AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782732495125
528 pages
Editions de la Martinière (27/08/2020)
3.82/5   192 notes
Résumé :
Hollywood, 1953. L'industrie cinématographique est un gâteau fourré à l'arsenic que se disputent la mafia, l'armée et les ligues de vertu catholiques. Dans ce marécage moral et politique, ne survivent que les âmes prêtes à tout. Le producteur raté Larkin Moffat est de ceux-là. Abonné aux tournages de séries B, il fait vivoter les crève-la-faim du cinéma et enrage contre ce système qui l'exclut. Jusqu'au jour où il se voit proposer la chance de sa vie. Dans cette com... >Voir plus
Que lire après Avant les diamantsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (81) Voir plus Ajouter une critique
3,82

sur 192 notes
La Chasse aux communistes est ouverte à Hollywood en 1953. McCarthy, ses Beagles puritains et ses Setters ascétiques traquent faucilles et marteaux dans les boîtes à outil des scénaristes et acteurs. Chasse à la cour de la Galinette à paillettes. le seul rouge qui est autorisé par les comités de censure, c'est celui du sang versé par les faux indiens dans des westerns de série B.
Les grands studios étant jugés trop indépendants et réfractaires à une propagande trop apparente, l'armée, lassée du subliminal, charge deux agents, un accro aux courses et une jeune femme dopée aux grands principes, d'engager un producteur de navets, Larkin Moffat, pour réaliser un film de genre dopé au patriotisme. L'opération est financée par la mafia et une valise de deux millions de dollars est confiée à Moffat, avec la bénédiction d'un représentant de l'église, gardien de la morale dans la cité des anges, farouche apôtre des ligues de vertu catholique et amateur de jeunes acteurs. Pléonasme.
Le problème de ce Moffat, c'est qu'il est incontrôlable, ambitieux à outrance, pervers et d'une jalousie pathologique vis-à-vis de sa maîtresse, Didi, qu'il veut imposer en tête d'affiche.
Tout l'opération va déraper et révéler la face cachée d'Hollywood, l'exploitation des acteurs par le système, le despotisme des patrons des Majors, la comédie de la vraie vie où les gentils et les méchants boivent dans le même verre à la santé du rêve américain. Il n'y a pas un personnage pour rattraper l'autre, de la Pin-up arriviste gonflée à bloc au réalisateur maudit , du proxénète Siffrédien au sheriff raciste, ils barbottent gaiement dans leurs turpitudes.
Du stupre façon Ellroy à la violence Tarantinesque, le roman de Dominique Maison m'a impressionné par son rythme et sa mécanique irréversible. Tous les personnages de ce polar magistral traversent l'histoire comme un mec bourré qui veut quand même prendre sa voiture à la fin d'une soirée arrosée. Tout le monde sait que cela va mal finir mais le gars se sent invincible, porté par un destin, jusqu'au premier platane.
Dominique Maisons filme les coulisses, les décors en carton, les acteurs sans leur costume, en mêlant au générique, Errol Flynn, Clark Gable, Franck Sinatra et surtout l'irrésistible Hedy Lamarr, qui vole la vedette aux êtres de fiction du roman et tire la couverture à elle, au propre, au sale comme au figuré. Leur dernière séance. Les étoiles ne brillent que la nuit et ces stars désabusées entretiennent leur légende en multipliant les excès en fricotant avec des mafieux, attirés par la lumière. C'est l' «Hollywood Babylone » de Kenneth Anger.
Grand Roman noir backstage qui décortique le mythe hollywoodien et qui décrit cette volonté d'instrumentaliser la machine à rêve pour manipuler les masses. Un régal et un final apocalyptique.
Coupez ! C'est dans la boîte !



