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La famille St. John tome 3 sur 3
EAN : 9782290133897
343 pages
J'ai lu (26/10/2016)
3.7/5   22 notes
Résumé :
Méprisant et vaniteux, le duc de Leigthon se préoccupe avant tout de sa réputation. Il se fiance avec lady Pénélope, adaptée à son tempérament, mais sa vie se trouve bouleversée par l'impétueuse Juliana.
Que lire après La famille St. John, Tome 3 : L'amour en 11 scandalesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
C'est avec délice que j'achève ce 3ème tome qui est un coup de coeur pour moi et qui termine merveilleusement bien cette saga de romance historique de la famille St John. Alors ok, pour être vraiment précis, Julianna n'est pas une vraie St John puisque son lien de parenté avec ses demi-frères lui vient de leur mère….Néanmoins, il est vrai que Gabriel et Nicholas ont vraiment accepté dès le début l'irruption de cette jeune demi-soeur italienne et c'est tout à leur honneur ! L'intervention de Callie et de sa soeur Marianna - qui sont très rapidement devenues amies avec Julianna - a fait beaucoup pour que notre jolie brune se sente acceptée dans sa nouvelle famille….Bon après, pour ce qui est du cercle très fermé et très sélecte de l'aristocratie anglaise, on peut dire que Julianna a passé des moments pas forcément très agréables mais c'est justement l'attrait de ce tome qui est de voir comment une jeune femme qui a grandi en Italie auprès de son père marchand de vin va réussir à clouer le bec à toutes les snobinardes qui médisent sur elle constamment….Et n'oublions pas Simon, notre très beau Duc de Leighton….Un superbe connard ultra snob qui méprise tous ceux qui ne sont pas de son rang….Et le problème c'est qu'il a eu un coup de foudre pour la belle italienne….Coup de foudre qu'il tente de dissimuler sous une hostilité et un mépris total envers la jeune femme….Si vous aimez les histoires d'amour où les héros se détestent mais s'attirent constamment, vous allez être servis dans L'amour en 11 scandales ! Les scènes rocambolesques et scandaleuses s'enchaînent sans cesse, c'est un pur régal ! Je vous recommande totalement la saga La famille St John surtout ce 3ème tome !

Ma note : 18/20
Lien : http://lespassionsdeviedefun..
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Il était impossible pour moi de résister plus longtemps à l'attrait de cette dernière romance de la trilogie de la Famille St. John de Sarah MacLean.
Par manque de temps, je n'avais pas écrit d'article sur le tome 2 et je m'en excuse si vous avez cherché l'article en question.
Attention, cette chronique peut contenir des spoilers.

Avec Lisa Kleypas et Laura Lee Guhrke, Sarah MacLean fait partie de mes auteures de romances historiques que je vénère.

De la fratrie St. John, il ne manquait plus que les aventures amoureuses de Juliana, la demi-soeur de Gabriel et Nicholas St. John. Depuis son arrivée en Angleterre, Callie a organisé une vraie campagne d'acception de Juliana dans la bonne société. Malheureusement, la bourgeoisie anglaise ne pardonne pas les faux pas. En première ligne, il y a le Duc de Leighton, le fameux duc dédaigneux.

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé les personnages que j'avais précédemment appréciés dans le tome 1 et 2. Et même si on ne fait qu'apercevoir Gabriel et Callie, je suis à nouveau sous le charme de leur couple.

Juliana est une belle italienne qui n'a pas le caractère souple et fade d'une jeune fille anglaise qui a toujours appris à se plier à l'étiquette et aux convenances de la société anglaise. Juliana est une rose rouge dans un parterre de fleurs pastel. Elle détonne et attire l'oeil du Duc de Leighton.
Leighton a été élevé pour devenir duc, et la passion n'a rien à faire dans la vie d'un anglais. Attiré par le feu de Juliana, il va s'y brûler et se consumer.

Sarah MacLean sait comme personne mélanger les scènes cocasses avec celles de grandes passions sans tomber dans la vulgarité. Et si au début, j'ai eu quelques difficultés à entrer dans l'histoire, car les héros ne me faisaient ni chaud ni froid, très vite j'ai été happé par les péripéties amoureuses de Juliana et Leighton.

