Les cathédrales du vide

Ari Mackenzie est en pleine dépression suite à sa séparation avec Lola. Il passe son temps au café à fumer et à boire.

Les chapitres relatant les péripéties d'Ari alternent avec les chapitres en italique qui nous conduisent au XIV° siècle. C'est Nicolas Flamel (écrivain public - copiste - libraire-juré) qui nous compte sa vie. Il décrit comment il entré en possession du carnet de Villard.

Pour ma part, j'ai trouvé l'intrigue de ce tome moins prenante que le premier.

J'ai retrouvé avec plaisir les aventures de Ari Mackenzie dans ce deuxième opus "Les cathédrales du vide", la suite de "Le Rasoir d'Ockham" de Henri Loevenbruck.
Une écriture toujours addictive. Un suspense entretenu. Des protagonistes attachants. J'ai apprécié les descriptions détaillées ainsi que les explications sur la géopolitique, les organisations secrètes internationales, l'occultisme.
J'ai passé un agréable moment de lecture et je vais m'empresser de lire le dernier tome, le mystère Fulcanelli.

Un vrai plaisir encore une fois de lire un roman d'henri Leovenbruck. Une intrigue très bien menée et un suspens qui tiens en halène.
Cette deuxième aventure d'Ari Mackenzie est la suite du "rasoir d'ockham ". On y retrouve avec plaisir l'enquêteur des RG qui nous entraine dans une histoire mêlant à la fois science et occultisme. Un vrai bijoux pour moi.

Deuxième volet des aventures de Ari Mackenzie, avec les mêmes ingrédients, bien maniés par l'auteur. le côté perturbé, à la limite de la névrose d'Ari, a une certaine ressemblance avec Adamsberg, le héros de Fred. Personnellement, je me demande si c'est le cas de tous les commissaires, et franchement, je pense que non. Donc ce travail de l'auteur me laisse toujours un petit doute sur la vraisemblance de la construction.

L'approche historique est solide, l'intrigue est intéressante.

Dans la continuité du rasoir d'Ockham, j'ai trouvé cette fois que l'on tentait de faire trainer en longueur cette histoire, qui m'a néanmoins bien plu. Bien que n'étant pas très fan des romans qui se passent à deux époques distinctes, l'histoire principale est bien ancrée dans notre monde actuel et m'a permis de voyager au coeur de la forêt amazonienne.
j'ai apprécié le déroulement de l'enquête qui nous emmène de rebondissement en rebondissement, même si l'intrigue en elle-même me laisse quelque peu perplexe. Mais après tout, l'alchimie et moi, çà fait deux.
Loevenbruck a une écriture qui me plait, les chapitres sont, pour la plupart assez courts, ce qui rend la lecture facile et l'avancée respectable, quant à son héros Mackenzie, je me prends quelque peu d'amitié pour lui, qui, on peut le dire, n'a pas vraiment de chance dans sa vie amoureuse (bien que cela ne fasse pas partie de l'action principale du roman).
Auteur à relire à l'occasion, sans pour autant se précipiter à chaque nouvelle sortie...
Lien : http://lovelybook9.blogspot...

Cette suite du Rasoir d'Ockham m'a fait voyagé encore une fois. J'ai aimé retrouver les personnages du premier Opus. J'ai juste été déçue par la fin, préparation d'un 3ème volume ? D'où la note de 4/5 car je recommande la lecture?

La fin du rasoir d'Ockham m'avait laissé perplexe... Enfin on apprend ce qu'il y avait dans ce fameux tunnel découvert au fond du puits de Saint Julien le pauvre... C'est bien là l'un des principaux intérêts du roman. Bien sûr, le héros est sympathique, bien sûr, on apprend pas mal de choses intéressantes, mais tout cela est un peu tiré par les cheveux. le rythme soutenu du livre, ses personnages attachants, une visite de certains endroits de la capitale (toujours drôle à lire quand on les reconnaît), tout cela laisse l'histoire s'avaler très vite... sauf la fin...

Le grand retour d'Ari Mackenzie. Entre Paris et la jungle amazonienne, un très bon thriller, idéal pour passer un agréable moment sous la couette.

bien que fan de loevenbruck, j'avoue que j'ai préféré la série "la moïra" et ses premiers romans: le testament des siècles et le syndrome copernic à ses dernières oeuvres, peut-être l'inspiration lui fait-elle défaut?

Je n'avais pas été convaincu par "Le syndrome Copernic", alors je n'étais pas pressé de lire son dernier roman que les blogueurs-euses ont en général bien aimé (pour ceux qui l'ont lu, bien sûr).
Force m'est de constater que finalement, je l'ai bien aimé.
Bon, toutes les grosses ficelles sont là : un duo flic-jeune femme, un peu d'ésotérisme histoire de nous faire trouver des codes, du dépaysement dans un pays d'Amérique latine, et un méchant insaisissable.
Un bon moment de lecture, meilleur que notre première rencontre, mais chacun a pris du grade depuis...
J'ai beaucoup aimé les trois lumières finales, également.
L'image que je retiendrai :
Celle d'Ari brûlant de précieux manuscrits, quelle hérésie !

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