Commenter  J’apprécie          734
Los Angeles 1953, Larkin Moffat, producteur de seconde zone dans l'industrie du cinéma, se cantonne dans des westerns où le principal acteur est un vieux comédien sur le déclin. Il est contacté par Chance Buckman et Annie Morrison des militaires. Leur mission est de produire et lui faire réaliser des films mettant en scène l'armée pour en faire la propagande et diffuser une image positive, destinée à séduire les jeunes susceptibles de s'engager, la société de production l'AFE - l'American Family Entertainment venant d'être créée à cet effet. L'occasion est trop belle pour Larkin, ambitieux et prêt à tout, qui se voit attribuer deux millions de dollars et y trouve l'opportunité de placer sa jeune maitresse Didi Brumelle dans le rôle principal. C'est sans compter avec Jack Dragna, un maffieux sur le retour qui finance le projet, et qui lui, souhaite imposer Liz Montgomery, sa protégée, dans le premier rôle féminin. de son côté le père Starace, bien introduit dans le milieu du cinéma, écume les réunions et les manifestations des producteurs et réalisateurs pour collecter des fonds destinés à financer ses actions de bienfaisance, mais dans cette époque baignée par le Maccarthysme, il n'est pas bon d'être homosexuel. C'est lors d'une de ces soirées que Jacinto, son jeune amant latino sympathise avec Liz et Didi, les deux femmes se sentant attirées l'une par l'autre. Les évènements vont se précipiter, le magot de deux millions devenant l'objet de tous les désirs.

Avant les diamants est une sorte de fresque noire et cynique du cinéma ou plutôt de ses dessous sordides où tous les coups sont permis entre promotions canapé, de plein gré ou sous contrainte, parties fines où drogues et stupéfiants coulent à flot, autant que l'alcool, photos compromettantes servant de moyens de chantages, élimination de starlette de façon sadique, tous les moyens les plus bas et cruels sont bons pour arriver à ses fins - obtenir un rôle ou la réalisation d'un film. Avant les diamants est donc une vision au vitriol de l'industrie américaine du cinéma, sous le joug des producteurs eux-mêmes pilotés par les agences gouvernementales - en tète l'armée - pour véhiculer le bien fondé d'une politique ou d'un style de vie, le tout sous censure du Maccarthysme.
Même si la galerie de personnages est bien incarnée, j'ai trouvé le récit très froid, un texte à charge qui probablement aborde des problématiques réelles mais qui m'a oppressée. Servi par une écriture au scalpel, le roman est épuisant dans la cruauté et le cynisme, avec des séquences de sadisme, des personnages bien dessinés mais peu sympathiques
Très noir et très crû.
Commenter  J’apprécie          452
Silence,
On tourne...

Il arrive que l'on prenne une claque avec nos lectures.
Là, je viens d'en prendre une magistrale.
Je vais m'en relever, certes, mais quand même.
Cette gifle, je l'ai prise pas tant par le style de l'auteur qui est efficace, c'est indéniable, que par le sujet.
Ah ! Hollywood et son âge d'or.
J'en ai rêvé.
Ses stars, ses paillettes, ses fêtes, ses excès...
Mes rêves, Dominique Maisons les transforme en cauchemar.
Non, non,  je n'exagère pas.
Comment détruire un mythe en cinq cent pages.
Pour moi, il faut aborder Avant les diamants comme un film noir.
Vous savez, de ceux qu'on tournait dans les studios hollywoodiens dans les années 50. (1950, je précise pour ceux qui liront cette chronique dans trente ans...).
Donc, noir et blanc imposé. de toute façon, on n'imagine pas les acteurs, que l'on va croiser dans ce roman, en couleur, parce que vous allez en croiser, je vous le promets, d'Errol Flynn à Clark Gable ou de Kim Novak à Edie Lamarr et bien d'autres.

Moteur !