Si vous souhaitez vous lancer dans la romance historique, je vous conseille vivement de débuter avec Sarah MacLean, Tessa Dare, Lisa Kleypas ou Laura Lee Gurhke.
Lien : https://darcybooks.wordpress..
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Audacieuse et impulsive, Juliana Fiori est un vrai aimant à problèmes. La demi-soeur aux origines sulfureuses de Gabriel et Nicholas St John est ainsi vue d'un mauvais oeil par la bonne société londonienne et elle lui rend bien. Même quand elle fait l'objet de tous les ragots, elle sait garder la tête haute et fait preuve d'un sens de la répartie plus qu'enviable. Esprit libre au fort tempérament, elle est de ces personnages sous les traits desquels je me plais à m'imaginer.

Mais pour Simon Pearson, Duc de Leighton, c'est exactement le type de personne à fuir. Dans son petit monde bien ordonné, il n'y a tout simplement pas de place pour sa fantaisie et sa propension à attirer le scandale. le Duc Dédaigneux, comme on le surnomme, est bien trop occupé à conserver son nom intact et ses secrets cachés. J'avoue que son côté hautain et champion de la vertu n'était pas pour me séduire, et pourtant, j'ai fini par m'attacher à lui. Après tout, M. Darcy (et non pas une référence cinématographique pour le coup ^^), passait un peu pour une tête à claque arrogante à ses débuts.

Quand il découvre Juliana caché dans calèche un soir, menaçant par sa présence tout ce à quoi il tient, il décide de lui donner une leçon. Il est temps que la demoiselle apprenne ce qu'est avoir un comportement approprié. Mais tel est pris qui croyait prendre. Mlle Fiori, elle, est bien déterminée à lui montrer qui même le plus inamovible des ducs peut succomber à la passion.

Entre les préjugés de Leighton et les rapports tumultueux de Juliana avec son identité, on a ici à faire un tome un peu plus sombre que les précédents. Plus de défis dans leur relation, mais c'est ce qui en fait tout le piquant.
Lien : http://livrementvotre.blogsp..
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Dire que j'étais impatiente de lire ce troisième tome mettant en scène Simon, le Duc Dédaigneux, et Juliana, la demi-soeur italienne des jumeaux St. John, serait un euphémisme. Sarah MacLean fait définitivement partie de mes auteurs de romances historiques que je peux lire les yeux fermés, certaine que je ne serai pas déçue, elle rejoint les Lisa Kleypas, Julia Quinn, Tessa Dare et autres Julie Garwood. J'attendais des conflits, des orages, des étincelles, de l'électricité, des fous rires, de la passion et j'ai été plus que comblée.

Quel plaisir de découvrir Juliana, la demi-soeur italienne de Nick et Gabriel, dont la naissance et même la vie, sont entachées d'un doux parfum de scandale. Fille d'une aristocrate anglaise qui a abandonné mari et enfants (les jumeaux) pour partir refaire sa vie en Italie, y épouser un marchand et y avoir une fille (Juliana) qu'elle finira par abandonner aussi. A la mort de son père, Juliana découvre qu'elle a deux frères et décide de les rejoindre à Londres. A sa grande surprise, ceux-ci vont l'accueillir à bras ouverts et tout faire pour la présenter comme il se doit dans le monde. Sauf qu'un voile de scandale l'entour, voile encore plus épais que celui qui entoure ses frères. le tout Londres s'attend à la voir enchaîner les scandales, comme sa mère, cela ne l'empêche pas d'assumer ses idées, son fort tempérament et des réparties bien senties, ce qui va lui permettre de toujours garder la tête haute, même quand elle se met dans de drôles de situations (ce n'est jamais vraiment de sa faute, juste un don de sa part). Bref, Juliana, nous ne pouvons que l'adorer, immédiatement. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/lamo..
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Après les deux frères, place à la petite soeur: Juliana. Et c'est sans conteste mon tome préféré de la série. Je suis tombée sous le charme de la jeune femme et de son caractère volcanique. Elle forme un couple explosif avec Simon. J'ai été agréablement surprise par le changement de caractère de Simon. Dans les deux précédents tomes, il faisait office de méchant. Mais ici, il prend vraiment son rôle de héros et il change radicalement.

J'ai dévoré ce tome d'une traite. J'ai adoré cette histoire. L'auteur met en avant des sujets un peu plus sérieux, tout en gardant des moments un peu plus légers.

Un tome que je vous recommande!

