Sentiment 26

La dystopie fait partie des genres que j'ai commencé à lire l'année dernière et que j'aime beaucoup même si selon moi les 3/4 des histoires dystopiques deviennent souvent lassantes à causes d'éléments qui reviennent sans cesse et qui se ressemblent tous plus ou moins. J'ai découvert la plume de Gemma Malley avec sa trilogie "la déclaration" que j'avais adoré, ce fût donc un plaisir de me replonger dans ses écrits.

Encore une fois, comme dans toute bonne dystopie qui se respecte, l'histoire se déroule dans une société post-apocalyptique dans laquelle une dictature est instaurée et où les gens vivent comme des robots sans avoir le droit de penser, dire ou même rêver comme ils le souhaitent.

Évie fait partie de cette société restrictive, c'est une jeune fille pleine de vie et malgré sa fidélité face aux règles qui régentent leur société, elle n'hésite pas quelques fois à les contourner pour s'octroyer du bon temps auprès de Raffie un ami d'enfance classé d'et surtout le frère de Lucas un A destiné à épouser Evie. Un soir tout déraille, la vie de Raffie est en danger on le destine à passer E autrement dit sa mort est programmée, le temps est compté, Evie et Raffie subtilise une clé qui va pouvoir les aider à partir loin de cette société qui est loin d'être saine.

J'ai beaucoup aimé retrouvé cet esprit dystopique et l'écriture de Gemma Malley qui est toujours aussi agréable à lire. Dans la première partie nous avons toute la présentation des personnages principaux et l'organisation de cette société sous l'emprise du guide suprême, c'est cette partie que j'ai la plus appréciée parce que l'autre partie est pour moi un gros flop que je n'ai pas vu venir. Même si les informations sont intéressantes et nous aident à comprendre le pourquoi du comment concernant la construction de cette société je n'ai pas du tout aimé les personnages de l'extérieur et surtout j'ai trouvé que l'histoire s'essoufflait petit à petit à tel point que j'ai fini le livre en lisant les pages en diagonal.

Une grosse déception, même si l'écriture de Gemma Malley est vraiment chouette et malgré de bonnes bases, je n'ai pas adhéré à l'histoire dans son intégralité. Inutile de préciser que je ne lirai pas le tome 2 malheureusement.

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Une idée de départ qui a du mérite, l'organisation de la Cité en castes plus ou moins méritantes, un monde extérieur hostile, et une héroïne qui va être confrontée à un dilemme ... Mais malheureusement je trouve que l'ensemble n'a pas été assez creusé et l'on ressent vite les limites de cet univers, de ce système qui manque de profondeur et de détails. Ce livre peut plaire à des adolescents qui découvrent le genre littéraire qu'est la science-fiction, mais ne convient pas à des lecteurs plus avertis à mon sens.

J'avais lu beaucoup de bien sur cette dystopie, et friande du genre je ne pouvais passer à côté !
Globalement je dois dire que je suis déçue. Ce n'est pas horriblement mauvais mais comparé à ce qui s'est fait ou se fait dans ce style là, j'ai lu bien mieux.

Le premier point qui transparait assez vite en cours de lecture c'est que l'ensemble est survolé, peu creusé et manque de consistance. On n'en sait peu sur la situation et sur ce qui a motivé ce repli sur soi de la Cité ainsi que son traitement drastique des citoyens (je dirai presque merci le quatrième de couverture, sans lui on ne saurait pas grand chose) mais que parallèlement on cerne vite qui est le grand méchant de l'histoire...
C'est naïf et plus orienté jeunesse que YA selon moi.

C'est aussi le cas sur la part romance assez simpliste alors qu'il y avait matière à faire quelque chose de plus prenant surtout grâce à Lucas. Malley rate le coche là encore.
Tout à fait subjectivement je n'ai pas accroché avec Raffy et je n'ai pas non plus compris ce que lui trouvait Evie.
Je suis un peu passée à côté de cette romance que j'ai trouvé décevante au final.

A l'inverse (heureusement il y a aussi quelques points positifs), j'ai apprécié le personnage de Lucas et aussi celui du vieux meneur de la résistance. Je regrette juste que Malley ne les ait pas mieux exploités.

En résumé Sentiment 26 n'est que le survol d'une intrigue dystopique et d'une romance. Certes c'est bref et l'on a pas le temps de s'ennuyer mais l'ensemble manque cruellement d'épaisseur ce qui rend le roman naïf et de peu d'intérêt.
L'idée de fond, tout comme les personnages et leurs interactions promettaient pourtant une bonne dystopie, c'est dommage.
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J'ai découvert ce roman au détour d'une étagère, je l'ai choisi car j'avais lu (et aimé) La Déclaration du même auteur. C'était même à l'époque ma première dystopie. Malheureusement, je n'ai pas aimé ce livre.
Le choix de la 3e personne n'a pas aidé. Je préfère être dans la tête du héros quand je lis une dystopie, pour me sentir "impliquée". Ca n'a pas été le cas ici, et comme beaucoup d'autres lecteurs (après lecture de leurs critiques), je n'ai rien ressenti envers les personnages. Pas d'empathie, pas de compassion, pas d'attachement. RIEN.
J'ai été très étonnée après quelques pages. Écrire en 2012 une histoire aussi "déjà vu" ? Mais j'ai voulu voir ce que ça pouvait donner. Au final, rien de terrible. Démarrage très lent, un système autoritaire peu original, une héroïne avec peu de personnalité, un Raffie à baffer (plutôt imbuvable ce mec...).
Le point positif, c'est que l'auteur ne s'est pas "foutue" de ses lecteurs comme dans d'autres dystopies ratées. Son histoire n'est pas captivante, l'action est presque inexistante (ou molle), on devine pas mal de choses. Un seul doute subsiste à la fin mais je laisse les curieux le découvrir même si la conclusion peut laisser perplexe...