L'armée veut investir dans le cinéma indépendant, Hollywood est une poule aux oeufs d'or, et tout le monde veut sa part du gâteau. Les gens du milieu (Je parle des gens du cinéma) mais aussi, les gens du milieu (là,  je parle de la mafia). C'est d'ailleurs à ce milieu-là qu'un couple de militaire, en service commandé, va demander d'investir une grosse somme d'argent pour le tournage d'un film.
Une très grosse somme.
Qui fait des envieux.
Et là... ouverture de la cage aux fauves.
On lâche des lions, des loups, des hyènes... tout ce petit monde n'a plus rien d'humain.
Les rêves de grandeur, de gloire, de richesse, font tourner les têtes.
Au bal des ordures il y a foule.
Maisons va vous emmener dans un Hollywood que vous n'auriez jamais imaginé. Oh, bien sûr, on en a entendu des histoires, de drogues, d'alcools, d'orgies... mais là, noir, c'est noir.
Pour espérer réussir, il faut faire des sacrifices et donner de sa personne dans tous les sens du terme, s'abandonner au pire, perdre tout orgueil...
Derrière les images glamour que de larmes.
Au début, je suis rentré presque discrètement dans son histoire, il plante le décor, comme sur un plateau de tournage, il nous présente le casting et une fois que tout est en place... c'est là que vous prenez le premier coup. Déjà, ça fait mal parce que vous ne l'aviez pas vu venir, ensuite ça s'enchaîne jusqu'à une fin digne des meilleurs scénarios.
Tout ce qui se passe dans la deuxième partie du livre va vous laisser KO.
L'idée de génie de l'auteur, c'est aussi d'avoir mélangé, dans son récit, des personnages réels et célèbres et des personnages de fiction et d'avoir rendu tout ça crédible.
L'un des meilleurs romans noirs de l'année.
Ce livre ferait un film formidable.

Coupez !



Commenter  J’apprécie          343
L'éditeur a rajouté au titre sur le bandeau de couverture « le roman noir d'Hollywood ». Parfaite définition de ce livre. Un grand roman noir axé sur le milieu du cinéma en 1953. En pleine guerre froide et chasse aux « rouges », l'armée américaine entend peser encore plus sur l'image de l'action des États-Unis donnée au monde par l'usine à rêve hollywoodienne.

Les grands studios suivent déjà les recommandations morales du code Hays. La commission McCarthy traque les soutiens communistes, réels ou supposés : scénaristes, réalisateurs et acteurs. Mais, alors que les GI partent repousser le communisme en Corée, l'armée veut diffuser encore plus l'image du soldat combattant de la liberté.
Pour cela le bureau de liaison de l'armée à Los Angeles est chargé de soutenir en sous-main l'émergence d'un studio indépendant qui suivrait à la lettre les directives des militaires. le major Buckman, joueur invétéré, et Annie Morrison, l'agente qui lui a été adjointe – et qui ne le laisse pas indifférent, choisissent Larkin Moffat. Un producteur de films de série B, âpre au gain, sans surface financière et sans scrupules.
Pour trouver des financements pour leur nouveau poulain, les militaires se tournent vers le père Starace, à la tête de la ligue de vertu chrétienne, qui peut soutenir les films correspondant à leur idéal de la famille américaine.

Les personnages s'animent, se croisent, dans un milieu machiste, où quelques directeurs de studios font et défont les stars. le Hollywood de 1953 fait rêver les jeunes filles qui veulent succéder aux gloires de l'époque, mais les agences d'acteurs et les réalisateurs profitent de leur naïveté. L'argent circule, au profit de tous, notamment de la mafia, tendance Mickey Cohen, alors en prison. le récit montre les ambitions des uns et des autres, leurs compromissions et leurs faces cachées. Les images publiques doivent être parfaites, mais dans les arrières cours se déroulent des amours que la morale d'alors condamne. Certains trouvent leurs plaisirs dans des lupanars, d'autres dans des bouges des quartiers sud de Los Angeles. Addiction au sexe, aux stups ou aux jeux : this is Hollywood.

Dominique Maison bâtit son intrigue en mélangeant toutes ces caractéristiques qui font de ce début des années 50, une époque en cinémascope. Au fil du récit, le lecteur croise Errol Flynn, Franck Sinatra, poussé par la Mafia, John Wayne, à la démarche chaloupé comme dans ses westerns, Ronald Reagan, alors président… du syndicat des acteurs.

La plongée dans l'époque et dans le monde du cinéma est totale. Les détails et anecdotes foisonnent.

Au regard de la densité de l'ouvrage, les dernières pages déçoivent un peu. Maisons en fait trop. Seul un Tarantino pourrait aujourd'hui s'enflammer pour un tel final.

Remarquablement écrit, parfois très cru, Avant les diamants passionnera tout amateur de cinéma… et tout fan de ces polars à l'ambiance glauque où on croise un détective privé en imperméable, des policiers faisant justice à leur façon, ou un monsieur tout le monde coursant un agresseur pour les beaux yeux d'une pin-up vénéneuse.

