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EAN : 9782732487564
400 pages
Editions de la Martinière (05/04/2018)
3.63/5   43 notes
Résumé :
Tout pour être heureuse... vraiment ? Dans les coulisses poisseuses du rêve américain, il ne fait pas bon être une actrice prometteuse. Rose Century a vingt ans et pèse déjà des millions de dollars au box-office. Beaucoup tueraient pour prendre sa place. Au-delà de ces apparences, la vie de Rose n'a pourtant rien d'enviable. Un agent qui la manipule comme une enfant ; des réalisateurs qui se comportent en prédateurs sexuels ; des amis d'enfance qui sombrent dans la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 43 notes
Je remercie Babelio et les Editions de la Martinière pour cette découverte d'un auteur dont les précédentes oeuvres ont été récompensées de plusieurs prix.
Qu'en est-il de son nouvel opus ?
Son héroïne, Rose Century, une jeune femme particulièrement séduisante, est une étoile montante du cinéma américain, mais elle semble vouée à s'autodétruire, " à s'isoler, à jeter l'opprobre sur son nom et sur ses proches ".
On ne peut pas dire que Rose soit entourée par une famille très affectueuse : un père autoritaire et ambitieux que Rose rend responsable du suicide de sa soeur, une mère passive, un frère indifférent...
On suit donc dans une première partie la vie hollywoodienne d'une future star, vie qui finalement ne s'avère pas particulièrement réjouissante, ainsi que ses frasques qui font les délices de la presse à sensation. Et justement, Rose est suivie par un agent de sécurité chargé d' "effacer" les épisodes les plus scabreux qui pourraient nuire à sa carrière ou à l'ascension politique de son père.
Alors, quand Rose pète les plombs et tente de se suicider, "on" décide de la neutraliser et Rose se retrouve "soignée" dans une singulière communauté…
J'ai eu quelque difficulté à m'attacher au personnage de Rose dans la première partie du roman, qui m'a d'ailleurs laissé une certaine impression de déjà-vu car elle évoque une réalité connue : le milieu du cinéma n'est pas forcément le milieu le plus épanouissant, les prédateurs sexuels sont à l'affût (mais ils vont être obligés de se faire plus discrets après l'affaire Weinstein) et les "pétages de plomb" y sont nombreux.
Mais les parties suivantes sont beaucoup plus intéressantes et mouvementées, et le suspense monte en puissance jusqu'à une fin aux rebondissements inattendus.
Ajoutons que l'écriture de l'auteur est nerveuse, sans temps morts, et que le personnage de Rose acquiert une certaine consistance dans les épreuves qu'elle doit surmonter, et on aura au final un thriller plutôt réussi.

P.-S : mais au fait, quel rôle joue Bruce Willis dans cette histoire ? Il faut attendre la fin pour le découvrir !
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« Tout le monde aime Bruce Willis » de Dominique Maisons - La chronique qui réhabilite enfin le marcel !

Je ne sais pas si tout le monde aime Bruce Willis mais tout le monde devrait aimer Dominique Maisons !

En effet l'auteur n'a pas son pareil pour nous conter des histoires passionnantes se renouvelant sans cesse en bon auteur-caméléon qu'il est.

Caméléon car mais oui Léon, il change complètement d'univers avec son nouveau roman (NDLR : à chacun de ses romans en fait). Après nous avoir fait vivre une incroyable aventure dans le Paris du début du XXème siècle dans son précédent roman « Tout le monde se souvient du nom de l'assassin », c'est dans le clinquant Los Angeles de 2018 qu'il nous emmène nous promener. du côté de Hollywood précisément. Construit en 3 parties, le roman est une cascade de petits kifs. Et c'est juste un pur délice de suivre les tribulations de Rose, jeune actrice au succès ascendant mais dont le subconscient lui cache bien des secrets, la rendant ingérable pour le plus grand plaisir du lecteur qui n'en demandait pas tant à l'auteur !

Moderne, baroque, féministe dans son propos, « Tout le monde aime Bruce Willis » est un roman inclassable. C'est trash comme du « Closer » mais écrit comme du Camus, c'est dire si c'est beau ! Maisons possède l'une des plumes les plus brillantes du siècle. Ses mots enjolivent l'esprit et subjuguent l'imaginaire créant instantanément un monde qui se matérialise et s'anime dans votre esprit au fur et à mesure que ces dits mots défilent devant vos yeux. C'est si bien écrit qu'on ressent chaque joie, chaque malaise, chaque atermoiement de l'héroïne.

