Ce livre s'est lu très rapidement malgré quelques points
négatifs à souligner (de mon point de vue personnel )
C'était une bonne lecture dans l'ensemble avec une intrigue qui tient parfaitement la route !
Kate jeune londonienne mène une vie parfaite : Markus Un mari formidable , Billy un bébé en pleine santé , des amis , un métier passionnant de rédactrice en chef pour un magazine d'architecture …
Pourtant une ombre plane au dessus d'elle , elle se prénomme Hedja , une collègue discrète froide et calculatrice, manipulatrice, obsessionnelle …
Elle va essayer de détruire tout ce que Kate a construit. Obsession , Jalousie , harcèlement , que cache Hedja ? Pourquoi
tant de haine ?
Ce thriller psychologique est raconté à deux voix celle de Kate et celle de Hedja chacune nous enveloppe dans son histoire .
Si vous êtes un peu frileux niveau architecture voilà le point négatif , c'est souvent au goût du jour vu que les deux femmes baignent quotidiennement dedans ( et aussi Markus qui est architecte donc forcément …)
Cela restait passionnant pour le reste notamment Hedja qui nous semble tout de même humaine au fur à mesure du récit alors que au départ on ne peut que la détester royalement sans avoir tout les éléments en poche !
Autre point négatif Markus un personnage sans intérêt qui est à mon goût égocentrique et spectateur du désastre assez secret il a un côté froid et passif …
Un livre divertissant qui fait le job de A à Z …
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Kathy a tout pour elle ; un mari, un enfant, un travail à responsabilités. Heja qui travaille avec elle est discrète, froide mais efficace et tisse sa trame pour arriver au sommet. La tension est palpable entre les deux femmes. Tout se dérègle, Kathy qui vient de reprendre le travail perd les pédales et sa relation avec son mari Markus devient des plus tendus. le monde de Kathy s'effondre lorsqu'elle découvre qu' Heja a eu une liaison avec Markus pendant de longues années.
Le thriller est raconté à deux voies, celle d'Hedja et celle de Kathy, on commence et on ne lâche pas.
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Kathy est une jeune femme qui a tout pour elle : un Job parfait, un mari aimant, un joli bébé, une vie idéale. La vie que tout couple souhaite.
Mais une femme très belle va bien vite mettre à mal ce bonheur et entrer dans sa vie pour la dévaster.
Pourquoi ? une vengeance, une histoire d'amour, la folie…
Je pensais vraiment à une fin différente, bien plus violente, comme nous avons l'habitude avec les films de série B. Mais non une belle surprise, une fin étonnante et triste. Il est vrai qu'il y a peu de suspense et de rebondissement, donc peut-être plus pour les gens romantiques que les férus d'actions.
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Plutôt emballée en début de lecture par l'intrigue certes "en vogue" de la manipulation mentale. Bon, sur ce même thème on trouve beaucoup mieux notamment en ce qui concerne la psychologie des personnages qui là n'est vraiment pas très approfondie. Ca se laisse lire, c'est un peu convenu mais ça passe. Et puis là, dans les cent dernières pages, ça s'englue d'un coup dans le pathos version guimauve et là ce n'est plus possible pour moi, d'où la dégringolade de la note ! Une lecture dont on peut se passer donc...
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L’architecture est ce qu’il y a de plus important au monde. Nous passons nos vies dans les bâtiments. Nous y naissons. Nous y grandissons. Nous y faisons l’amour. Nous y travaillons et y réfléchissons. En général, nous y mourons. Les bâtiments vivent bien au delà de notre mort.Ils peuvent tomber malades comme nous, mais seulement si l’architecte a été stupide ou fainéant ou cupide. Les beaux bâtiments ont une grande et noble vie.
Il était temps de repartir. Je me suis contentée de regarder rapidement la disposition des autres pièces pour ma prochaine visite. J'ai jeté un œil dans la chambre. Encore des meubles imposants. Billy a sa propre chambre avec un petit lit en bois blanc et des rideaux oranges.
J'ai du mal à imaginer Markus dans cet appartement. Je ne m'attendais pas à çà. Il a du faire des compromis pour vivre avec elle. Je reviendrai bientôt.
— La vanité ?
— On ne peut pas tout comprendre, et la certitude absolue de notre mort nous empêche d’être les rois de l’univers.
— Tu veux dire que nous sommes tous égaux devant la mort.
— Ou du moins que nous sommes tous humbles devant la mort.
Elle s’exprimait dans un anglais parfait, mais un peu guindé. C’est justement cette perfection qui laissait deviner qu’il ne s’agissait pas de sa langue maternelle.
Tout est à la surface avec elle. Rien n’est enfoui. Elle ne connaît pas sa face cachée, ni celle des autres. Elle croit que tous les gens sont naturellement bons.