critique hésitante.

Je viens de terminer « le Mystère Fulcanelli » de Henri Loevenbruck.

L'histoire : « Un meurtre dans une vieille église de Séville, un assassinat dans une bibliothèque parisienne, un ancien manuscrit dérobé… Et voilà que surgit de nouveau le nom du plus mystérieux alchimiste du XXe siècle : Fulcanelli ! […] En acceptant de mener l'enquête, Ari Mackenzie fait une plongée vertigineuse dans le secret des milieux ésotériques du siècle dernier. […] »

Henri Loevenbruck a tissé sa fiction autour de faits historiques et de protagonistes ayant véritablement existé. Et je dois avouer que le travail de documentation est particulièrement impressionnant.

Je n'avais pas lu les autres ouvrages mettant en scène Ari MacKenzie, je me suis rapidement attachée au personnage. Lui et les autres. Beaucoup sont ciselés, c'est un régal de les voir évoluer. Et ne connaissant que peu du mystérieux alchimiste en question, je me suis laissé entraîner facilement dans la double enquête… pour plonger dans le monde ésotérique des XIXe-XXe siècles. J'ai eu par moments beaucoup de mal devant la quantité d'informations données, les dates, les noms, les lieux… Les besoins de la double enquête le justifient certainement mais on peut y perdre son latin.

Mais globalement je referme le livre satisfaite. Par cette belle expérience de lecture. Par le mystère tissé par l'auteur. Par tout ce que j'ai appris sur l'ésotérisme et l'alchimie. Enfin par l'omniprésence du Livre, en tant qu'objet, à travers la description de bibliothèques personnelles incroyables, du métier de libraire indépendant qui suscite beaucoup d'inquiétude actuellement ; le récit foisonne de références à des auteurs connus ou moins que j'aurai plaisir à (re)découvrir sous un autre angle.

Et comme je suis vraiment soufflée par le travail de documentation réalisé, qui à mon sens est le gros point fort de cet ouvrage, je m'en vais de ce pas visionner la vidéo-reportage réalisée par l'auteur sur son travail de recherches. Je m'étais empêchée de la regarder avant de lire le livre.

Ce livre clos la trilogie Ari Mackenzie, après « Le rasoir d'Ockam » et « Les cathédrales du vide ». Nous retrouvons cet enquêteur atypique aux prises avec un nouveau mystère.
Des meurtres sont commis en liaison avec un mystérieux alchimiste, Fulcanelli.
Comme toujours avec Henri Loevenbruck, le livre est très documenté mais j'ai trouvé que ce coté « documentaire » nuisait à l'intrigue policière. J'ai même lu certaines pages en diagonale.
Donc un troisième tome en demi-teinte et moins passionnant que les 2 premiers.

J'ai énormément apprécié ce roman. L'auteur alterne les chapitres de l'enquête et les informations capitales sur Fulcanelli.

Dans ce tome, arrive un nouveau personnage, un policier, Radenac. Il se trouve vers Ari et ses connaissances phénoménales pour avoir des informations sur Fulcanelli.

Ce personnage a-t-il existé ? Est-ce que quelqu'un a pris ce pseudonyme pour écrire ?

Les voilà tous les deux en train de mener une enquête - pas de tout repos comme d'habitude - non pas ensemble mais parallèlement.

Et revoilà, que réapparait dans la vie d'Ari, Lola, la belle Lola avec un enfant, Maxime.

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Une meurtre dans une église de Séville, un assassinat dans une bibliothèque et un carnet dérobé, le tout sur fond d'ésotérisme et d'alchimie.

C'est apparemment le troisième volet des aventures d'Ari Mackenzie, mais c'est la première que je lis. Impossible de nos jours de lire un thriller ésotérique sans vouloir le comparer au Da Vinci Code. Par bien des aspects, ce roman lui est supérieur, ainsi les personnages sont plus attachants, l'écriture est un peu plus fouillée et le récit ne manque pas de rebondissements. Par contre, je mettrais un bémol quand à l'intrigue principale pour laquelle j'ai eu beaucoup de mal à me passionner, finalement ce fameux mystère Fulcanelli (apparemment basé sur des faits historiques véridiques) a tout du pétard mouillé. le roman est néanmoins sauvé par son rythme rapide, et l'empathie (voire la sympathie) que l'on a pour Ari et sa relation complexe avec la belle Lola.

Une intrigue principale peu passionnante, des personnages attachants, cette première plongée en demi-teinte dans les aventures d'Ari Mackenzie mérite sans aucun doute une deuxième chance.

où l'on apprend beaucoup sur l'alchimie