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Alix Sénateur (Les aigles de sang)

A Rome,des personnes importantes se font tuer par des aigles .Alix doit enquêter avec sont fils et celui de son ami sur ces morts pour découvrir si c'est une malédiction ou un attentat politique .


Pour commencer , ce livre m'a plu , car pour moi c'est une belle histoire et j'aime tout ce qui est enquêtes. Cependant de temps en temps , je me suis un peu perdue ,car il y a beaucoup de personnages et de prénoms.

Je n'ai pas réussi à lâcher ce livre jusqu'à ce que je finisse l'histoire

Puis,j'ai bien aimé les dessins ,les couleurs et la couverture est jolie .


Pour ceux qui aime l'histoire et les enquêtes policières, je vous le conseille .
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Nous sommes en 12 avant Jésus-Christ. Auguste est enfin devenu empereur. Alix est devenu sénateur. Agrippa, le gendre d'Auguste, va être tué par un aigle, l'oiseau de Jupiter. Quel symbole, ces mêmes aigles ayant attribué le caractère divin à Auguste.

Auguste va demander à Alix de retrouver le meurtrier de son gendre, de retrouver le dresseur de l'aigle mais sans que cela ne se sache afin de ne pas affoler le peuple.

Alix va mener son enquête dans le monde de la fauconnerie. Il devra aussi faire une incursion du côté des prêtres. L'intrigue se pose peu, se construit même si assez vite, on a une petite idée de qui se trouve derrière toute cette machination.

Le graphisme proposé est assez académique. Alix est dépeint comme un personnage très statique, comme la majorité des personnages de cette histoire. Thierry Démarez met l'accent sur les expressions des visages. Ce sont ces expressions qui créent l'impression de mouvement. Les vues de Rome sont réalistes, même si je préfère celles données par Philippe Delaby dans la série Muréna.

L'idée de reprendre le personnage de Jacques Martin , alors qu'il a vieilli et qu'il est installé dans son rôle de sénateur romain, est intéressante. Ainsi de l'épaisseur est donnée à Alix, de la maturité.

Je n'étais un fan d'Alix mais ce Alix Sénator me donne envie de découvrir la série initiée par Jacques Martin mais aussi de lire les autres aventures d'Alix Sénator.
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Voici une reprise magistrale du personnage d'Alix plus de 20 ans après la série originale. Non seulement le personnage mais aussi d'autres qui ont croisé le jeune gaulois. L'intrigue est modernisée, empreint de la couleur historique nécessaire à ce type de série et le graphisme qui s'éloigne du classique ligne claire de J Martin, réinterprète magnifiquement les personnages bien connus.
Alix est désormais père de deux jeunes ados très différents, l'un son fils par le sang, l'autre celui d'Enak, disparu depuis des années. C'est par des affaires de famille que va reprendre le travail d'enquêteur d'Alix devenu sénateur sous la mandature d'Octave. Agrippa l'héritier de celui ci vient d'être assassiné de façon plutôt mystérieuse. Est ce un complot qui se trame contre l'empereur...
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Un sombre complot se trame à Rome…
Auguste a été élu empereur mais depuis son sacre, plusieurs personnalités de la cour, dont Agrippa, son bras droit et beau-fils, ont été assassinés par des aigles. Ces aigles représentent-ils la justice divine de Jupiter ou servent-ils d'armes pour réaliser les sombres desseins des assassins qui attendent leur heure de gloire en coulisse ? Alix mène l'enquête à la demande de l'empereur …

Un tome sympathique qui mêle mythologie, jeux de pouvoir et meurtres au coeur de Rome.
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J'avais arrêté de lire la série des Alix en 2015 au tome 21 trouvant les scénarios et les dialogues de plus en plus périls. Je n'étais plus un lecteur potentiel, à mon grand regret, de cette série, et j'avais dédaigné à l'époque cette innovation que constituait "Alix Senator" avec un Alix sénateur quinqua.