Un bel hommage au cinéma et au roman noir.
Commenter  J’apprécie          290
Hollywood, formidable instrument de propagande, un Panzer idéologique qui depuis que le cinéma existe inonde la planète. Los Angeles 1953. le gouvernement américain s'effraie, les pontes des studios réclament plus de liberté et un nouveau cinéma pointe le bout de nez.

L'armée est bien décidée à prendre le contrôle de toutes les séries B prochaines, pas question que de petits films indépendants sapent le moral de notre belle jeunesse.

Le major Chance Buckman et l'agent Annie Morrisson sont dépêchés pour mettre en chantier un premier film « indépendant », ils doivent trouver un producteur et un scénario, pour le financement, il y aura toujours un mafieux qui raclera ses fonds de tiroirs pour blanchir ses dollars dans la machine à rêves. On ne fait pas forcément des films pour créer des oeuvres d'art, mais plutôt pour pouvoir s'en acheter.

Un producteur sans scrupules qui s'imagine déjà jouer dans la cour des grands, des starlettes prêtes à tout, un curé amoureux, des flics très ripoux, des tueurs à gages et deux millions de dollars en cash : la triste mais fascinante comédie humaine peut commencer.Sexe, drogue, flingue et vitriol en vingt-quatre images secondes.

Dominique Maisons, en vrai cinéphile mordu- il nous l'avait déjà prouvé avec un précédent roman, nous livre un polar très noir traversé par tout ce qui a fait Hollywood dans l'après-guerre, un véritable name-dropping glamour et désenchanté.

Très documenté, « Avant les diamants » est une méticuleuse déconstruction du mythe Hollywoodien.

Le lecteur, pris par une écriture vive et haletante a parfois du mal à dénouer le vrai du faux. Mais si le mythe est plus romanesque et trash que la réalité, imprimons le mythe.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          362

Citations et extraits (62) Voir plus Ajouter une citation
- Nous devons convaincre le monde que l'usage de la force par les États-Unis est toujours légitime. Nous sommes le camp du bien et nos actions sont guidées par des idéaux démocratiques et pacifiques. Nous n'utilisons la force que quand elle est juste et nécessaire. Tous les films de votre bordel décadent doivent servir à véhiculer cette idée. Je me fiche que les films nous montrent en train de botter le cul à des Japs, des nazis, des cocos, des Martiens, des robots ou des insectes géants. Vous ne manquerez pas d'idées, je n'en doute pas. Je veux que chaque mois, des gamins dans le monde se précipitent au cinéma pour aller voir des soldats américains rétablir l'ordre et la paix. Nous sommes le camp du bien, il ne doit y avoir aucun doute là-dessus. Nous sommes la force du juste au service du plus faible et de la paix. (p. 457)
Commenter  J’apprécie          20
Flynn monte sur le plongeoir de sa piscine et fait signe à ses convives de se rassembler autour de lui pour écouter son discours inaugural.
- Mes amis, j'ai le plaisir de vous apporter en personne la preuve que je suis toujours vivant ! N'en déplaise aux maris jaloux, aux producteurs peine-à-jouir et aux ligues de vertu, Errol Flynn bande encore. J'ai survécu à la malaria, à la tuberculose, à la lombalgie, à la guerre d'Espagne, à une ex-femme française et à Jack Warner... autant dire que je suis quasiment immortel. Je sais que je me fais rare en Californie, le cinéma ne m'intéresse plus tellement, j'ai passé l'âge de sautiller en collants ailleurs que dans ma chambre à coucher.
(page 155)
Commenter  J’apprécie          240
- C'est cela : il faut faire appel à ces instincts pour mieux les contrôler. Il faut fabriquer du consentement. C'est ce que font tous les grands groupes aujourd'hui. et c'est ce que le cinéma doit faire; modeler les films en fonction des goûts du public et non pas tenter de modeler les goûts du public pour qu'ils correspondent à leurs films. Ils doivent apprendre à utiliser les attentes des masses, pour les amener dans les salles et leur passer des messages simples, sur l'hédonisme et la consommation.
Commenter  J’apprécie          80
Je rêve qu’un jour Marylin pète un câble et raconte en direct à la télévision tout ce que ces dégueulasses lui ont fait subir. Si on prend toutes sa suite, ça sera la bérézina des gros nazes et le grand nettoyage d’Hollywood.