Lien : http://lemondedemara2.canalb..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Elle tourna les talons et s’enfuit, craignant d’être malade si elle restait une minute de plus dans cette maison. Un valet ouvrait déjà la porte vers laquelle elle se précipita, les yeux brouillés de larmes. En sentant l’air vif sur son visage, elle remercia le ciel. Elle était sauvée. Du moins, elle l’aurait été. S’il n’y avait eu les légumes. Trop tard, elle se rappela que les marches étaient jonchées de produits de la récolte. Emportée par son élan, elle posa le pied sur un potiron, et toute la pyramide s’effondra. Mariana poussa un cri en la voyant tomber, entraînant dans sa chute une vague de citrouilles, d’oignons et de courges, qui dévalèrent les marches et se retrouvèrent avec elle au bas des marches. Quand elle ouvrit les yeux, elle était entourée de légumes, dont la plupart s’étaient écrasés ou avaient éclaté, répandant leur chair sur les pavés. Un navet roula devant elle et vint s’échouer contre la roue d’une voiture – tel le dernier soldat tombé au champ d’honneur.
-Oh, mon Dieu ! Perchée en haut du perron, Mariana avait les yeux écarquillés et la main plaquée sur la bouche. Deux valets attendaient derrière elle, s’interrogeant visiblement sur la conduite à tenir. Juliana commença à rire. Un rire inextinguible, impossible à maîtriser. Un rire dans lequel elle laissa libre cours à sa tristesse, à sa frustration, à sa colère. Essuyant une larme au coin de ses yeux, elle constata que Mariana riait aussi… ainsi que les deux valets. Juliana repoussa les légumes, qui allèrent rejoindre les autres. L’un des domestiques vint l’aider à se relever, et elle découvrit alors l’étendue des dégâts. Le décor était ruiné, et il faudrait nettoyer les marches avant que les invités quittent le bal. Sa jolie robe de soie rose était couverte de graines et de pulpe écrasée. Mariana continuait de rire, à la fois amusée et horrifiée.
(...)
-Vous en avez… partout ! s’exclama-t-elle avec un grand geste de la main.
-Je suppose que ce serait trop demander que l’une de ces voitures soit la vôtre ? Mariana balaya la file du regard.
-Pas du tout. C’est celle-ci, répondit-elle en indiquant l’un des véhicules.
-Enfin, quelque chose qui tombe bien ! Mariana ouvrit son réticule et en sortit une poignée de pièces d’or.
-Si vous pouviez oublier qui, exactement, a détruit le décor de votre maîtresse… suggéra-t-elle en glissant les pièces aux valets avant de rejoindre Juliana qui grimpait déjà dans la voiture.
-Vous croyez qu’ils se tairont ? s’enquit cette dernière.
-J’ai l’espoir qu’ils aient pitié de vous. Juliana se carra sur la banquette en soupirant. Alors que le véhicule s’ébranlait, elle lâcha :
-Il faut tout de même me reconnaître un mérite.
-Lequel ?
-Je ne suis pas du genre à m’évanouir discrètement dans la nuit.
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-Oui, j’imagine qu’il ne doit pas être facile de faire honneur à une réputation telle que la vôtre, observa-t-il. Elle n’avait jamais rencontré non plus pareil crétin. Elle se recroquevilla, bénissant la pénombre. Elle était habituée aux insultes, aux suppositions qu’entraînait le fait qu’elle soit la fille d’un marchand italien et d’une marquise anglaise qui avait abandonné mari et enfants… s’excluant ainsi de la haute société londonienne. Ce dernier point était le seul qui suscitait chez Juliana un soupçon d’admiration pour sa mère. Elle aurait aimé dire à ces aristocrates ce qu’ils pouvaient faire de leur étiquette ! À commencer par le duc de Leighton, qui était de loin le pire de tous. Ce qu’il n’était pas au début.
-Pourriez-vous faire arrêter cette voiture et me laisser descendre ?
-Je suppose que les choses ne se passent pas comme vous l’aviez prévu ?
-Comme je l’avais… prévu ? répéta-t-elle, éberluée.
-Allons, mademoiselle Fiori, vous croyez que je ne sais pas quel était le but de ce petit jeu ? Vous arranger pour être découverte dans ma voiture - l’endroit idéal pour un rendez-vous clandestin –, devant les marches de la demeure de votre frère, au cours d’une des réceptions les plus en vue de la saison ? Juliana arrondit les yeux.
-Vous croyez que je…