Et puisqu'on parle des mots et des références, l'écriture et l'ambiance font penser à du Brett Easton Ellis moins la coke. Un Ellis où l'on comprendrait chaque mot et chaque chapitre, un joyeux mélange de « Glamorama » pour le name-dropping et le freakshow hollwoodien ; et de « Moins que Zéro » pour l'ambiance délétère de jeunes friqués en perdition.

Jouissif, jubilatoire, dans ce roman Maisons ne s'interdit rien. L'auteur s'éclate, l'auteur se lâche et le lecteur est en roue libre ne sachant à quel saint se vouer. On se laisse délicieusement guider, à l'aveugle, le foulard sur les yeux. Et un bouquin qui met Bruce Willis dans son titre - l'homme pour qui le mot coolitude a été inventé – n'a qu'une seule vocation : vous donner du bon temps.

D'ailleurs, vous ne bouderez pas votre plaisir en découvrant au fil de votre lecture d'étonnants voire très drôles « Easter Eggs », que je ne dévoilerai pas ici pour ne pas vous gâcher la surprise sinon vous dire que le roman contient la meilleure vanne du monde sur Johnny Depp (!).

Jésus a dit à Pierre, un de ses 12 apôtres, « tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon église » ; nous on a envie de dire « tu es Maisons, et sur cette maison je bâtirai mon plaisir. »


Lien : https://cestcontagieux.com/2..
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L.A. avec ses reflets dorés ou argentés, je ne sais plus, mais ça doit faire rêver, non ?
Dominique Maisons décape le mythe avec des formules pêchues. Pas de phrases compliquées, pas de termes alambiqués, c'est efficace. Un peu racoleur même.
Son héroïne avec son héroïne, coquette avec sa coke, craquante avec son krach, Rose, actrice, belle avec ses vertigineux talons et sur eux, ses agents avec beaucoup d'argent, mène une vie de débauche et d'excès.
Un père qu'elle déteste brigue une carrière politique, une mère qui décalcomanie sa vie ratée sur celle de sa fille. Cet univers impitoyable ne demande qu'à basculer.
Ça foisonne d'acteurs et d'actrices au mal de vivre à des milliers de dollars.
C'est un peu « Voici » en 390 pages sans images. Voilà.
Un passé bien lourd empêche à Rose toute éclosion de son propre émoi.
Et moi, à ce stade du livre, je ne sais quoi entrevoir.
Toutefois après le décapage, c'est le dérapage. All change.
Vous n'aurez pas nécessairement le souffle coupé, seulement les bras vous en tomberont.
Il ne vous sera peut-être pas impossible de le lâcher, accrochez, vous serez certainement décoiffé.
A l'occasion, si tu as deux minutes, téléphone Maisons, on pourra discuter de notre amour ou pas pour Bruce Willis et surtout de ton penchant violent pour les rebondissements d'Extra-Terrestres…

Merci infiniment aux éditions De La Martinière et à Babelio, Masse-critique.
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La richesse de l'univers d'un écrivain vient souvent de sa capacité à se renouveler. A l'aune de ce critère, Dominique Maisons doit être richissime. Son imagination et sa faculté à créer des ambiances totalement différentes le rendent vraiment unique.

Que ce soit par le thriller ou le roman policier historique (l'éblouissant : On se souvient du nom des assassins), il trace une route sinueuse, avec un réel goût pour le virage à 180 degrés.

Ce nouveau virage à de quoi donner le tournis, le long de Mulholland Drive, dans cette jungle urbaine qu'est le milieu hollywoodien. Rien à voir avec le Paris de 1900, théâtre du précédent roman.

Au casting : Rose Century, vingt ans et star planétaire du grand écran. Borderline, traînant son mal-être bien loin de l'image « paillettes et sourires émaillés ». Il faut dire que sa famille a tout du stéréotype de la success story à l'américaine.

Ça peut paraître assez banal comme sujet ? Vous n'imaginez pas combien ce n'est pas le cas, non vous n'imaginez pas… Il n'y a qu'à se référer au titre du livre, Tout le monde aime Bruce Willis, aussi énigmatique qu'alléchant. Quelle intrigue peut bien se cacher derrière un slogan pareil ?