Mon avis sera certainement très court puisque je n'ai pas grand chose à dire sur ce livre… et c'est dur pour moi de l'admettre. Pour vous donner une idée de mes sentiments quant à ce roman, sachez que je n'ai même pas réussi à être déçue tant je n'ai été touchée par absolument rien provenant des pages de ce livre. D'ailleurs il semblerait qu'une suite soit prévu, que je ne lirai pas. Voila, c'est dit.

On apprend l'histoire du Système au milieu du livre et si l'idée d'un savant fou aux idées manipulées pour rendre le monde meilleur en apparence m'a charmé, la manière dont l'auteur a tourné l'histoire ne m'a rien apporté. Sincèrement, je partais avec le sourire aux lèvres mais j'ai l'impression que si les idées de l'auteur pouvaient être un tantinet intéressantes, elle s'est laissée engloutir par des montagnes de clichés qui rendent la lecture pénible et finalement ennuyeuse.

Les premières pages nous présentent le Système dans ses moindres détails et c'est long. Je veux bien que l'auteur ait créé un monde qu'elle veuille nous faire connaître mais là c'est trop poussé. Même dans la narration il y a des problèmes. Les phrases sont coupées et, si un effet était recherché, moi ça m'a plus gênée qu'autre chose. Sujet, verbe, complément : voila comment pense l'héroïne et c'est rapidement lassant.

Si je n'aime pas les triangles amoureux en général, ce livre a réussi à me faire haïr l'amour et les femmes le temps de ma lecture. le triangle est cliché au possible et n'a absolument aucune raison d'être. L'héroïne change d'avis sur les hommes qui l'entourent plus vite que Bella dans Twilight. La voir voler de cage en cage pendant plus de 300 pages m'a rendu folle. Quant aux garçons, ils sont vide et sans âme. Je ne me suis accrochée à aucun des personnages présent dans ce roman. Même leur histoire, censé attendrir le lecteur, m'ont fait soupirer d'exaspération.

Je ne me suis pas attachée à l'histoire, pas même aux personnages ni à leurs passés. le triangle amoureux m'a écoeuré comme jamais et j'ai trouvé le livre creux dans son ensemble. L'idée était bonne, mais le sujet est mal traité à cause des clichés que l'auteur n'a pas su éviter.
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Je trouve ce roman décevant. Autant j'avais été emballée par la trilogie de Gemma Malley, autant je suis restée sur ma faim avec ce nouveau roman. L'histoire est peu originale : Evangéline vit dans une société dirigée par un guide suprême qui n'accepte que des individus bons (sans mauvais sentiments) dans sa cité. Ces habitants se doivent de n'avoir que des pensées pures et bonnes. Evie, notre héroïne, lutte contre des pensées qu'elle juge impures et déshonorantes pour ses parents. Elle est amoureuse en secret de son voisin Raffy, alors qu'elle est promise au frère aîné de ce dernier.
L'intrigue n'a rien d'original : nos héros vont s'échapper de la cité puis décider d'y revenir pour faire basculer le chef en place. Evie fait une héroïne bien peu convaincante lorsqu'elle décide de se montrer courageuse et de lever elle-même une arme contre le chef suprême. Quant à ce dernier, habitué à gouverner seul et selon ses propres volontés depuis des années, on a du mal à imaginer qu'il puisse être effrayé par une gamine, et la supplier de l'épargner. La fin est particulièrement peu crédible.
Bref, une lecture un peu terne, sans grande surprise...

Gemma Malley nous offre dans cette nouvelle trilogie un univers dystopique cohérent et bien pensé. Les personnages sont plus ambigus que dans La Déclaration, mais je regrette malgré tout la naïveté et la timidité qui collent à la peau de l'héroïne. J'ai également été déçue par le manque de surprise et de retournements de situation, d'autant plus que l'intrigue est longue à se mettre en place et qu'il se passe finalement très peu de choses dans ce tome.