-Non. Je sais que vous vouliez me piéger pour vous faire épouser. Et votre plan, dont je suppose que votre frère ignore tout tant il est ridicule, aurait pu fonctionner avec un autre homme, portant un titre moins prestigieux que le mien. Mais je vous assure qu’avec moi cela ne marchera pas. Je suis duc. Dans une confrontation, ma parole prévaudrait sur la vôtre. En fait, je vous aurais volontiers laissée ruiner votre réputation devant Ralston House si je n’étais pas redevable à votre frère en ce moment. Vous l’auriez bien mérité pour avoir monté cette petite farce. Sa voix était calme, posée. Comme s’il avait déjà eu cette conversation un nombre incalculable de fois auparavant et qu’il n’y voyait qu’un inconvénient mineur – l’équivalent d’une mouche tombée malencontreusement dans sa bisque de homard tiède et sans saveur, ou toute autre soupe consommée par ces snobs anglais. Quel être pontifiant, arrogant… Une bouffée de colère la balaya, l’obligeant à serrer les dents.
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-J’ai fait envoyer un message à Ralston pour qu’il vienne vous chercher. Vous pouvez attendre dans… Il se tut brusquement, et elle leva les yeux. Le duc s’était rembruni. Si elle ne l’avait pas mieux connu, elle aurait pu croire qu’il était soucieux. Mais elle le connaissait.
-Dans ? fit-elle, se demandant pourquoi il se dirigeait vers elle.
-Seigneur, que vous est-il arrivé ? Quelqu’un vous a attaquée. Ils se trouvaient à présent dans le bureau. Leighton versa deux doigts de whisky dans un verre de cristal, et s’approcha du gros fauteuil de cuir dans lequel elle était assise. Il lui tendit le verre, qu’elle refusa.
-Non, merci.
-Vous avez tort. L’alcool vous calmerait.
-Je n’ai nul besoin d’être calmée, Votre Grâce. Le duc étrécit les yeux. Grand, insupportablement beau, extraordinairement sûr de lui – à croire que jamais personne n’avait jamais osé le défier –, il était l’incarnation du noble anglais. Jamais défié jusqu’à maintenant, rectifia Juliana mentalement.
-Vous niez avoir été agressée ? Elle haussa nonchalamment une épaule et garda le silence. Que répondre ? Quoi qu’elle dise, cela se retournerait contre elle. Il soulignerait, de ce ton impérieux et arrogant qui était le sien, que si elle s’était comportée comme une vraie dame… si elle s’était souciée de sa réputation… si elle s’était conformée à l’étiquette britannique, au lieu de suivre sa fantaisie italienne… tout cela ne serait pas arrivé. Il la traiterait comme le faisaient tous les autres. Comme il le faisait depuis qu’il avait découvert son identité.
-Quelle importance ? Vous déciderez que j’ai organisé toute ma soirée dans l’espoir de prendre un homme dans mes filets pour l’obliger à m’épouser. Ou vous inventerez une autre théorie tout aussi ridicule.
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-Lady Pénélope Marbury. Ralston poussa un long sifflement.
-Fille de marquis. Réputation impeccable. Une lignée qui remonte à plusieurs générations. L’union la plus parfaite qu’on puisse rêver. Et fortunée, par-dessus le marché. C’est un excellent choix. Simon avait pensé à tout cela, bien sûr, toutefois, l’entendre de la bouche de Ralston le hérissa.
-Je n’apprécie pas que vous parliez des mérites de ma future duchesse comme s’il s’agissait d’un cheval de prix.
-Désolé, j’avais l’impression que vous aviez sélectionné votre future duchesse comme s’il s’agissait d’un cheval de prix, justement. Cette conversation mettait Simon mal à l’aise. C’était vrai. Il n’épousait lady Pénélope que pour ses origines irréprochables.
-Après tout, ce n’est pas comme si les gens s’attendaient que le grand-duc de Leighton fasse un mariage d’amour.
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-Vous n’imaginez quand même pas qu’ils vont vous croire ! Une fille à peine légitime, et tolérée dans la bonne société que parce que son frère est marquis. Vous ne pensez pas non plus qu’il vous croira, j’espère. Après tout, vous êtes la fille de votre mère. La fille de votre mère. Elle avait beau faire, ces paroles étaient une insulte à laquelle elle ne pourrait jamais échapper.
-Ils ne vous croiront pas, s’entêta-t-elle en levant le menton, parce qu’il semblera impossible que j’aie voulu de vous, porco ! Il fallut quelques secondes à Grabeham pour traduire le mot italien. Le mot porc flotta un instant entre eux, en anglais et en italien, puis Grabeham tendit sa grosse main.
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