Dominique Maisons s'amuse et sait jouer avec le lecteur. Cette histoire semble n'être qu'une plongée dans les coulisses d'Hollywood, sujet rabâché. Mais Maisons n'est pas un écrivain lambda, et cet univers n'est pas tout à fait ce qu'il semble être.

Oui, on sent que l'auteur a voulu se lancer dans un projet plus « léger » (j'insiste sur l'importance des guillemets), plus ludique. Ça n'empêche pas ce livre d'être un vrai roman noir. Tout comme une satire et tout comme un thriller, parfois. Inclassable, comme son géniteur.

Je ne dirai pas un mot de plus sur l'histoire, ce serait un gâchis criminel. Je peux cependant vous dire que l'auteur y dépeint la partie sombre du rêve américain, le cauchemar derrière la machine à rêves.

Ce récit est vraiment bien plus singulier qu'il n'y paraît. Par son ton tragi-comique, par ses surprises impossibles à anticiper, par le sentiment jouissif qu'on ressent au fur et à mesure de l'avancée de l'intrigue.

Bruce Willis, l'acteur, résume à lui seul ce monde de l'image, y compris par sa représentation décalée dans l'imaginaire collectif (sourire en coin de rigueur). Un monde d'apparences que l'auteur nous raconte avec un talent unique. Pour preuve, ses personnages épatants, avec cette héroïne à laquelle il nous fait profondément nous attacher, alors qu'elle a tout de la tête à claque au début de l'histoire.

Tout le monde aime Bruce Willis est un roman noir aussi distrayant que jubilatoire. Une plongée décalée et surprenante derrière le rideau hollywoodien.

Tout le monde devrait aimer Dominique Maisons !
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Tout le monde aime Bruce Willis…c'est certain. Moi, par exemple, j'adore Bruce, ses films et son sourire inoxydable. Ma femme le trouve formidable et ne rate aucune rediffusion.
Je suis un peu plus nuancé sur ses scénaristes (notez l'emploi du « je » et non du « nous »). Je me demande si, de temps en temps, ils n'en feraient pas un peu trop.
Prenons un exemple. Ma femme m'a toujours dit que je conduisais bien et qu'elle se sentait en sécurité sur la route avec moi. En revanche, elle ne semble pas s'émouvoir de la conduite de Bruce et, si jamais elle en avait l'occasion, j'ai bien peur qu'elle ne sache pas renoncer à un petit tour en décapotable ou en camion de pompiers. Pourtant, ce monsieur méprise profondément le code de la route, se déplace la plupart du temps dans des véhicules qui ne lui appartiennent pas et pour lesquels il n'est évidemment pas assuré. Les raccourcis qu'il emprunte sont toujours à contresens, il roule en sur régime et grille les feux rouges ayant le malheur de croiser sa trajectoire. Je m'étonne du laxisme de la police à son égard. Si je rajoute qu'il semble toujours capable de bricoler deux bouts de ficelle pour réparer une navette spatiale, qu'il porte le marcel à la perfection alors que mes abdominaux ne sont plus tout à fait ce qu'ils étaient au début de sa carrière, vous commencez à comprendre que : oui, moi aussi j'aime Bruce Willis, mais que le gaillard commence sérieusement à m'énerver.
« Jaloux moi, ça va pas ! de toute façon, tout le monde aime Bruce » et puis, c'est pas le sujet parce qu'il est grand temps que je vous parle de Rose. Qu'on soit bien clair, désolé Bruce mon pote, l'héroïne (je veux dire la vedette) de cette histoire c'est Rose ! Et Rose, elle ne s'amuse pas tous les jours. Bien sûr, c'est une vedette d'Hollywood qui « aime jouer à la pétasse pleine de fric ». Mais vous savez ce que c'est, l'image n'est pas tout. Rose est une torturée, une angoissée, une mal aimée. Mal aimée de son père, de sa mère, de son frère, de sa belle-soeur, de son agent, de cette pétasse d'attachée de presse. Alors Rose, pauvre petite chérie, picole et sniffe. Beaucoup trop et ça finit mal. Tentative de suicide, clinique psychiatrique à régime sévère. On la met à l'abri, à l'ombre. Ceux qui profitent de l'usine à dollars exploitant son image vont devoir trouver une solution. Une solution bien tordue, mais une solution tout de même car le robinet doré doit continuer à couler.
Rose avait bien refusé d'incarner la Vierge Marie dans une superproduction (ne sentait pas le rôle), mais ça ne l'empêchera pas de croiser Salomon dont le jugement semble légèrement altéré puis, aux portes d'un bordel de Tijuana, sicarios des cartels mexicains aux trousses, d'être accostée par Jésus.
Vous vous dites que c'est n'importe quoi et que j'ai fumé quelque chose de pas frais, mais vous avez tort. J'essaye maladroitement de vous convaincre de lire ce bouquin qui me semble être beaucoup plus qu'un petit polar sur les dessous pas très propres d'Hollywood. On passe des soirées branchées des premières à l'envers du décor qui fait froid dans le dos. C'est bien écrit, surprenant, et parfois profond dans la perspective des récents scandales : « Etonnamment, on est rarement seul à une partouze, et tous les compagnons de jeu de Weinstein se sont mis à paniquer très sérieusement. Les accords privés se multiplient et on ne compte plus les starlettes qui font fortune en menaçant de révéler les noms des hommes mariés avec lesquels elles ont fait des galipettes. »
Lecture agréable, surprenante avec une pirouette finale très inattendue. What else ?
Vous verrez, même le petit Jésus aime Bruce Willis.
Merci à Mme Masse Critique et aux éditions De La Martinière.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
De toutes les célébrités qui dérapent, et elles sont nombreuses, Rose est la seule à le faire sans aucune joie, sans prendre plaisir à ses propres incartades. Elle a la débauche triste et la provocation désespérée. Gordon a connu des cas similaires par le passé, Britney Spears, Miley Cyrus, Lindsay Lohan, mais hors période de dépression clinique, ces jeunes femmes retrouvaient - ou tentaient de retrouver - une vie normale, en gérant plus ou moins efficacement leurs addictions diverses.

