Mandin, avec Frôlements émotifs, n'emploie plus de JE. Il parle d'un IL, un personnage qui semble être indépendant. Lassitudes et frôlements des personnages, des histoires mais toujours avec émotion se retrouvent associés dans un titre ; à plus d'un titre. Le poète balaye de la main (du vers) tous les amalgames sentimentaux, il prône la lucidité des " états d'âme " se détourne de la complaisance des acceptations incongrues.
Il donne à lire des textes qui décr... >Voir plus