Je me rattrape aujourd'hui. Et tout a changé. le scénariste, le dessinateur. Même ce gros boulet d'Enak n'est plus là, c'est dire.
Nous sommes en -12, sous le règne d'Auguste, l'héritier de Jules César. Son gendre Agrippa est tué par un aigle aux serres d'or en Campanie (alors, pour ceux qui ne le savent pas, il est vraiment décédé à cette époque mais sûrement de maladie). Auguste, qui est ami avec Alix lui demande alors d'enquêter pour savoir si c'est un accident ou un meurtre...

Premièrement, ce qui surprend au premier regard, ce sont les dessins de Thierry Démarez qui sont beaucoup plus adultes, plus réalistes que ceux de Jacques Martin. Valérie Mangin a également rendu Alix plus mature, moins insouciant, plus chiant. Et c'est peut-être cela qui m'a gêné dans ce premier album. Alix m'est beaucoup moins sympathique que dans la série originelle. Il semble même ne pas être le vrai héros : il subit plus qu'il n'agit, contrairement aux enfants/adolescents Titus et Khephren qui découvrent, eux, le complot.
Ensuite. Quoi ?? Titus est le fils d'Alix ! Alix aurait fait la chose avec une femme !! Alix n'est donc pas un être asexué comme le laissaient penser ses aventures ! Il ne reste plus que Tintin et Astérix alors dans cette catégorie.

Bref, je suis plutôt dubitatif sur cette nouvelle série sur Alix parce que ce premier tome ne m'a pas convaincu. Il est quand même nettement moins orienté aventure-exotisme-voyage que ne l'étaient les albums de Jacques Martin. Mais c'est vrai que le public visé semble être plus âgé (scènes sanglantes, orgie avec femmes aux poitrines dénudées).
A voir. Il faut laisser le temps au produit, il paraît.
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Alix est devenu sénateur. Il a 50 ans, il veille sur son fils Titus et sur Kephren le fils d'Enak qu'il a adopté. Nous sommes en 12 avant Jésus-Christ. Auguste est empereur. Il n'y a plus de prêtre de Jupiter dans Rome, et le premier augure du temple de Jupiter apostrophe l'empereur qui a d'autres chats à fouetter.

L'empereur doit aussi faire face à deux assassinats, ceux de Marcus Aemilius Lepidus, grand pontife de Rome, et d'Agrippa, le gendre d'auguste. Selon Titus et Kephren, ce sont des aigles qui leur déchirent les entrailles, leurs serres armées d'ergots de métal, tranchants et coupants.

Alix est chargé par l'empereur de débrouiller cette intrigue, entre règlement de comptes et supersitions. Son enquête va le mener dans les coulisses des temples et du pouvoir. On complote à Rome, mais ce n'est pas nouveau, vu qu'Auguste faisait partie de ceux qui ont poignardé Jules César.

Reprendre un personnage comme Alix n'est pas chose aisée. Mangin et Démarez font un travail historique et graphique remarquable. En même temps, vieillier Alix et en faire un sénateur, c'est une idée particulièrement porteuse. Ils accomplissent un tour de force supplémentaire en connectant cette aventure à une aventure d'Alix quand la série était dessinée par Jacques Martin. La boucle est bouclée, avec brio.
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Un scénario un peu vain, mais pas sans serres.

Parlons dessin, d'abord.
Difficile de passer à côté de cette somptueuse couverture avec ces teintes sombres, là où chez Martin, le rouge dominait.
A l'intérieur, la qualité du dessin de Démarez se confirme. Les cases sont ordonnées de manière subtile, les personnages sont globalement crédibles et certaines vignettes sont tout bonnement somptueuses.
Tout n'est pas parfait pourtant : la malédiction Photoshop frappe parfois et fige certains dessins, Alix se retrouve dans 2 vignettes avec une position de la main droite (!) anatomiquement impossible à obtenir, certaines couleurs au début manquent un peu de force.
Mais bon, globalement, c'est de très haute tenue au niveau du dessin. Dans un registre où officient les formidables Delaby ou Marini, je trouve que c'est déjà un bel exploit d'arriver à ce niveau.