J'ai donc eu du mal à adhérer à ce roman, dont certains aspects m'ont fait penser à d'autres dystopies, et qui ne parvient pas à véhiculer d'émotions fortes selon moi. Tout ça est bien pensé et bien écrit, mais n'a pas fait naître la petite étincelle en moi, celle qui change tout et transforme un simple roman en un véritable voyage alliant plaisir et réflexion.
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Je suis une grande fan des dystopies (mes préférées sont Hunger Games et Delirium, et récemment j'ai adoré le dernier jardin). Ne sachant pas trop quoi lire, j'ai décidé de fouiller un peu dans ma bibliothèque où j'ai retrouvé ce roman très prometteur que je n'avais jamais lu, pour la simple et bonne raison qu'il est écrit à la troisième personne et que je n'aime pas ça. J'ai néanmoins décidé de me lancer...

Nous suivons ici l'histoire d'Evie, une jeune fille classée B qui habite dans la Citée et qui est promis à Lucas, un A. En effet, dans la Citée, tous les bébés subissent une opération pour qu'on leur enlève l'amydale, une partie du cerveau qui serait à l'origine des mauvais comportements, et les habitants sont ensuite classés de A à D, et même à E pour ceux qui ont fait une faute grave.

Quand j'ai appris pour l'opération, je me suis dit "chouette", parce que cela me faisait penser à Delirium et que j'adore cette trilogie.

Mais après, les choses ont commencé à avancer et mon sentiment au sujet de ce roman a pris une nouvelle tournure.

C'est un bon roman. Une écriture comme j'aime, dans le sens où ça va vite, où on s'ennuie pas. C'est un roman rapide où tout s'enchaine de telle façon qu'on n'a même pas le temps d'imaginer ce qui va se passer après, et dans ce sens, les évènements peuvent être surprenants. Les pages se tournent à une vitesse folle.

Mais d'un autre côté, et c'est surtout cette impression là que je vais retenir de ce roman, je n'ai pas du tout été emballée par l'histoire. Je ne me suis pas attachée aux personnages, ni même à Evie à cause du point de vue qui maintient une distance avec elle. Je n'ai pas appréciée Raffy, et par rapport à Lucas, j'ai trouvé bizarre tout ce qu'on raconte sur lui, incohérent en quelque sorte, mais d'un autre côté c'est tellement prévisible. On ne ressent pas leurs sentiments, on est bien trop éloigné d'eux, enfin ils ne m'ont pas touchée et je le regrette. En outre, les autres personnages sont presque inexistants à part quatre-cinq autres. Et on apprend rien sur personne, comme s'il n'y avait pas de passé, comme s'ils ne servaient que de décor et n'existaient pas avant, n'existeront plus après, non't pas d'existence s'il n'y a pas Evie dans le coin. On arrive pas à se les représenter, ils ne sont pas assez humains à mon goût. Je n'ai également pas apprécié le comportement d'Evie la plupart du temps.

Ensuite, j'ai trouvé l'histoire trop... par farfelue car ça aurait pu être un compliment, mais trop simple tout en étant compliqué. J'ai eu l'impression que l'auteur s'était pris à la facilité. Tout s'enchaine bien trop parfaitement, et c'est souvent bien trop pratique. J'aime quand, dans un roman, tout est réaliste, dans le sens de cohérent, tellement qu'on pourrait croire que les situations qui y sont décrites se déroulent sous nos yeux (ce qui est possible même dans les livres avec des sorciers et tout, je parle de réalisme dans les situations et comportements, pas dans l'univers, car là, au contraire, c'est aussi bien qu'il soit totalement fou). Or, ici, on ne peut clairement pas s'imaginer vivre cette vie. Dans le roman, il y a bien trop d'incohérences, enfin ce n'en sont pas vraiment, mais je ne sais pas trop comment les appeler. Comme le comportement de Lucas. Comme ces passages où Evie et Raffy sont chez la jeune fille et doivent être discrets mais que l'auteur écrit "crit Raffy" mais qu'en plus les parents ne se réveillent pas. Et j'ai trouvé pour finir que tout coïncidait trop bien. J'aime pas ça. Je préfère quand l'auteur laisse de petits indices pour nous permettre de mieux comprendre l'univers.

Si ça avait été une saga, j'aurais sûrement arrêté ma lecture en plein milieu du roman. Mais comme ce n'est qu'un roman, je me suis pas forcée, mais incitée à lire ce livre jusqu'à la fin pour connaître cette fin, même si je n'étais pas non plus super curieuse. Je m'en fichais.

A mes yeux, au niveau de l'action et du rythme du roman, c'est réussi. Mais par rapport à l'histoire en elle-même, j'en attendais plus, je voulais plus de difficulté, plus de sentiments, plus de réalisme dans les comportements.

J'en voulais plus.

Bon tout est caricatural dedans. Je suis désolée, mais vraiment. Rien d'original, même dans l'histoire. La société mise en place est très proche de certaines sectes religieuses que l'on connait déjà, ce principe d'auto-flagellation quand Evie a des pensées impures n'en finit pas pendant des pages et des pages. Et puis d'un coup l'histoire s'emballe, tout s'accélère, les choses vont vite, trop vite. Avec des passages à peine compréhensibles.
Enfin... le pire n'est pas là.
Les personnages! Quelle horreur!
Les deux personnages principaux Evie et Raffy sont insupportables.

plus d'infos par là
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Très bon livre mais fin décevante...