Ça finira par arriver, prophétise Tallulah, songeuse.
Commenter  J’apprécie          150
Comme l'a dit Walter Wanger, un immense producteur : "Le commerce suit les films, nous devons allier la diplomatie traditionnelle à Donald Duck". Je crois que l'industrie a bien conscience que nous sommes là pour transmettre l'American Dream au monde. Grâce au rayonnement du cinéma, dans vingt ans, tout homme aura deux nationalités, deux cultures: la sienne et l'américaine.
Commenter  J’apprécie          100

Videos de Dominique Maisons (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dominique Maisons
Sharee, partenaire du Grand prix des Librairies 2023 Sharee est la plateforme d'Interforum-Editis qui aide les libraires à optimiser leur communication sur les réseaux sociaux : la plateforme regroupe au même endroit les meilleures publications réseaux sociaux des Maisons du groupe Editis et permet au libraire de partager en quelques clics les contenus qui l'intéressent sur ses réseaux sociaux. Asler, partenaire du Grand prix des Librairies 2023
Fanny RUPH, directrice marketing et digital chez Editis, et Dominique MAISONS, directeur du développement librairies chez Interforum, nous présentent la plateforme Sharee.
Livres Hebdo et la Sofia ont dévoilé les lauréats du 5e Grand prix Livres Hebdo des Librairies, lundi 19 juin à Paris.
*LAURÉATS 2023* - le *Grand prix* a été décerné à *LA FABRIQUE (Bar-le-Duc)* - le *Coup de coeur du jury* a été remis à la *LIBRAIRIE DU PLATEAU (Chevilly-Larue)* - le *Prix de l'Animation* a été décerné à *ALÈS BD (Alès)* @alesbdtinydeskdedicace7214 - le *Prix de la Valorisation du Fonds* a été décerné à *L'AUTRE MONDE (Avallon)* - le *Prix de la Communication* a été décerné à la *LIBRAIRIE GALIGNANI (Paris)* @librairiegalignani1058 - le *Prix de l'Espace intérieur* a été décerné à la *LIBRAIRIE QUARTIER LIBRE (Flers)* @librairiequartierlibrefler4561 - le *Prix du Service innovant* a été décerné à la librairie *LES GUÉRILLÈRES (Huelgoat)* - le *Prix de la Reprise* a été décerné à la librairie *LES MOTS A LA BOUCHE (Paris)* - le *Prix de la Librairie francophone hors de France* a été décerné à *KYRALINA (Bucarest)* @librairiekyralina2059 - le *Prix Spécial des Libraires de l'année* a été décerné à *ISABELLE ET MARC GAUCHERAND de la librairie LE BLEUET (Banon)*
Sous la présidence de Roselyne Bachelot, le jury 2023 était composé de Sorj Chalandon, auteur et journaliste, Agathe Mallaisé, co-gérante de la librairie L'Embarcadère (Grand prix 2022), Katia Leduc, co-gérante de la librairie L'Embarcadère (Grand prix 2022), Florian Lafani, directeur général de Fleuve Editions, Stéphanie Gaou, directrice de la librairie Les Insolites à Tanger, Sophie Bobet, directrice de la médiathèque de la Canopée La Fontaine, Vincent Chabault, enseignant–chercheur de l'Université Paris Cité, Jacques Braunstein, rédacteur en chef de Livres Hebdo et Marie Fouquet, journaliste de Livres Hebdo.
Un événement @livreshebdo_ organisé en partenariat avec @SofiActionCulturelle, @societe2dcom571, @adliber, Asler, Ammareal, @bookconseilformation3122 et Editis x Interforum. Avec le soutien du SLF, de @CanalBDvideos, @leslibrairesdenhaut3879 et de @alcanouvelleaquitaine.
© Livres Hebdo
#GPL23 #Cérémonie #Librairies #sharee #editis #interforum
+ Lire la suite
autres livres classés : hollywoodVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (423) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3182 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}