AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782355087738
74 pages
Editions Baudelaire (01/07/2011)
2.5/5   2 notes
Résumé :
Lire de la poésie me procure un plaisir qui, dans la littérature, n’est pas comparable.

Laissez-moi ainsi la liberté de penser que la littérature n’est pas un art, mais un aspect de notre monde actuel.

Si j’ai fait de la poésie ma passion la plus précieuse, ce n’est pas moi qui ai fait le choix...

La littérature me l’a imposé.
Que lire après L'âme de l'encreVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Sébastien Mannheim est un jeune écrivain de 17 ans. Il est bourré de talent et écrit depuis l'âge de 13 ans. J'ai la chance de le compter parmi mes amis, et il est aussi un ami de la famille. Il écrit de la poésie mais aussi des romans policiers..
Il a beaucoup de projets malgré son jeune âge (cinéma, théâtre, sport..)
Je lui souhaite beaucoup de chance et je vous livre quelques uns de ses vers:

Puissé-je percevoir, en tes quelques paroles
Le sentiment d'amour, sur ton auréole
Te voyant si heureuse, si belle au sourire
Par ton touchant blessé, se croyant mourir
Ce poème est pour toi, fillette des Dieux
Commenter  J’apprécie          230
C'est le premier recueil publié de ce jeune auteur. Il fait partie des amis de la famille et je suis régulièrement ses projets.
Ses poèmes ne laissent pas indifférent.
Bien sûr ils portent la marque de son extrême jeunesse (18 ans) mais ils font preuve d'un talent déjà bien affirmé.
Ses sources d'inspiration sont diverses: la femme, l'amour, la mort aussi puisqu'il a survécu après un mois de coma à la suite d'un grave accident de voiture.
Actuellement notre jeune ami se consacre à l'écriture d'un scenario d'un téléfilm et commence à écrire son premier roman ( un policier dont le héros est un ado)
Je vous conseille la lecture de ses poèmes.
C'est une oeuvre originale et pleine de fraîcheur.
Commenter  J’apprécie          160
si le romen Retour à Brooklyn éter le tgv pour un monde renplie de poesie et d une beuté inublable se livre serait plutot un moraile casser devant une décgarche de pneut vous laver compris je n ést pas aimé se " recuile de poesie" si on peut l apeller comme se si . un livre banal sen imagination une banaliter digne d un garcons de 14 ans sur facbook . amis de la bonne lécture et du bon gout passer vautre chemien vous résqurier de pérdre vautre temps ! dans
Commenter  J’apprécie          00
Séduite par le talent de l'auteur, évident à la lecture de ses poèmes, j'ai commandé le livre que j'attends impatiemment !
Commenter  J’apprécie          30
j'ai beaucoup aimé Trintignant nous expliquant qu'il a été sauvé du désastre complet par ......... LA POESIE
Commenter  J’apprécie          30

Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation

Camille vient d’arriver chez moi. Quelle surprise ! Je ne m’y attendais pas du tout. En tout cas, je suis super content. Je descends maintenant l’escalier quatre à quatre pour aller la rejoindre. Je suis arrivé en bas, et je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras. Je sens déjà son parfum que j’adore. Un parfum qui me rappelle, euh… vous savez, cette odeur de fleur... euh, oui la rose, c’est bien de cette fleur dont il s’agit, et d’ailleurs son visage est aussi beau qu’une fleur.
Je la fais maintenant monter les escaliers, et je la laisse passer devant, prenant la peine de lui prendre la main pour l’amener devant moi. Elle arrive maintenant à l’étage, qu’elle ne connait point encore. Je vais donc pouvoir lui faire faire la visite de mon univers, en espérant qu’elle appréciera. Et je commence bien sûr par ma chambre, que j’ai tendance à appeler « quartier général » de mon monde. C’est en effet là que sont stockés tous mes livres, mes plumes, mon encre de chine, et mes cahiers, ceux où j’écris et où je verse mes émotions, comme on verserait l’eau dans les jardinières autour de la maison. Et en entrant dans la chambre, Camille ressent toute l’atmosphère littéraire dans laquelle je me berce, jour après jour.
Et elle ne met pas longtemps à ouvrir l’étagère où sont stockés mes livres pour en choisir un, et commencer à le feuilleter. Je n’ai même pas eu le temps de voir de quel livre il s’agissait, tellement la vitesse de saisie fut importante. Je pense qu’il s’agit d’un livre de Freud, vu la couleur de la couverture et l’épaisseur du livre. Oui c’est ça, c’est bien de psychanalyse dont il s’agit. En effet, Camille s’est arrêtée sur un passage qui m’a beaucoup marqué à l’époque où je l’avais lu.
Ce livre que j’avais acheté lors d’un salon du livre, et que j’avais réussi à faire dédicacer par l’auteur, après quelques minutes d’attente devant le stand, étant arrivé après certaines personnes qui étaient encore là, à payer ce qu’elles devaient et à montrer le stylo, voulant faire comprendre à l’auteur qu’il devait leur dédicacer.
Un livre, mais pas seulement. C’était une œuvre, un message, un langage, une parole, bref, tout un tas de choses mais pas qu’un simple livre comme à l’accoutumée. Il y avait dans ce livre tout un tas d’images à découvrir à partir de mots, parfaitement employés.
En tournant la dernière page, j’étais même ému. Les larmes coulaient de mes yeux, mais elles n’avaient pas la même valeur que celles qui coulèrent après avoir quitté Camille, non. Ces larmes avaient une signification de soulagement. Un soulagement d’être passé à travers les épreuves que j’aurai dû endurer durant la lecture, car certains passages étaient vraiment difficiles. Certains passages étaient une douleur de l’esprit qui me rappelait ce que j’avais enduré plus jeune, dans l’au-delà.