Le problème de cet album est plutôt lié au scénario de Valérie Mangin.

Son Alix qui a blanchi sous le harnais est une bonne idée de départ, mais je trouve qu'elle n'en fait rien. Il évolue dans cet épisode avec une certaine placidité et sans que son action paraisse particulièrement héroïque. de ce point de vue, Alix est vraiment dans la peau d'un sénateur et à peu près aussi inutile.

Plus embêtant encore, l'histoire n'a guère d'intérêt non plus et on peine même à voir le lien entre celle ci et la révélation finale (intéressante) qui doit nous mener vers le 2ème tome. Cette histoire d'aigles dressés à tuer arrache des bâillements et peine à accrocher.

Au niveau des personnages, outre Alix, on retrouve Auguste, Agrippa...et on découvre les jeunes Titus et Khephren, fruits des amours d'Alix et d'Enak (mais non, je plaisante...), dans les rôles de gamins intrépides. Un prêtre sorti tout droit du nom de la Rose est censé tenir la vedette dans le rôle de méchant, mais tout est tellement cousu de fil blanc qu'on n'éprouve ni surprise, ni inquiétude particulière.

Bref, une histoire bien décevante.

Bilan de l'opération ?
Nous sommes loin de l'Alix de Martin et l'aspect de découverte d'une civilisation est définitivement enterré avec ce dernier.
La ligne claire a disparu également, mais le dessin de Démarez, après ceux de Venanzi, Morales ou Simon, présente de belles promesses.
L'accroche finale, m'incitera sans doute à cotiser au tome 2, mais alors vraiment, en trainant des caligae...

A noter quand même que le côté "Roi des Aulnes" si présent chez Martin, est lui aussi sévèrement réprimé car Titus et Khephren n'hésitent pas à faire le mur pour aller aux orgies (encore que le fait qu'ils en partent rapidement sans consommer entretient le doute finalement...)
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Un dessin très léché, un peu trop réaliste parfois, photographique ? ou est-ce dû au papier brillant ? de belles vues de Rome, de ses monuments. Un côté didactique. D'ailleurs une version en latin existe.
Alix, l'adolescent fougueux et héroïque de Pierre Martin est maintenant un homme mûr, sénateur romain, côtoyant les puissants, les Auguste, Julia....
il a un fils et élève le fils d'Enak, orphelin.
J'ai trouvé l'histoire assez confuse, une histoire de vengeance vite exposée, vite démêlée. Alix est chargé par Auguste d'enquêter mais finalement, ce sont les jeunes garçons qui mènent l'action.
Un premier tome d'exposition ? car la suite se prépare puisque un méchant a fui.
Une 2e chance possible pour.ce héros adulte, que j'aimais lire quand j'étais jeune. Une bonne idée en tout cas que celle de reprendre les héros et de les faire vieilllir.
Est ce que Yoko Stuno....? Non...?
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En 12 avant J.C., Auguste devenu princeps, voit son gendre et un compagnon mourir sous les serfs d'un aigle. Un mauvais présage qui pourrait faire vaciller le règne du premier Empereur romain.
C'est le sénateur Alix Graccus qui est chargé de l'enquête et de trouver qui se cache derrière ces aigles meurtriers.
Un récit plutôt plaisant mêlant enquête, jeux de pouvoirs et culte de Jupiter. C'est assez réussit et les personnages sont intéressant. Même si je trouve que l'histoire manque un peu de rythme et reste assez linéaire dans son déroulement, ce premier tome entame une série qui semble prometteuse.
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Le scénario est bien ficelé, les illustrations impec"

C'est un plaisir de voir à nouveau Alix, vieilli, en toge de sénateur à l'époque romaine et de le suivre dans une nouvelle péripétie. Les illustrations en plan large retracent fidèlement l'époque romaine. C'est super !


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