Note : Rose est une étoile montante du cinéma américain et Gordon un agent de sécurité qui veille sur elle.
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Tu n'as plus de vie privée, tu es une star!
Ta vie privée, enfin celle que l'on en voit dans la presse, c'est de la communication!
Le public ne fait pas de différence entre ce que tu es dans la vie et ce que tu es à l'écran.
Tu amènes ta vie aux personnages que tu incarnes.
Tu es un temple consacré aux textes qu'on te confie.
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A Los Angeles, l'argent des cartels est partout. Tu connais le dicton : "Le cinéma blanchit l'argent sale. L'argent sale noircit le cinéma." Les grands narcos aiment ce qui brille et recevoir des vedettes à dîner, ils se tirent la bourre à celui qui compte le plus de stars dans son carnet d'adresses, à ses fêtes d'anniversaire... Ils adorent l'image que le cinéma renvoie d'eux. Ils sont encore plus narcissiques que des actrices. Leur pognon est partout autour de nous.
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Entre le paisible luxe pavillonnaire de San Diego aux pelouses vertes et l'anarchie sale et bruyante de Tijuana aux chiens maigres, il n'y a qu'un petit mur de métal rouillé mais un siècle de développement économique.
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Tournage pour partie en Israël, scénario validé par le Vatican, une équipe de réals avec les meilleurs d'Hollywood, un casting de dingue. Denzel Washington, Tom Hanks et John Goodman sont pressentis pour jouer les Rois mages, pour te donner une idée. On va entrer dans l'histoire, chérie, ça va être gigantesque!
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Sharee, partenaire du Grand prix des Librairies 2023 Sharee est la plateforme d'Interforum-Editis qui aide les libraires à optimiser leur communication sur les réseaux sociaux : la plateforme regroupe au même endroit les meilleures publications réseaux sociaux des Maisons du groupe Editis et permet au libraire de partager en quelques clics les contenus qui l'intéressent sur ses réseaux sociaux. Asler, partenaire du Grand prix des Librairies 2023
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Sous la présidence de Roselyne Bachelot, le jury 2023 était composé de Sorj Chalandon, auteur et journaliste, Agathe Mallaisé, co-gérante de la librairie L'Embarcadère (Grand prix 2022), Katia Leduc, co-gérante de la librairie L'Embarcadère (Grand prix 2022), Florian Lafani, directeur général de Fleuve Editions, Stéphanie Gaou, directrice de la librairie Les Insolites à Tanger, Sophie Bobet, directrice de la médiathèque de la Canopée La Fontaine, Vincent Chabault, enseignant–chercheur de l'Université Paris Cité, Jacques Braunstein, rédacteur en chef de Livres Hebdo et Marie Fouquet, journaliste de Livres Hebdo.
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