Commenter  J’apprécie          30
La larme sur votre visage, a longtemps marqué la peine
Je n’y étais pour rien, j’en étais la victime.
Si la mort, de ses entrailles sans poids, rejoint enfin la Seine
Aux côtés de votre deuil, si c’était en une rime

Puisque vous y croyiez, à l’enfer en couleur
Je n’enlève rien au mal, n’enlève rien. Oui madame.
Mais vous y étiez, vous avez vu la lueur
Du poète disparu, celui dont on s’inspire, dont on fit un drame

Tes os ne sont plus en poussière, ils existent
Ton corps est à nouveau debout, oui tu marches
Je n’y suis pour rien. Ma prière n’était point le christ
Celui qui ressuscite, de la haut, perché sur son arche

Commenter  J’apprécie          80
En un sourire, ô belle lune s’allumant
Elle séduit l’homme, devant elle se trouvant
Alors, prise de main, il y a l’affection.
Exprimer, prouver, aimer, le tout d’une fusion

De regards, d’yeux rêvant à la nuit
Où la femme, lentement, se déshabille.
Place alors, à la beauté d’un corps, sous les mains masculines
La caressant tendrement, l’embrassant j’imagine

Dort femme, avant que l’ange ne t’enlève
Te sublimer est son but, sa mission première
Te couronner sera la chute, d’une longue prière
D’une longue attente, devant le corps qu’elle réserve

Au chanceux t’attendant, sous un drap de lin
S’endormir, pour passer le temps, laissant sur ses mains
Le parfum, la vague, la vie entière,
D’une femme aussi belle, sublimant sa crinière.



Commenter  J’apprécie          40
Poème faisant partie du second recueil

Je me souviens…



Je me souviens du passé,
D’un temps qui ne revient plus
D’une femme que j’avais oubliée
De quelques poèmes que j’avais lus.

Je me souviens de sa voix
Des mots qu’elle me disait
De son amour pour moi
Et des choses que j’oubliais

Je me souviens de ses yeux
Des regards qu’elle me portait
En regardant les cieux
Son amour me parvenait

Je me souviens des instants
Des choses partagées
Je me souviens de ces moments
Où l’on s’aimait à s’embrasser.
Commenter  J’apprécie          60
Erosion, effeuillage, et altitude
Voici les charmes de la falaise
Montaison, chaleur et longitude
Les charmes de la braise

S’échappant du cratère, encore en fusion
Aussi du plus profond, à chaleur tempérée
Jouant des couleurs, des flammes en liaison
Joignant au ciel, la maladie d’un immigré

Qui sort de sa tanière, là où il vécut jadis
Voyant en un soleil, lumière et chaleur.
Pense à ces années, à ta vie en abscisse
Qui se termine aujourd’hui, par le plus grand des malheurs

Commenter  J’apprécie          60

autres livres classés : poésieVoir plus

Lecteurs (6) Voir plus



Quiz Voir plus

Testez vos connaissances en poésie ! (niveau difficile)

Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?

Paris
Marseille
Bruxelles
Londres

10 questions
1220 lecteurs ont répondu
Thèmes : poésie , poèmes , poètesCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..